L’Amérique, l’Amérique, si c’est un rêve, Joe le sait pas

Le Mur est tombé, mais le monde est toujours bipolaire

Jusqu’au XXIᵉ siècle, « l’Amérique » était presque un nom commun, synonyme d’espoir, de réussite individuelle et de libre entreprise.

Le nouveau et l’ancien mondes s’appliquaient à justifier la formule de Churchill :

« Le vice inhérent au capitalisme consiste en une répartition inégale des richesses. La vertu inhérente au socialisme consiste en une égale répartition de la misère (Citations Ouest-France). »

Staline s’est rapidement chargé de démontrer que le communisme était un croisement entre le tsarisme et le capitalisme : la richesse était inégalement répartie au sein de la Nomenklatura et la misère touchait les autres 90 % de la population : une famine de 20 millions de morts (en particulier, en Ukraine, le « grenier à blé de l’URSS »), c’est une performance que seul a su égaler l’islam, entre sa conquête guerrière, ses nettoyages ethniques (Darfour, Mali…), ses guerres civiles (Algérie, Soudan…) et ses dérivés contemporains rebaptisés (!) « islamisme ».

La guerre froide n’est pas terminée, le casting a juste été inversé : Poutine s’enrichit grâce à un capitalisme débridé et Biden essaie de s’approprier la recette appliquée de l’autre côté du rideau de fer, maintenant qu’il a été démantelé et que le copyright est libre de droits.

Les sentiments au-dessus de la loi

Ce n’est pas la musique qui adoucit les mœurs, mais la satiété, qui a fait passer le « ressenti » devant le réel. En nous évitant de rechercher la satisfaction des besoins primaires et secondaires, notre confort nous conduit à une vacuité que la nature, c’est bien connu, s’obstine à remplir avec des contenus de plus en plus fades. C’est ainsi que, de dérive de la charité chrétienne en dérive du socialisme, on en est arrivé à révérer l’islamo-gauchisme.

Si c’est par la bouche de la ministre des universités que le scandale a fini par toucher les médias, le virus, lui, était entré par la porte d’une libido privée d’objet et de moyens.

« L’islamisme joue de l’hyper-culpabilisation et de la mémoire coloniale ou du communautarisme, on [y] retrouve ces compromissions déguisées en partage de luttes, ces mensonges sur l’alliance sacrée contre le « régime », cette même béatitude amoureuse de l’intellectuel futile face au barbare qui rafraîchit le sang en le versant, cette radicalité haineuse envers ce que l’on est, ce même érotisme politique morbide (le Point) »,

analyse Kamel Daoud, qui observe un islamo-gauchisme algérien n’ayant rien à envier au narcissisme de son clone hexagonal.

Daoud nous enjoint de ne pas nous leurrer devant

« ce courant politique qui offre vocation à la culpabilité et aime jouer à la contrition pour espérer à la fois être innocenté et accéder au pouvoir. »

La tyrannie victorieuse des mineurs et des minorités

Depuis que l’enfant est devenu roi, que l’élève a été mis « au centre du dispositif éducatif » et que les « mineurs migrants » peuvent être quadragénaires (Ouest France), « minorité » est devenu synonyme de « victime ». Du fait de ce statut enviable entre tous, on ne compte plus les mini-groupes qui réclament justice au nom de leur singularité. Le dernier en date n’est pas mini, puisqu’il rassemble le quart des hommes (au sens minuscule du chromosome Y et non majuscule de l’espèce) qui perdent leurs cheveux, comme en témoigne un chauve qui « reste toujours un sous-homme, en tous cas il ne représente pas la puissance masculine (Brut Media). »

Que l’homme chauvictime se console : on peut même être majoritaire en nombre et minoritaire en statut. C’est le cas de la Femme, avec une majuscule puisqu’elle représente une espèce en voie de disparition à elle toute seule. Lorsqu’une femme est tuée par son amant, c’est un « féminicide » : toute l’espèce est visée. Quant à la « puissance masculine », c’est l’ennemi numéro un des médias et de la bien-pensance, aussi sa diminution est-elle à mettre au crédit du progressisme.

