À qui se fier : Gaza News Agency soutient Israël !

A qui se fier.jpgL’immense Jacques Ellul, disparu il y a juste 25 ans (mai 1994), avait défini et décrypté la propagande, ses méthodes et ses acteurs, mieux que quiconque. Les médias français donnent souvent l’impression de prendre sa définition pour une feuille de route, qu’ils suivent avec une rigueur et une ténacité aveugles : « l’ensemble des méthodes utilisées par un groupe organisé en vue de faire participer activement ou passivement à son action une masse d’individus psychologiquement unifiés par des manipulations psychologiques et encadrés dans une organisation (Jacques Ellul) ».

Il vaut mieux être aveugle, en effet, quand on a pour objectif de convaincre le monde de la nocivité ontologique du seul peuple juif (celui qui a inventé la morale et a buriné, dans ses tables de la loi, l’ancêtre de la déclaration des droits de l’homme) et qu’on définit le Bien comme un synonyme de la Oumma[1] en général et du peuple palestinien en particulier.

WP Affiche FBBL
Plus d’info : cliquez

 

De l’usage des lorgnettes par leur petit bout

Le corps des journalistes français croit en les bienfaits de la propagande, car il considère que sa mission est de guider le peuple vers le bien. La propagande en général c’est mal, mais celle véhiculée par les journalistes est admirable, car elle a pour but de faire advenir les lendemains qui chantent.

Et l’information ? Elle n’est plus leur cœur de métier depuis mai 68, moment T de la révolution qui a tout changé dans notre pays. Tout ? Le tournant du journalisme n’a-t-il pas été pris plus tôt ? Si. Un an plus tôt. Très précisément le 10 juin 1967.

Pendant 22 ans, l’expression ouverte de l’antisémitisme avait été tabou : entre le 27 janvier 1945, date à laquelle les troupes soviétiques entrèrent à Auschwitz, Birkenau et Monowitz, pour libérer 7000 survivants (sur le million trois cent mille qui y avaient été exterminés) et le 10 juin 1967, date de la fin de la Guerre des Six-jours, gagnée par ces mêmes survivants et leurs enfants, contre une coalition d’armées arabes, qui voulait achever le travail d’Hitler.

La Deuxième Guerre mondiale est un trou noir dans l’histoire de France : résumée en quelques lignes à l’école de la République, elle enseigne aux petits enfants que les nazis étaient méchants, qu’ils ont tué beaucoup de Français (sans précision), mais que nos courageux compatriotes ont vaillamment résisté, dans le maquis et à Londres aux côtés du Général de Gaulle, jusqu’à la victoire finale.

De la collaboration et des Lois anti-juives, on a fait table rase et, comme l’observait finement Françoise Giroud, les Français ont du mal à pardonner aux Juifs le regard que la Shoah les autorise (les pousse ?) à porter sur eux : « Avec une rapidité remarquable, dès la première pierre de la seconde Intifada, un retournement s’est produit, saisissant. Enfin ! On a le droit de dire du mal des juifs ! (…) Je crois que l’ensemble des peuples chrétiens n’a jamais avalé la Shoah. Que sa révélation, relativement tardive, son ampleur, sa méticulosité hallucinantes et avant tout le caractère d’anéantissement systématique et gratuit d’un peuple entier ont causé un choc beaucoup plus profond qu’on ne le croit. Non par sympathie particulière pour les victimes, mais parce que « la solution finale » a obligé le plus étourdi à découvrir que l’homme était peut-être intrinsèquement mauvais, et Dieu intrinsèquement distrait. (le Monde»

Cette fois-ci, on veut être du côté des gentils

Et si, en plus, les nouveaux gentils sont victimes de ceux qu’on a laissés déporter et exterminer, c’est tout bénèf !

Voilà pourquoi votre fille est muette, mais pas les journalistes, intarissables émetteurs de clichés manichéens, qui sanctifient les Palestiniens étiquetés victimes majuscules, en fermant les yeux sur leurs provocations, et qui sacrifient les agressés israéliens, en les accablant d’accusations fantaisistes qui nous dédouanent de notre lâcheté passée.

