Islamisation : La France se burqualise dans le déni

Par Serge Siksik,
[Tel Aviv 27 nov 2025]

Minarets en ascension, clochers en extinction

La France n’est plus dans la zone de turbulence elle est entrée dans la zone où les civilisations ne trébuchent pas : elles se renoncent.
Ce n’est plus un pays qui vacille, c’est un pays qui s’efface en pleine conscience, qui confond la tolérance avec l’anesthésie, et la lucidité avec du « racisme ».

La France n’est pas menacée : elle se livre.

– Elle n’est pas assiégée : elle ouvre elle-même la porte.

– Et le drame n’est pas que les islamistes avancent mais le fait que la nation leur déroule le tapis rouge, l’esprit éteint, la volonté dissoute, le regard au sol pour ne pas voir ce qu’elle devient.

À force de nier ce qui la ronge, la France se couvre elle-même du voile qu’elle prétend combattre. Elle se burqualise, dans le déni, avec application.

Imaginons un instant que je sois encore pleinement citoyen français.

Depuis ce regard, j’esquisserais douze repères – un nombre qui résonne depuis la nuit des temps – pour éclairer la France qui chancelle.

Et, au-delà de ce cercle ancien, j’en ajouterai un treizième : non pour décrire ce qui est, mais pour affirmer ce qui doit être. Car une civilisation ne tient debout que lorsqu’elle ose encore se regarder en face et décider de ne pas s’effacer.

– Il est des peuples qui comprennent l’Histoire parce qu’elle les brûle.

– Et d’autres qui traversent les événements comme s’ils ne les concernaient pas.

La France semble avoir choisi cette seconde voie : celle d’une nation qui se croit encore protégée par des slogans, des principes désincarnés et un confort anesthésiant, alors qu’elle est déjà engagée dans un affrontement civilisationnel qu’elle refuse même de nommer.

Depuis quarante ans, une évidence se déploie sous nos yeux : ce que l’islamisme politique expérimente contre Israël, il l’applique à la France.

Les méthodes varient, les terrains changent mais la matrice stratégique demeure la même : progression feutrée, infiltration, conquête culturelle, capture des espaces intermédiaires, imposition de nouvelles et édification silencieuse d’un contre-système.

Ce que certains nommaient, en ricanant, « fantasme complotiste » ou « rhétorique d’extrême droite »le grand remplacement – n’a jamais été une théorie atmosphérique :

c’est un processus observable, documenté, quotidien.
Et ce processus n’est pas d’abord démographique, mais culturel et normatif :

– On remplace les récits avant de remplacer les lois.

– On remplace les valeurs avant de remplacer les majorités.

Il existe des mains qui serrent la vôtre comme pour vous souhaiter la paix, mais qui en profitent pour évaluer l’endroit exact où planter la lame. Il existe des sourires qui posent avec courtoisie devant les caméras, puis repartent nourrir des mécaniques qui travaillent contre vous. Il existe enfin des mots qu’on croit apaisants : « trêve », « cessez-le-feu », « dialogue », « modération » qui ne sont souvent que des outils de désarmement moral.

1. Nommer les mécanismes : Hudna, Taqiya, Da‘wa

Ces mots ne sont pas des exotismes orientaux. Ce sont des concepts opérationnels issus d’une littérature religieuse ou historique, que certains mouvements islamistes ont érigés en stratégies de conquête :

Remodeler l’espace culturel, occuper le territoire, transformer les normes, installer pas à pas un nouvel ordre.

Hamas, Frères musulmans, réseaux salafistes – et demain leurs relais politiques municipaux en France – s’appuient sur ces doctrines pour avancer sans déclarer la guerre.

Infiltration. Rapport de forces. Emprise communautaire. Conquête des symboles.

Rien n’est improvisé : tout est conçu, planifié, revendiqué.

Ces outils idéologiques puisent leurs sources dans le Coran et sont façonnés et activés par des théologiens musulmans dont l’obsession première demeure toujours la même : affaiblir l’Occident et cibler les Juifs, désignés comme ennemis matriciels.

Avant d’entrer dans le détail, commençons par un glossaire des « essentiels » que la France refuse d’entendre et de nommer, à l’image d’un ministre de l’Intérieur – pur produit de la macronie – qui évite de prononcer les mots hurlés par l’agresseur d’Oléron, le 5 novembre 2025 : « Allah Akbar ».