Sponsoriser toutes les minorités coûte un maximum…

Sponsoriser toutes les minorités coûte un maximum. Outre-Atlantique, l’élu démocrate en est conscient. Il a présenté un budget de 1900 milliards de dollars, qui servira à remonter la pente économique du Covid. Le projet de loi comprend des chèques pour les chômeurs avec une prolongation jusqu’en septembre de leur hausse de 300 $ par semaine et étend le crédit d’impôt pour les familles avec enfant(s) pendant un an. Il consacrera également près de 20 milliards de dollars à la vaccination contre le virus Covid-19, 25 milliards à l’aide aux services publics et 350 milliards à l’aide aux États, aux collectivités locales et aux tribus (Forbes).

Un deuxième plan de relance de la même envergure est prévu sur dix ans pour l’industrie et les infrastructures : 621 milliards de dollars pour les transports (routes et ponts), dont 174 milliards pour les véhicules électriques, 111 milliards pour l’eau potable, 100 milliards pour l’expansion des bandes passantes et 100 milliards pour les infrastructures énergétiques (réseau électrique).

Sponsoriser les assassins aussi, mais quand on aime, on ne compte pas

On ne sait pas dans lequel des deux méga-plans seront prises les sommes nécessaires au renflouage de l’UNRWA et de l’Autorité palestinienne, dont le budget salarial des terroristes est le suivant (Wikipédia) :

Les Palestiniens bénéficient des plus importantes largesses internationales au monde. Les États-Unis et l’UE étaient les principaux contributeurs de l’UNRWA jusqu’à ce que Trump ferme le robinet des subventions pour cause de terrorisme et d’incompétence. En 2020, l’Union européenne a fait don sans condition de 23,7 milliards d’euros à l’UNRWA (Commission Européenne).

Joe Biden, à peine élu, s’est empressé de revenir dans le club des donateurs. En effet, l’immense majorité des revenus palestiniens provient de la charité internationale.

La valeur de l’IDH (indice de développement humain) de la Palestine pour 2019 était de 0,708, ce qui place ce territoire dans la catégorie des pays à développement humain élevé, au 115ᵉ rang sur 189 pays et territoires classés. Entre 2005 et 2019, la valeur de l’IDH de la Palestine est passée de 0,659 à 0,708, soit une augmentation de 7,4 % (ONU). Pendant ce temps, la croissance des pays donateurs était au point mort.

Biden ne se sent pas responsable quand Abbas paie les coupables de meurtres de Juifs

Il n’est évidemment pas question d’encourager officiellement le « pay-for-slay », le salaire des tueurs. Un mémo rédigé par le département d’État explique même que l’administration Biden est en pourparlers avec les Palestiniens

« pour obtenir un engagement palestinien à mettre fin aux paiements aux individus emprisonnés pour des actes de terrorisme (Gatestone Institute) ».

Mais il n’est nulle part précisé que cesser de salarier les terroristes est une condition sine qua non du financement américain. Si l’Autorité palestinienne « s’engage à arrêter » à la Saint Glinglin, cela suffit au redémarrage des allocations.

Mahmoud Abbas avait été très clair avec Trump :

« Nous ne réduirons ni ne suspendrons les allocations. Nous dépenserons notre dernier centime pour les familles des prisonniers et des martyrs. Nous considérons les martyrs et les prisonniers comme nos héros (Palestinian Media Watch). »

Rien n’indique qu’il a changé d’avis. On ne le lui demande pas, seulement de dire en anglais qu’il y pensera un jour.

Demander la lune pour ralentir le soleil

Les pays qui réussissent le mieux économiquement sont ceux où les impôts sont les plus bas et les et les réglementations les plus simples. Un tel système favorise l’embauche et la créativité. C’était jusqu’à présent la raison pour laquelle les États-Unis attiraient les jeunes diplômés, alors que le mille-feuille des chicaneries administratives françaises, décourageant l’initiative, attirait surtout les amateurs de prestations sociales.