Le double effet Kiss Cool est obtenu par l’occasion de nous repentir de notre passé colonialiste, OK, pas directement vis-à-vis de ceux que nous avons colonisés, mais presque. En effet, est raciste de considérer que « tous les Chinois se ressemblent », il est bienveillant de réparer auprès de Mohammed ce que l’on reproche à nos grands-parents d’avoir fait à Mouloud, surtout si au passage on peut faire un râteau à Salomon.

Pourtant, et d’une, il n’est pas raciste d’amalgamer le physique des Asiatiques, c’est la science qui l’a découvert : « Si tous les Chinois ont tendance à se ressembler pour nous Européens, ce n’est pas parce qu’ils ont tous les cheveux et les yeux noirs, mais parce que notre système visuel a appris à les classer d’emblée dans une catégorie beaucoup plus large.[2] » Et ce n’est donc pas non plus parce que nous sommes criminellement racistes par essence.

Deuxio, la colonisation n’était pas le Club Med et n’a jamais prétendu l’être, mais notre manie de juger le passé à l’aune des valeurs du présent nous amène à des contorsions intellectuelles qui auront la peau de nos cervicales si nous n’ajoutons pas un grain de rationalité dans nos flagellations.

Ni Club Med, ni colo, la colonisation!

Vers 1850, les Français, ayant abandonné les conquêtes napoléoniennes avec la mort de l’empereur, aspiraient à un redressement économique et social. Le développement du commerce et de leur influence dans le bassin méditerranéen aurait fait l’affaire, sans les corsaires ottomans, qui dominaient alors la Grande Bleue. C’est pour se débarrasser de ces pirates et pour supprimer l’esclavage (aboli en France depuis 1848, mais florissant dans les pays musulmans) que le roi de France, Charles X, décida une expédition. L’abolition de l’esclavage fut le premier progrès apporté par la colonisation, mais pas le seul : en Algérie, où le taux d’alphabétisation des femmes avoisinait le zéro absolu et celui des hommes à peine plus, la France construisit des lycées (une cinquantaine), des universités (quatre), une école de médecine et, à son départ, 50% des enfants algériens étaient scolarisés.

Pendant la colonisation française, la population algérienne a été multipliée par plus de quatre, passant de 2 à 9 millions. Irrigation, puits, barrages, des milliers d’hectares de désert mis en culture, éradication de la peste et du choléra, de la dysenterie, de la malaria et de la variole… Dès leur arrivée, les Français ont construit des logements et des infrastructures (54 000 kilomètres de routes, des voies ferrées, des centrales thermiques, des réseaux hertziens…), ils ont mis sur pied des industries (chimie et métallurgie) et les moyens nécessaires à l’exploitation du pétrole du Sahara, qui procure à l’Algérie, depuis son indépendance, 95% de ses revenus.

L’histoire évolue avec les hommes qui la font. Les colonisateurs d’hier partageaient fièrement leur civilisation : « Je crois que notre nouvelle conquête est chose heureuse et grande. C’est la civilisation qui marche sur la barbarie. C’est un peuple éclairé qui va trouver un peuple dans la nuit », déclarait Victor Hugo en 1879.

Les colonisateurs et leurs admirateurs ont fait place aux anticolonialistes viscéraux d’aujourd’hui et le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes (sauf le peuple juif) a remplacé le colonialisme au panthéon des relations internationales. Mais les citoyens de l’Algérie indépendante ont accueilli Chirac, président de l’ancien colonisateur, non pas par des insultes, mais par les cris : « des visas ! des visas ! (le Télégramme) »