Pour Nuñez ce n’est qu’« un cri prononcé », hypocrisie institutionnelle portée à son sommet ou l’art de l’euphémisme comme politique publique.

Pensons stratégie, dévoilons ce qui se loge derrière les mots, sortons de la naïveté satisfaite. La philosophie nous enseigne une règle simple : ce que l’on nomme clairement perd une partie de son pouvoir. Alors nommons.

— Dar al-Islam : territoire où la loi islamique s’applique

— Dar al-Harb : territoire de la guerre, voué à être conquis

— Hudna : trêve tactique, pause stratégique sans reconnaissance de paix

— Sulh : accord imposé à un vaincu

— Taqiya : dissimulation stratégique, double langage assumé

— Da‘wa : influence culturelle, prédication politique, implantation progressive

Comme le rappelle Bat Ye’or :

« Dans la tradition du djihad, la paix n’est pas un objectif, mais une phase tactique. »

Et Ephraïm Herrera souligne :

« Dans la pensée classique, la hudna n’est qu’un arrêt temporaire imposé par le rapport de forces ; elle ne transforme jamais l’état de guerre en état de paix. »

Ce triptyque – hudna, taqiya, da‘wa – n’est pas un lexique lointain : ce sont les instruments d’une conquête méthodique, ajustés aux sociétés qu’ils cherchent à remodeler pour soumettre.

 a. HUDNA : La Trêve qui respire puis qui frappe

La hudna n’est pas une trêve : c’est la mise en sommeil d’un couteau, une suspension contrôlée du conflit, jamais sa résolution.

La diplomatie occidentale aime se réfugier derrière des concepts rassurants « processus de paix », « cessez-le-feu humanitaire », « négociations » – sans comprendre que, dans d’autres logiques politiques, ces termes changent de sens.

Dans l’islamisme politique, la hudna n’est pas la fin des hostilités :

  • c’est un temps de recalibrage stratégique,
  • un sas logistique où l’on se réorganise, où l’on reconstruit des capacités, où l’on prépare l’étape suivante pour frapper plus fort.

Instrument ancien, inscrit dans le fiqh (jurisprudence islamique), la hudna n’est jamais un aboutissement mais une manœuvre, une tactique.

Là où le diplomate français se félicite d’un « apaisement », l’islamiste identifie un angle mort, une fenêtre d’opportunité pour renforcer son emprise, ajuster ses récits et poursuivre sa progression, mais à un rythme différent.

L’historien Bernard Lewis l’explique clairement :

« Il existe une incompréhension radicale entre l’idée occidentale de la paix et la conception classique de la trêve dans la tradition islamique. Une trêve n’est qu’un répit avant la reprise des hostilités. » (The Crisis of Islam)

On signe aujourd’hui pour respirer demain, puis on revient.

Le spécialiste américain David Cook écrit :

« Historiquement, les trêves dans la jurisprudence islamique ne sont pas des instruments de résolution mais des instruments de survie stratégique. » (Understanding Jihad)

La hudna n’est donc pas une concession : c’est un calcul.

Rien d’occulté ici : le mécanisme est inscrit dans les textes, dans l’histoire, dans la mémoire stratégique de mouvements pour qui la trêve n’est jamais un compromis, mais une étape dans un processus de conquête par paliers.

La philosophie politique – de Hobbes à Aron – rappelle une règle simple : il n’y a de paix que si les intentions sont vérifiables. Sinon, ce n’est qu’une suspension, et une suspension peut devenir un décalage du danger, non sa résolution.

Derrière tout cela demeure une question que les chancelleries n’osent plus formuler :

« Comment accorder sa confiance à ceux pour qui la paix est une ruse ? »

b. TAQIYA & DA‘WA : Discrétion, séduction, patience stratégique

. La taqiya n’est pas un mensonge, c’est une stratégie. La taqiya autorise le double langage.

Elle permet la duplicité, l’ambivalence, l’ambiguïté maîtrisée.

— Dire une chose ici, son contraire ailleurs

— Afficher une modération de façade

— Lisser le discours pour rassurer

— Attendre que l’équilibre de forces s’inverse

Raphael Israeli le formule ainsi :

« La taqiya permet aux mouvements radicaux d’avancer sous un masque de modération. » (Islamikaze)

La taqiya n’adoucit jamais les intentions, elle les dissimule en attendant mieux.