Joe Biden a eu une idée géniale : imiter les plus mauvais élèves qui s’obstinent dans leur échec en refusant d’imiter les meilleurs. Oui, le 46 président américain envisage d’éliminer l’avantage concurrentiel des États-Unis en augmentant à 28 % l’impôt sur les sociétés, que Trump avait descendu de 35 à 21 %. Cela avait procuré à l’Amérique une période de vaches grasses. Pendant le mandat du « multimillionnaire », le chômage avait atteint son taux plus bas depuis 1969 : 3,8 % et les revenus des Blacks et des Hispaniques avaient plus progressé que pendant les huit années précédentes, sous l’administration Obama (Federalist Papers).

Les mêmes causes générant les mêmes effets, et les effets démocrates pouvant s’observer in vivo en France, Biden a choisi résolument le camp du bien moral et du mal économique. Comme les dirigeants français depuis Mitterrand, il serre bien ses œillères pour ne pas voir qu’avant de distribuer la richesse il faut d’abord la créer. Et comme la misère est plus sympa quand on est nombreux dans le club, il cherche à entraîner le G20 dans son sillage.

C’est Joe Biden, pas Joe Dassin qui fait la loi

Dassin rêvait d’une Amérique-Eldorado, Trump aussi, qui la voulait forte. Biden la dirige à gauche toute. Il doit donc éviter toute réussite économique, sous peine d’encourir la jalousie méprisante des progressistes. Pour les séduire, rien de tel que de souscrire à leurs dogmes inaltérables, par exemple aux projets pharaoniques qu’ils ont entrepris pour brimer l’humanité et empêcher son développement, au motif de contrarier l’évolution du climat. L’influence du soleil ? Quelle influence du soleil ? La seule influence qui intéresse Biden est celle des démocrates.

Le projet du nouveau président américain est 100 % halal, politiquement correct, LGBT-friendly et anti-business.

« Ensemble, nous pouvons utiliser une taxation mondiale minimale sur les entreprises pour nous assurer que l’économie mondiale prospère sur la base de règles du jeu plus équitables en matière d’imposition des multinationales (le Figaro) »,

a expliqué la ministre des Finances Janet Yellen.

« Nous parlons d’un taux (d’imposition sur les sociétés) à 28 % qui semble équitable pour tout le monde »

a renchéri son boss, Joe le taxiste.

« Tout le monde ? » C’est qui, tout le monde ?

Les États américains décident chacun de leur TVA, c’est pourquoi les prix publics sont toujours affichés hors taxes. Le Montana n’applique aucune taxe, le Tennessee a mis en place la plus chère : 9,45 %, suivi par l’Arkansas (9,26 %).

L’impôt sur les sociétés, lui, est collecté d’une part par chaque État et de l’autre par l’État fédéral, selon des modalités si compliquées qu’on soupçonne une inspiration Bercyste.

L’Europe s’est toujours avérée incapable d’homogénéiser ses TVA nationales, sans parler de ses politiques fiscales, si bien que les multinationales s’installent de préférence dans les pays qui ont les taux d’imposition les plus faibles : Irlande, Luxembourg…

Mais puisque Joe Biden est aussi progressiste qu’un étudiant français en socio, il arrivera sans nul doute à convaincre facilement le G20 de s’harmoniser vers le haut :

« il s’agit de s’assurer que les gouvernements disposent de systèmes fiscaux stables qui génèrent des revenus suffisants pour les investissements publics essentiels et pour répondre aux crises, et que le financement du gouvernement soit partagé équitablement entre les citoyens ».

Pulsions masochistes

Les pulsions masochistes trouvent toujours un exutoire quand on les accompagne de rationalisations religieuses ou politiques. Il fut un temps où les moines se flagellaient et s’imposaient le port du cilice. La TVA est l’un des châtiments que les futurs ex-capitalistes veulent s’imposer et infliger à tous pour expier des choses qu’ils n’ont pas faites, et éviter de traiter les injustices dont ils se rendent coupables.

