
En 2020, en pleine pandémie du Covid-19, Klaus Schwab, directeur du Forum économique et mondial de Davos a publié un livre avec Thierry Malleret, dans lequel il explique qu’avec cette pandémie, le monde devait impérativement changer. Il fallait, pour le dire familièrement, remettre les compteurs à zéro ! Un mauvais esprit pourrait s’égarer pour y voir une forme de « complotisme » et déclarer que décidément, ce virus, venu de Chine et lâché sur la terre entière, tombait à pic ! Et nos deux compères, il faut bien le reconnaître, n’ont pas attendu longtemps pour nous expliquer que le monde d’avant était derrière nous et qu’il devait céder la place au monde d’après, un monde tout neuf, un monde qu’on n’a jamais connu mais vers lequel il faudra marcher, de toute urgence, comme on marche vers la lumière. Et c’est bien ce que dit Klaus Schwab dans son introduction :
« À quoi le monde post-pandémique pourrait, et peut-être devrait ressembler ? »
Car, selon les auteurs, la pandémie aura un impact décisif sur notre avenir. Partant de ce postulat, les deux comparses précisent les domaines qui seront impactés par les conséquences de cette pandémie : car il s’agit, selon eux, d’un paysage futur (pourquoi ne pas dire futuriste ?) qui se dépliera devant nos yeux ébahis.
Les changements intéresseront les domaines suivants :
1) Les facteurs sociétaux, économiques, géopolitiques, environnementaux et technologiques.
2) Les effets au niveau micro, sur des industries et des entreprises spécifiques.
3) Des hypothèses sur la nature des conséquences possibles au niveau individuel et sociétal.
Mais nous ne devons pas oublier que
« une seule voie nous mènera vers un monde meilleur : plus inclusif, plus équitable, et plus respectueux de Mère Nature. »
Au fond, à quelque chose malheur est bon et si le virus n’avait pas existé, il aurait fallu l’inventer !
La Grande réinitialisation non seulement nous sortira de la pandémie, mais elle ouvrira pour nous le meilleur des Mondes !
Analyse : un ton prophétique et alarmiste
Selon les auteurs, la crise du Covid n’aurait pas
« d’équivalent dans l’histoire moderne » et « elle nous plongerait dans les moments les plus difficiles que nous ayons connus depuis des générations. » « Nous allons devoir faire face à ses retombées pendant des années et beaucoup de choses changeront à jamais. »
Et, comme pour enfoncer le clou de cette vision d’épouvante, les auteurs nous disent que
« beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. » La réponse est : Jamais. « La normalité d’avant la crise est brisée » et rien ne nous y ramènera, car la pandémie de coronavirus marque un point d’inflexion fondamental dans notre trajectoire mondiale »
D’autres évoquent « une crise profonde aux proportions « bibliques ».
« Nous allons faire face à des changements radicaux d’une telle importance que certains experts parlent d’ères « avant coronavirus » et « d’après coronavirus ». Ce faisant ils formeront une « nouvelle normalité » radicalement différente de celle que nous allons progressivement laisser derrière nous.
Cette vision cauchemardesque a de quoi surprendre si l’on se réfère au nombre de morts qui, pour ne parler que de la France, reste de l’ordre de 107 616 et 3 393 600 dans le monde. Certes c’est évidemment trop mais cela n’a rien à voir avec des épidémies comme la grippe espagnole de 1916 à 1918 qui fit près de cinquante millions de victimes. Or cette catastrophe n’a engendré aucune réinitialisation du monde !
En effet, lorsqu’on lit les quelques citations ci-dessus, on est pris d’un doute. D’où parlent ces Cassandres pour nous donner une telle vision du monde post-covid ? Il s’agit là d’affirmations jamais étayées par des faits concrets. Affirmations assénées comme des coups de massue afin de faire entrer dans la tête des gens une vérité ontologique. Comme si tout avait été pensé à l’avance et que seuls quelques esprits éclairés avaient pour mission de nous familiariser avec l’impensable.
Une gestion de la pandémie pour le moins irrationnelle… voire dangereuse. Le cas de la France.
Lorsqu’on analyse avec un peu de recul la manière dont la pandémie a été gérée, on ne voit rien de rationnel ni de convaincant dans cette gestion.