. La da‘wa – elle, opère plus en profondeur, c’est l’encerclement social, c’est la conquête douce. C’est le cheval de Troie social, éducatif, associatif.

Elle infiltre :

— Soutien scolaire

— Aide alimentaire

— Réseaux de femmes

— Centres culturels

— Périscolaire

— Jeunesse

— Tissu associatif

— Médiation urbaine

Ce n’est pas une offensive spectaculaire, c’est un encerclement progressif du quotidien.

Là où la da‘wa passe, la République recule.

Comme l’écrit Ephraïm Herrera :

« L’islam politique ne vise pas la coexistence mais la prééminence normative. »

Sous couvert d’humanitaire ou d’intégration, la da‘wa influence les mentalités, construit des sympathies, infiltre des imaginaires, installe progressivement des normes nouvelles.

On ne gagne pas une société par les armes ; on la gagne par :

  • L’esprit
  • L’école
  • L’association
  • La bibliothèque
  • Le récit

– La séduction construit l’acceptation

– L’acceptation prépare l’implantation

– Une porte ouverte ne se referme pas seule

2. Le récit : substituer le sens pour substituer la norme

– Avant de remplacer les lois, on remplace les mots.

– Avant de remplacer les peuples, on remplace les récits.

La stratégie islamiste commence par capturer l’imaginaire :

  • Réécrire l’histoire locale pour en effacer les racines chrétiennes et juives
  • Instiller le soupçon contre la laïcité présentée comme « antireligieuse »
  • Dissuader toute critique en brandissant l’anathème d’ « islamophobie »
  • Inverser les rôles : le bourreau devient victime, la victime devient oppresseur

– Le récit identitaire français est déclassé, rendu honteux, suspecté de racisme par essence.

– On fait taire la mémoire pour faire taire la résistance :

Un peuple qui n’assume plus son histoire ne défendra plus son avenir.

3. L’imaginaire : là où commence la conquête

Une civilisation ne se conquiert pas d’abord avec des armes, mais avec des symboles :

— Minarets qui poussent

— Clochers qui tombent

— Hallal généralisé

— Piscines séparées

— Cantines adaptées

— Foulards normalisés

Les marqueurs d’un autre système de normes deviennent le paysage commun, tandis que les repères français deviennent folkloriques – ou « discriminatoires ».

  • Aliénation douce. Transformation durable.
  • L’imaginaire façonne le permis et l’interdit :

Lorsque le symbole change, la loi suit.

4. La France : un pays sans immunité

– La France n’a ni doctrine, ni réflexes de survie, ni lucidité politique.

– La France se croit invincible. La France nomme « islamophobie » toute alerte. La France croit que la naïveté protège

En France, l’islamisme politique avance non par la violence massive, mais par la capture des interstices :

  • Municipalités,
  • Associations,  Centres sociaux,
  • Périscolaire,
  • Subventions culturelles,
  • Communication victimaire,
  • Contrôle du récit

Ce n’est pas un fantasme, c’est un constat établi :

Certaines zones françaises fonctionnent déjà comme des enclaves normatives soumises à d’autres allégeances.Les règles républicaines n’y existent plus, ou seulement comme traces administratives.

5. Saint-Denis : la nécropole des rois au cœur d’un territoire soumis

On peut mesurer l’effondrement civilisationnel d’un pays à l’état de ses lieux les plus sacrés. Or voici le symbole parmi les symboles : la basilique de Saint-Denis – nécropole des rois de France, cœur monarchique, spirituel et historique de la nation.

Aujourd’hui, elle se dresse encerclée par un monde qui ne la regarde plus, au milieu d’un territoire où la norme républicaine recule, où un autre système de références s’est progressivement installé.

La présence française y paraît presque archéologique : les codes – vestimentaires, culturels, sociaux – ne répondent plus au même récit national.

Le sol de l’Histoire s’est déplacé.

Lorsque même les tombeaux des rois sont cernés, la question n’est plus symbolique : elle est géopolitique.

Le changement civilisationnel ne commence jamais par la perte des majorités démographiques, mais par la prise des lieux qui racontent l’histoire.

Le grand remplacement n’est pas un spectre : c’est la conquête de l’espace symbolique, avant la conquête du reste.

