Les idéologies sont les sectes du troisième millénaire.

Leurs adeptes hors-sol possèdent des caractéristiques distinctives, communes à tous, quel que soit le contenu de leurs croyances.

Il y a les narcissiques affamés de notoriété (Greta Tongues-Vertes, Méchancon Bolivarien, Secrét-Herr General Gutteres, le rappeur Macronino, etc.).

Il y a les professionnels de la victimisation, les malveillants de haut niveau, les mythomanes affranchis des lois de la Nature, les meutes de loups solitaires à pattes blanches, les Blancs privilégiés des cités-dortoirs et les miséreux monarques pétrolifères…

Comment distinguer les idéologues ? Quelle est cette matière molle entre leurs oreilles ? Où se déverse leur haine systémique ?

Les voici disséqués dans une étude sérieuse de Liliane Messika, Des idéologies bonnes à manger du foin*, où la géopolitique croise la psychanalyse, où la sociologie affronte l’Histoire et où la psychopathologie ne sait plus où donner de la tête.

L’ouvrage est illustré par Chereau.

Les auteurs :

1. Liliane Messika, essayiste et psychologue polyglotte, est une spécialiste pince-sans-rire des conflits sectaires et du Moyen-Orient.
2. Antoine Chereau, dessinateur de presse au crayon acéré, est capable de faire rire de tout sans parler de rien et sans vexer personne (enfin presque).

* En vente ici au modeste prix de 12 €

LR♦