Ceux qui tireront les marrons du feu sont, comme d’habitude, ceux qui se sentent à l’aise dans leurs dictatures. La Chine et la Russie n’ont pas fini de boire le champagne à la santé de Biden.

En 2020, la Chine a produit 56,5 % de l’acier brut mondial, contre seulement 3,9 % produits aux États-Unis (WorldSteel). Or les infrastructures prévues dans ce giga-plan de relance économique auront besoin d’un maximum de matières premières (pas seulement l’acier), qui proviendront de pays à bas coûts de production. Ceux de l’Oncle Sam seront impactés par un autre bon sentiment de Biden : sa complaisance vis-à-vis des écologistes, dont la mégalomanie guide une politique punitive contre l’humain accusé de climatophobie.

Cette politique issue de la signature des Accords de Paris renchérira l’énergie et interdira le recours à celles traditionnellement utilisées outre-Atlantique. En effet, l’industrie et la société américaines fonctionnent grâce aux combustibles fossiles, qui ne sont pas en odeur de sainteté chez les Verts : pétrole (23,9 % de la production, 36,5 % de la consommation), charbon (16,0 % et 13,1 %) et gaz naturel (39 % et 30,6 %) (Wikipédia).

Du producteur au consommateur…

Du producteur au consommateur, la ligne n’est pas directe, il faut changer à Énergie. Pour produire, transporter, emballer…

C’est ce qui a conduit Larry Kudlow, ancien directeur du Conseil économique national, à déclarer le 30 mars 2021, que

« la sécurité intérieure, la sécurité économique intérieure, est essentielle à la sécurité internationale. Si nous portons atteinte à notre économie… avec toutes ces hausses d’impôts, y compris les hausses de l’impôt sur les sociétés, nos entreprises partiront et d’autres ne viendront pas. Nous perdrons des emplois, nous n’en gagnerons pas. Toute notre économie en souffrira (FoxBusiness). »

Ce qui compte pour Biden, c’est de se targuer d’initier « le plus ambitieux investissement américain dans l’emploi depuis la Seconde Guerre mondiale ».

Il n’a pas précisé que les emplois en question se trouveront majoritairement en Chine !

L’échec est la seule matière dans laquelle la France peut, à juste titre, donner des leçons au monde entier. Mais c’est la première fois qu’un dirigeant étranger s’en inspire. LM

Liliane Messika, MABATIM.INFO

5 commentaires

  1. Persister dans l’erreur, dans l’espoir d’obtenir un résultat différent, est la pire des sottises. (Albert Einstein)
    La marionnette Barak Obiden annonce ses délires quotidiens, repris solennellement par tous les torchonistes de la planète, comme s’il s’agissait des paroles du Messie.
    En fait, il annule méthodiquement, une à une, toutes les résolutions mises en place et réussies par TRUMP.
    Ainsi, le crapuleux Obama souhaite à tout prix, y compris par une capitulation sans condition, que Joe le sénile réintègre l’accord de 2015, qu’il a voulu et imposé, dont nous voyons tous qu’il s’agissait d’une gigantesque escroquerie.
    La même équipe de pieds nickelés chargés des « négociations » avec les mollahs savent qu’ils se font balader par les enturbannés qui vont encore les rouler dans la farine, mais qu’importe, il veulent absolument revenir à cet accord complètement dépassé, car bien des choses ont changé entre 2015 et aujourd’hui.
    Que dire de la reprise des versements de dizaines de millions de dollars aux mendiants pleurnicheurs ?
    Les fascistes « Démocrates » savent au fond d’eux-mêmes, que plus ils leur verseront d’argent, et plus les gangsters-dirigeants durciront leurs positions en exigeant toujours plus de concessions, tout en faisant croire à leur modération en faisant référence à la « solution à deux Etats » qui risque de ne jamais voir le jour.
    Les corrompus/voleurs/falsificateurs de l’UNWRA vont recevoir eux aussi, des millions de dollars pour que leurs livres scolaires répugnants puissent perpétuer leur travail dévastateur sur des écoliers.
    En guise de pourboire, Joe le sénile qui confond son sexe avec son chien, va rouvrir la représentation des mendiants pleurnichards à Washington, histoire de leur donner un peu plus d’allure.
    En fin de compte, le programme de Barak Obiden est calqué sur les deux précédents mandats du calamiteux Obama, en charge avec sa clique, de la destruction de toutes les décisions de TRUMP.
    Joe la momie ressuscitée se vante de la vaccination de dizaines de millions d’Américains, alors que Pfizer a attendu l’élection de Joe la marionnette pour annoncer l’efficacité de son vaccin.
    D’ailleurs, l’Agence France Poubelle glorifie le moindre délire de sa nouvelle idole, qui a remplacé le « milliardaire septuagénaire » selon ses dépêches reconnaissables à leur tonalité Quai d’Orsay.
    Un site américain vient d’annoncer que l’Administration de Joe le sénile se nommera désormais : Administration Biden-Harris.
    S’agit-il de l’annonce du retrait précipité de Joe le gâteux qui pourra retourner roupiller tranquillement dans sa cave, avant que Harris ne prenne le relais, maintenant que les travaux de démolition ont été réalisés ???