6. LFI : le bras politique du séparatisme

Jamais un parti national n’avait offert en France une telle caisse de résonance aux agendas islamistes.

LFI n’est pas, en soi, un mouvement islamiste.
LFI est révolutionnaire dans son ADN : elle cherche des forces capables de fissurer l’ordre républicain.

L’islamisme politique, lui, cherche des relais pour accélérer son influence au sein des institutions.

Chacun y voit un levier. Chacun y trouve un intérêt.
L’un veut renverser le système, l’autre veut le remplacer.

Ce n’est donc pas une alliance idéologique, mais une convergence stratégique :

La radicalité politique et la radicalité identitaire se renforcent mutuellement au détriment de la cohésion républicaine.

Objectifs :

  • Fracturer la nation
  • Capter un vote communautaire
  • Installer des relais municipaux
  • Délégitimer l’État
  • Préparer la prise de territoires

2026 sera l’année d’inflexion. Les municipales constituent le rendez-vous décisifde cette stratégie d’implantation.

– Car ce sont les villes qui façonnent la vie réelle : logement, écoles, subventions associatives, culture, sécurité du quotidien. Les mairies ne sont pas de simples administrations : ce sont des centres de pouvoir concret.

Un mouvement islamiste ne prendra pas Matignon en 2027, mais des mairies peuvent basculer dans quelques semaines.

– Et l’histoire politique le montre : la prise durable d’une ville pèse souvent plus qu’un portefeuille ministériel sans leviers.

C’est au niveau municipal que se fabrique soit la protection républicaine, soit la fragmentation du territoire.

7. Le CFCM : le cheval de Troie construit par l’État

Autre leçon ignorée :

Le CFCM (Conseil Français du Culte Musulman), créé sous Nicolas Sarkozy, avait pour ambition de structurer un islam pleinement inscrit dans la République, à l’image du modèle consistorial de France),

Dans les faits, la structure a été progressivement dominée et engloutie par l’UOIF (Union des Organisations Islamiques de France), branche française des Frères musulmans, qui en a fait un levier d’influence.

C’est une constante de l’islamisme politique :

Il investit les structures qu’on lui ouvre, s’y installe, les transforment, les vident de leurs sens, puis les utilisent contre ceux qui les ont bâties.

Et pourtant, la France s’apprête à reproduire les mêmes schémas institutionnels, avec les mêmes vulnérabilités, comme si l’échec du CFCM n’avait jamais existé.

8. Le projet islamiste : substituer une norme à une autre

L’islamisme politique n’est pas qu’un fanatisme religieux. C’est un projet total, qui veut régir :

  • Le droit,
  • L’espace public,
  • Les mœurs,
  • La famille,
  • L’école,
  • La culture,
  • La mémoire,
  • L’imaginaire.

. La méthode s’adapte au terrain : l’infiltration associative et municipale.
. Le but ne varie pas : substituer un système normatif à un autre.
. On ne remplace pas les hommes d’abord, on remplace les règles.
C’est cela, le vrai grand remplacement.

9. Défaite culturelle, puis défaite politique = renoncement

Toute défaite politique commence par une défaite culturelle.

— Qui contrôle les mots contrôle les idées.

— Qui contrôle les idées contrôle les normes.

— Qui contrôle les normes contrôle l’État.

Le renoncement français selon Hannah Arendt :
« La catastrophe commence lorsque la société renonce à la responsabilité du monde »

Et c’est exactement ce que la France fait :

— Elle renonce à nommer,

— Renonce à distinguer,

— Renonce à défendre,

— Renonce à hiérarchiser,

— Renonce à dire : « ceci est à nous ».

On ne peut pas défendre ce qu’on ne reconnaît plus comme sien.

En France, certains quartiers appliquent déjà leurs propres règles et programment d’instituer la CHARIA.

10. 2026 : l’année du basculement

Si plusieurs villes tombent en 2026 :

— Subventions orientées

— Jeunesse encadrée par des réseaux militants

— Centres sociaux idéologisés

— Récit victimaire institutionnalisé

— Électorat captif

— Remplacement des normes locales

. C’est ainsi qu’une civilisation se fait remplacer : invasion et délégation.
. La France s’apprête à déléguer ses territoires, puis ses institutions, puis son récit.