- Impréparation totale, notamment à propos des masques qui dès le début ont fait cruellement défaut. Ce qui a fait dire au gouvernement 1. qu’ils étaient inutiles (moment où l’on n’avait pas de masques), puis 2. qu’il fallait le porter partout, dans la rue et les lieux fermés, à la campagne et sur les plages…
C’est la Chine qui nous a d’abord fourni les masques dont la qualité s’est avérée mauvaise et les a rendus inutilisables. Les masques se sont révélés obligatoires dès lors que la France a pu en acheter. De même pour les appareils respiratoires en nombre très insuffisant.
- Le confinement général s’est révélé désastreux pour l’économie. Alors que selon des médecins il aurait fallu séparer les malades des bien-portants. Dans les EHPAD, la mort de nombre de vieillards aurait pu être évitée s’il y avait eu un tri, à savoir séparer les malades des bien-portants. On a confiné tous les résidents qui n’ont pu voir ou revoir une dernière fois leur famille. Ce traitement inhumain les a achevés.
- La querelle des médecins : inutile et coûteuse. Le gouvernement s’est entouré d’un groupe de médecins non-praticiens, au service de grands groupes pharmaceutiques… Ils ont refusé arbitrairement de laisser les médecins de proximité soigner leurs patients ; ils ont interdit l’hydroxychloroquine qui avait fait ses preuves et qui était peu onéreuse. Ils ont monté une kabbale contre le professeur Raoult, grand épidémiologiste de renommée mondiale, alors qu’il traitait des centaines de malades à Marseille avec l’hydroxychloroquine, jusqu’à son interdiction, et il y a eu très peu de décès.
- Le gouvernement a traité la population avec un mépris et un autoritarisme peu commun. Il nous a asséné chaque soir et sur toutes les chaînes publiques, les chiffres de cas contaminés, de morts, de ressuscités, tableaux quotidiens lancinants et anxiogènes comme s’il souhaitait maintenir la population dans la terreur. Confinés, les gens ont dû écouter à longueur de journée les mauvaises nouvelles (forcément mauvaises) concernant l’épidémie.
- Complotisme : Tous ceux qui ont émis des doutes – analyses à l’appui – sur la manière de traiter la Covid-19 19 – se sont vu affublés de l’étiquette infamante de complotistes. Or il y en eut beaucoup et tous étaient des scientifiques patentés. Et, les jours passant, on s’aperçoit que leurs mises-en garde étaient fondées quant à la manière de traiter l’épidémie et il en va de même pour les vaccins. Aujourd’hui une partie de la population a le sentiment d’avoir été bernée. L’analyse du professeur Christian Perronne dans son livre : « Y-a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? » est, à cet égard, stupéfiante.
- Rappelons aussi que les lits se sont révélés dramatiquement insuffisants mais pire, cette insuffisance n’a pas été corrigée tout au long de l’épidémie. Elle a révélé le rôle délétère d’une bureaucratie paralysante.
- Et le passe-sanitaire : véritable atteinte à la liberté individuelle, va réglementer nos déplacements si l’on ne détient pas ce passeport vaccinal qui nous permettra de voyager en Europe et au-delà. C’est une atteinte fondamentale à la libre circulation des personnes et tout cela justement au nom de la liberté ! Au moment où les populations immigrées extra-européennes peuvent entrer illégalement en Europe, et sur notre territoire national, les citoyens de souche, eux, se voient soumis à un contrôle permanent : soit par tests obligatoires, soit par un vaccin qui ne saurait tarder à le devenir…
La grande réinitialisation.
Venons-en maintenant à ce bouleversement annoncé et qu’aurait suscité la pandémie. En réalité, il ne faut pas longtemps pour comprendre que les projets des hommes de Davos étaient déjà dans les tuyaux et que la Covid-19 19 leur a donné le coup de pouce qui allait les propulser dans la mondialisation. Quelqu’un doté d’un mauvais esprit dirait même qu’ils savaient que le virus allait arriver !
Sans entrer dans les détails, traçons les grandes lignes de ce projet de réinitialisation.
- L’interdépendance
Dans notre monde hyperconnecté,
« puisque nous sommes maintenant dans le même bateau (avec la Covid-19), l’humanité doit prendre soin du bateau mondial dans son ensemble. »
La métaphore est belle et elle annonce la couleur. L’intérêt des nations s’efface au profit de l’intérêt du monde. Ajoutons que la pandémie, dans sa vitesse à se répandre, a accéléré ce besoin d’interdépendance.
