Chroniques en bleu blanc rouge…

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de Liliane Messika

Pour la troisième année consécutive, les chroniques qui ont régalé de nombreux internautes issus de tous les milieux et de toutes les mouvances (mais, ce qui va sans dire, va encore mieux en le disant, jamais provenant des extrêmes) sont rassemblées en un volume.

Après les Chroniques entre rage et rire en 2018 et Les petites chroniques qui grattent, qui grattent, en 2019, celles-ci se voient donc attribuer le dossard numéro 3, ce qui ne les destine pas, pour autant, à une médaille de bronze.

Elles portent le bleu du patriotisme, le blanc de la page vierge, avant qu’elle soit badigeonnée du filtre rose (celui qui rend aveugle au danger vert-brun), et le rouge de la saine colère à la vue de la distance séparant la réalité de sa description romantico-médiatique.

L’AUTEUR

Liliane Messika écrit par plaisir, par nécessité, par vocation…

Elle a obtenu des (modestes) prix littéraires (Prix de la Nouvelle Hossegor 2006 et Coup de Cœur Wizo Marseille en 2016), mais quand elle bu du rosé, ou quand elle a un coup de blues, elle admet que pour satisfaire à sa passion, elle grimperait volontiers aux arbres, s’il le fallait.

Jusqu’ici cela n’a pas été nécessaire. Heureusement : elle est très maladroite !

Elle est l’auteur d’une quarantaine d’ouvrages dans tous les genres ou presque : essais, romans, BD, beaux-livres, nouvelles, biographies, traductions. LR

Un commentaire

  1. Une des meilleures plumes à dénoncer le double standard antijuif, l’hypocrisie des roquets d’Orsay, l’aveuglement volontaire d’une gauche clientéliste, les délétères cucuteries de la bien pensance, le cynisme des journagandistes à l’honneur perdu, la cautèle des braves gens pour qui  » pas de fumée sans feu « .

    Bref, tous les visages de l’antisiomitisme en prennent un bon coup sur le mufle, et ça réjouit.
    Bravo, Liliane, et merci pour vos roboratifs coups de gueule.

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