L’erreur morale de 2012 s’appelait justice et progrès en 1892

Si l’on veut comprendre le présent, il faut étudier le passé, en tenant compte de son degré de civilisation et des idéaux de l’époque. Plaquer sur le XIXe siècle les valeurs du XXIe fait tomber dans des contresens anachroniques, comme l’a fait François Hollande en 2012, en rendant hommage à Jules Ferry : « En saluant aujourd’hui la mémoire de Jules Ferry, qui fut un grand ministre de l’Instruction publique, je n’ignore rien de ses égarements politiques. Sa défense de la colonisation fut une erreur morale et politique. Elle doit à ce titre être condamnée. »

Aujourd’hui, on croit qu’être progressiste, c’est être systématiquement opposé à toute colonisation. Du temps de Jules Ferry, et des empires coloniaux belge, britannique, turc, néerlandais et on en passe, c’étaient les conservateurs qui avaient cette position. Pourquoi ? Parce qu’ils auraient voulu que les budgets soient dépensés en métropole et non dans les colonies. Les progressistes, eux, étaient favorables à la colonisation, pour l’œuvre émancipatrice et civilisatrice qu’ils lui reconnaissaient. Et si le radical-socialiste Clémenceau était contre, ce n’était pas pour des motifs humanitaires, mais parce qu’il voulait concentrer l’attention du peuple, de ses élus et de son armée sur l’Alsace et la Lorraine, des territoires français qu’il était, à ses yeux, plus important de reprendre que de se lancer dans la conquête de nouvelles colonies lointaines.

N’accablez pas les journalistes: ils bossent dur !

Ils obéissent au conseil de Boileau : « Vingt fois sur le métier, remettez votre ouvrage ». Vingt fois, cent fois, mille fois, ils remettent sur le métier leur ouvrage, non pas pour le peaufiner en croisant leurs informations et en vérifiant leurs sources, mais au contraire, pour enfoncer leurs mensonges dans l’esprit du public en misant sur la pédagogie de la répétition.

Alors au lieu de chasser le scoop, ils scrutent les dépêches de l’AFP pour y pêcher des occasions d’accabler l’État juif. Une de ces occasion s’est présentée le 4 mai 2019 : un raid israélien d’un côté, un bébé palestinien et sa mère tués de l’autre, ce n’est plus une info, c’est une fiesta ! On ne vérifie pas, on ne doute pas, on bombarde… de dépêches soulignant la disproportion entre les innocents d’un côté et les monstres de l’autre.

Image 1.jpg

Bien entendu, l’armée israélienne a enquêté et était en mesure, le jour même, de démentir, en relatant ce qui s’était réellement passé : l’enfant et sa mère étaient morts des suites du tir d’une roquette palestinienne qui n’a pas atteint Israël et qui est tombée sur une maison dans la bande de Gaza.

« Le bébé palestinien, Saba Abu Arar, et sa mère ont été tués par le Hamas et les armes du Jihad islamique, non à la suite d’un raid israélien » disait le communiqué de Tsahal.

Quelques médias mentionnèrent ce démenti, mais avec si peu de conviction qu’il ne servit, finalement, qu’à renforcer l’impression que les assassins niaient un forfait qu’ils avaient réellement accompli.

image 2.jpg

Les idiots utiles désavoués par leurs protégés

Une agence palestinienne a confirmé les termes du communiqué de Tsahal. Habituellement, les communiqués palestiniens sont à peine arrivés sur le fil de l’AFP qu’ils sont déjà repris par l’ensemble des médias hexagonaux. Cette fois-ci est l’exception qui confirme la règle : vingt jours après sa réception, aucun média mainstream ne l’a même mentionné. Il faut dire que le sujet est inhabituel : Gaza News Agency confirme en tout point le communiqué de l’armée israélienne. Elle affirme que le bébé palestinien et sa mère ont été tués par une roquette palestinienne. Cela explique le silence. Et cela montre à quel point l’agence palestinienne a bien pris la mesure de ses supporters, car elle met les points sur les « i » et son poing virtuel dans le nez des menteurs professionnels qui durent se trouver fort dépourvus quand le désaveu fut venu.