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    • Le soir des élections américaines, nous étions nombreux à ne pas comprendre les résultats qui étaient fournis par les médias US, alors que les « taches rouges » remplissaient la quasi totalité de la carte des Etats.
      De plus, vers deux heures du matin, Joe le sénile qui traînait la patte, avait organisé une conférence de presse dans un parking, face à quelques centaines de supporteurs, alors que les comptages des votes n’étaient pas terminés, et a déclaré :
      « que les choses se présentaient bien, et qu’il avait de grandes chances de l’emporter ».

      Cinq mois après l’élection présidentielle américaine, les résultats officiels d’une vérification réalisée au Michigan semblent confirmer les soupçons de fraude massive dénoncée par l’ancien président Donald Trump et son équipe.
      Dans 9 comtés sur 83 de cet Etat, après vérification des ordinateurs équipés de la fameuse application DOMINION, chargée de compter les suffrages, il a été constaté 66.194 bulletins de vote de personnes non-inscrites, ce qui sur la totalité des comtés pourrait atteindre un chiffre de plus de 600.000 voix. Par ailleurs et surtout, des puces ont été découvertes bien cachées à l’intérieur d’ordinateurs de la compagnie, pouvant être connectées à Internet sans passer par un modem, ce qui était interdit par crainte d’intervention extérieure.
      Le président Joe Biden est bien en place, mais une ombre suspecte subsistera toujours sur la bonne tenue de ce scrutin si important dans la politique mondiale.
      (Source: Attorney Matthew DePerno releases Michigan elections forensics report)

      Pendant ce temps, les ordures de RFI continuent à cracher sur TRUMP tandis que d’autres torchons se moquent de son épouse. Leur point commun ?
      Le « milliardaire » américain est répété à chaque phrase, selon la volonté de l’Agence France Poubelle » dont nous attendons la réaction à cette information explosive….

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  2. Excellent résumé : les socialistes qui sont surtout des tartuffes avant de «  penser social » adorent les pauvres et les chômeurs, aussi ils travaillent dur pour fabriquer massivement l echec et le malheur

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  3. Tout est résumé ,l avenir s annonce Joyeux ,le rêve américain s estompe.les Juifs americains ou plutot.les americains nees.Juifs sont en voie de disparition ,de 5 millions il en restera quelques milliers qui vivront comme gardiens de musée ou seront exposées les reliques d une vie Juive florissante en son temps.
    Trump ,en 4 ans a réveillé son pays après 8 ans de présidence du prix Nobel de la paix .Bidon ,le représentant d Obama ,confirme bien que Hussein Obama est bien le véritable président !
    Trump le bâtisseur ,bidon ,le démolisseur.
    Il était une fois l Amérique.
    Ne nous trompons pas ,l Europe devance les USA dans le déclin .

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