Que faire ? Cinq axes de survie :

1. Aucune coopération institutionnelle avec des mouvances doctrinalement islamistes

2. Transparence totale des financements étrangers

3. Laïcité ferme, sans accommodements ni dérogations

4. Réarmement civique, éducatif, culturel et restauration du récit national

5. Diplomatie lucide, sans complaisance. Cesser de cajoler des acteurs qui ne partagent pas nos normes

12. Conclusion : le couperet

Voici la vérité nue :

– La France est la preuve qu’une civilisation aveugle peut s’effondrer d’elle-même.

– Une civilisation ne meurt pas que d’un assaut, elle meurt quand elle cesse de croire qu’elle mérite de vivre.

– La France n’est pas conquise : elle s’est rendue, elle s’est offerte.

– La France n’a plus d’excuse.

– La France s’effondrera par son déni.

– Il ne reste plus qu’une question : la France veut-elle encore être elle-même ?

– Ou a-t-elle déjà signé, sans le dire, sa reddition identitaire et culturelle ?

– Il arrive un moment où les nations n’ont plus le luxe de l’ambiguïté.

– Il ne reste qu’un choix : se réveiller ou s’effacer.

– Il ne reste pas dix ans.

– Il ne reste pas cinq ans.

– Il reste un sursaut

C’est maintenant qu’il faut agir
ou assumer notre disparition

Parce que dans l’Histoire :

— Il n’y a pas de pause,

— Pas de replay,

— Pas de seconde chance.

Il n’y a que deux phrases possibles pour les peuples :

« Nous sommes encore là. »
Ou
« Nous étions autrefois. »

Tout se joue là.

Et le temps de choisir touche à sa fin,

Paris s’avance vers la sacralisation islamiste, et l’Élysée vers le carré noir de l’Europe.

C’est là que se joue – et se perd – la bataille de la civilisation.

13. L’unité (Ehad) : la condition de survie d’une civilisation

SANS EHAD, IL N’Y A NI PEUPLE, NI NATION, NI AVENIR

Même si des divergences persistent, Israël a survécu parce qu’il a compris une loi simple, presque métaphysique :

Un peuple divisé est un peuple vulnérable ; un peuple rassemblé peut traverser toutes les tempêtes.

La France, elle, s’est diluée à force de céder à la fragmentation :

— Fragmentation identitaire

— Fragmentation idéologique

— Fragmentation territoriale

— Fragmentation mémorielle

On ne gagne aucune bataille – culturelle, politique ou civilisationnelle – avec un pays éclaté en archipels qui ne se parlent plus.

Le nombre 13, en guématria, exprime l’unité (Ehad) et l’amour (Ahava), les deux forces qui permettent à un peuple de rester UN et de rester vivant, même dans la tourmente.

C’est ce qui manque aujourd’hui à la France.

Non pas l’amour sentimental, naïf ou désarmé, mais

  • l’amour comme cohésion,
  • l’unité comme condition de défense,
  • le lien comme fondement d’une souveraineté culturelle réelle.

Le grand remplacement progresse toujours dans les nations fatiguées, divisées, découragées de considérer leur propre continuité.

Face à des forces idéologiques parfaitement unies, organisées autour d’un projet total, une nation éclatée ne peut que reculer.

La France ne manque pas d’intelligence, elle ne survivra que si elle réapprend l’unité.

Elle disparaîtra si elle persévère dans la dispersion.

Ce treizième point n’est pas un diagnostic, c’est un avertissement et peut-être, pour ceux qui savent lire les signes, un appel.

Si la France laisse ses clochers se taire et ses minarets dicter le paysage, alors elle s’éteindra dans le déni à moins qu’elle ne décide enfin de se relever, de nommer l’islamisme, et de défendre ce qu’elle est avant que tout ne soit perdu.

Aux armes Citoyens – celles de l’identité –
Sinon, aux larmes de l’oubli SS♦

Serge Siksik, MABATIM.INFO


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2 commentaires

  1. la France s est couchėe comme un seul homme devant les nazis , les soldats hitleriens consideraient une mutation en France comme aujourdhui un sejour au club med .
    la France s islamisera en douceur car il est dans sa nature de se soumettre , la republique laique est deja morte et enterrée , seuls les juifs l ignorent .
    pour les juifs , il y aura ( il y a ) l alya , pour les autres la charia , c est le choix d un vieux peuple avachi et personne ne viendra le discuter .

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