image 3.jpgMai 07, 2019 (Europe Israël)
« Nous n’avons pas besoin de mentir dans notre guerre contre les sionistes. Saba Abu Erar, le bébé de 14 mois a été tué par une roquette du Hamas, pas par un F16 israélien. Quand vous mentez, vous nuisez à notre cause. Vous détruisez notre crédibilité. Parlez des snipers israéliens qui tuent nos jeunes, mais ne mentez pas. »

« Les journalistes ne voient que ce qu’ils croient » (François Zimeray)

« Nous aimons la mort autant qu’ils aiment la vie, ils n’ont aucune chance » répètent à l’envi les idéologues recruteurs de jeunes djihadistes made in France. Mais l’Occident se bouche les oreilles. Il ne VEUT pas croire une chose pareille. Alors les lanceurs de missiles de Gaza s’installent dans les écoles, dans les hôpitaux, espérant que les représailles israéliennes feront de leurs boucliers civils des victimes aux yeux d’une opinion internationale, qui NE VEUT pas croire à tant de duplicité. Ce ne sont pourtant pas les preuves qui manquent, ou les images qui mentent.

La propagande palestinienne a raison de continuer, elle est efficace : Israël est condamné par l’ONU, qui n’examine que les représailles, conséquences des 700 roquettes envoyées par le Hamas, sans jamais mentionner la cause. ET ÇA MARCHE !

Si Ellul était enseigné à l’école, la grille de lecture de nos contemporains privilégierait certainement la raison au lieu de se centrer sur les affects. Un peu de recul devrait permettre une appréciation plus objective du monde qui nous entoure et donc, une capacité de réaction débarrassée de ses freins. Mais, mithridatisés par une propagande constante, les Français tombent répétitivement dans son panneau, avec la gratitude de celui qui appartient au groupe des tenants du Bien et qui se réchauffe au confort de cette appartenance.

Quand la vérité vient du camp des gentils…

…Ce sont les gentils en question qui sont aussitôt déclassés et domiciliés dans la case « méchants », sans passer par la prison et sans toucher les 20.000 Francs du Monopoly.

Il en est allé ainsi d’intellectuels saoudiens, touchés par la grâce des faits quand la graisse de la propagande leur est tombée des yeux.

L’un d’entre eux, Turki Al-Hamad, décrivant les combats à Gaza avait twitté : « C’est une boucle qui se répète: des roquettes tirent de Gaza sur Israël, Israël bombarde Gaza, quelqu’un s’interpose, les combats cessent – et les types en Palestine paient le prix. C’est une ‘’résistance’’, mon vieux. L’Iran et la Turquie ont des problèmes et les Palestiniens en paient le prix. (Twitter.com/TurkiHAlhamad, 4 mai 2019) »

À quoi, Mut ‘ab Al-Jabrin, autre Saoudien familier du pépiement, avait répliqué : « Depuis le coup d’État du Hamas et sa prise du contrôle à Gaza, la Bande subit une gestion désastreuse, qui a privé ses habitants des services, même les plus élémentaires, comme l’eau et l’électricité. C’est la politique stupide du Hamas, qui se contente de lancer quelques roquettes, tombées avant même d’atteindre leur objectif, sans avoir le moindre impact sur l’équilibre des forces en présence ni exercer la moindre pression politique. Cela se termine par des frappes israéliennes qui détruisent les infrastructures de la bande de Gaza. (Twitter.com/alshaikhmhmd, 5 Mai 2019) »

Les mains dans le goudron et les pieds dans le plat

Abd al Hamid Al Hakim, ancien directeur du Centre d’études stratégiques et juridiques du Moyen-Orient à Djedda, qui n’a pas son clavier sans sa poche, a appelé un chat un Shah : « Puisse Allah protéger Israël et son peuple. Nous ne laisserons pas la main perfide de l’Iran et de ses agents à Gaza atteindre le peuple israélien. Il est temps de le dire à haute voix : affronter le terrorisme du Hamas relève de la responsabilité de tous les pays de la région et de la communauté internationale dans son ensemble, pas seulement d’Israël. Je demande aux Arabes : Voulez-vous que ces assassins et agents de l’Iran dirigent Jérusalem?! (twitter.com/hakeem970, 5/5/2019) »

Les citations qui précèdent sont publiques et peuvent être lues sur le site de Memri, le Centre de recherche sur les médias du Moyen-Orient, qui traduit tous les médias arabes. Ce serait nous faire beaucoup d’honneur que d’imaginer que NOS médias mainstream attendent avec impatience que NOUS, les petits sites Internet, leur fournissions les liens avec les acteurs et les analystes du Moyen-Orient.

Notre modestie et le principe de réalité nous obligent à convenir que, si pas une ligne de ces scoops ne parvient au citoyen lambda (celui qui n’est ni Juif ni philosémite, pour aller vite), c’est qu’il y a une raison fondamentale que la raison ne connaît pas, ni la nôtre, ni celle de la Palestinolâtrocratie.

Les antisémites ont besoin des Juifs, pas le contraire

L’idéologie judéophobe de cette petite planète rouge-vert-brun appelée Antisio-Mitisme est une composante si fondamentale de l’ADN de ses habitants, que toute brèche dans leur bouclier de haine les exposerait au vide intersidéral de leur propre responsabilité vis-à-vis des échecs de leur vie.

Comme l’explique patiemment depuis des décennies le penseur Jacob Hania, les antisémites ont un besoin obsessionnel des Juifs, qui sont leur oxygène, leur pain et leur miel. S’il existe des Juifs collabo dont le mal-être pathologique trouve à se satisfaire de l’affection des antisionistes professionnels, ils sont des exceptions aussi douloureuses qu’une maladie auto-immune.

Réactualisons une blague juive datant de 1936 :

Deux Juifs se rencontrent dans le tram à Berlin. L’un lit un journal.

– Que lis-tu ? demande l’autre.
– Der Völkischer Beobachter.
– Le journal officiel du parti nazi ? Tu es complètement cinglé !
– Mais non, regarde : on y lit que les Juifs sont puissants et riches, qu’ils possèdent les médias auxquels ils font dire du bien d’eux, les banques qui leur donnent tout l’argent volé aux pauvres Allemands, qu’ils manipulent les politiciens du monde entier pour leur faire voter des lois qui les privilégient… Que des bonnes nouvelles ! On ne les trouve pas dans la presse yiddish !

On pourrait remplacer le tram en 1936 par le métro en 2019 et Der Völkischer Beobachter par Le Monde ou Médiapart. LOL ! LM

Liliane Messika, MABATIM.INFO

[1] Oumma : communauté des croyants en Allah, quelles que soient leurs nationalités, quels que soient leurs liens, quels que soient les régimes politiques des pays où ils vivent.
[2] Dixit Roberto Caldara, professeur à l’Université de Fribourg – (Maxisciences)

4 commentaires

  1. Bravo Liliane !
    Je continue à me féliciter qü’Israël reçoive leurs condamnations plutôt que leurs condoléances.

    J’aime

  2. À travers ce propos édifiant on comprend bien ce que peut avoir de désorientant la fin du droit des peuples à disposer d’Israel et des Juifs, comme d’un commode essuie-pieds! Ben oui, quoi, par quelque bout qu’on prenne le problème, on n’en finit pas de se dire : et si pas les Juifs alors qui ? Et quoi faire pour me débarrasser de ma flemme quand ça va pas chez moi? Vers qui, vers quoi me tourner ? Rome? Pas libre. La Mecque ? Occupé. Allo Jérusalem? Mais allô hein ! Personne au bout du fil! Ah les vaches! Ils ont coupé ! J’ai la rage…Je crois que je vais tout peter chez moi… Au secours les Juifs, sans vous je me déballonne. Vite une dose d’AFP (Alliance pour la Flemme en Palestine) – ouf ! C’que c’est qu’d’être addict!

    J’aime

Laisser un commentaire. Il sera visible dès sa validation.