- La réinitialisation économique
« L’histoire montre que les épidémies ont été à l’origine des grandes réinitialisations de l’économie et du tissu social des pays. Pourquoi en serait-il autrement avec la Covid-19 ? »
(Je vous le demande !) Et le sifflement des oiseaux de mauvais augure, nous prédit que : « un retour à la normale ne peut être envisagé avant qu’un vaccin soit disponible. » Donc la priorité, c’est le vaccin ; Tant que la planète entière ne sera pas vaccinée on ne pourra espérer revivre normalement.
Le confinement a ralenti la croissance et le travail ; on ne connaît pas encore les retombées de ce ralentissement sur l’économie, mais il sera important. Par voie de conséquence le chômage va augmenter de façon inquiétante. Et cela dans tous les pays.
Les auteurs soulignent que les plus pauvres n’ont pu continuer à travailler tandis que les travailleurs au niveau plus élevé ont pu bénéficier du « télétravail. » C’est une source de discrimination.
D’où la nécessité de surveiller les citoyens pour démasquer ceux qui portent le virus, parfois à leur insu. Pour cela il faut accentuer : le Traçage des contacts, le suivi des contacts et la surveillance.
Tracer, suivre st surveiller sont les moyens techniques qui permettront de traquer le virus. On fera donc appel à Apple et Google pour
« développer une application que les responsables de la santé pourraient utiliser afin de retracer les mouvements et les connexions d’une personne infectée par le virus… La personne en possession de téléphone portable devra télécharger volontairement l’application et accepter de partager les données… »
Cela rappelle furieusement les systèmes totalitaires ! La Chine a déjà expérimenté sur sa population ce genre de tracé ! « Bien sûr, Apple et Google ont juré qu’ils ne livreraient pas les données aux organismes qui ne respecteraient pas leurs directives en matière de protection de la vie privée ! »
- La réinitialisation sociale
La Covid-19 a sonné le glas du néo-libéralisme et il faudra redéfinir les contrats sociaux. Le virus a exacerbé les conditions préexistantes d’inégalité, elle a aggravé les disparités de revenus, de richesses et d’opportunités. L’injustice sociale s’est aggravée.
Conséquences : cela pourrait déclencher l’agitation sociale et la désintégration de la société.
Exemple : les États-Unis avec les manifestations des « Black Lives Matter » qui pourraient s’étendre dans le monde entier. Des crises sévères pourraient renforcer les pouvoirs de l’État. C’est pourquoi un nouveau contrat social pourrait être le suivant :
— Une offre plus large, voire universelle d’assistance sociale, d’assurance sociale et de soins de santé. (On a envie d’ajouter et pourquoi pas un revenu universel qui est déjà dans les tuyaux ?) Notons que le rapprochement entre les Black Lives Matter et la pandémie est très fantaisiste !
— La jeunesse pour la grande réinitialisation.
En effet, dans le monde entier, la jeunesse veut lutter contre le changement climatique, l’égalité des sexes, et les droits LGBT… Elle est à l’avant-garde du changement social ! (Tout ce qui mène à un changement anthropologique est donc bienvenu) !
— Mondialisation et nationalisme.
La Covid-19 19 a obligé à fermer les frontières (sauf en France !) On peut craindre la fin chaotique du multilatéralisme et le retour au nationalisme… De plus, le Brexit et l’élection de D. Trump dont la politique a été un retour au protectionnisme, ont contribué à une politique ouvertement contre la mondialisation.
Conclusion, il faut une meilleure gouvernance mondiale ! Là aussi il est clairement souligné qu’il faut en finir avec les Nations !
— La rivalité croissante entre la Chine et les États-Unis.
« Dans l’ère post-pandémique, la Covid 19 pourrait être considérée comme le tournant qui a inauguré un niveau type de ‘’guerre froide’’ entre la Chine et les États-Unis (les deux mots ‘’nouveau type’’ sont d’une importance considérable : contrairement à l’URSS, la Chine ne cherche pas à imposer son idéologie au monde entier. »
Cette dernière phrase est particulièrement intéressante, car elle souligne une réalité que beaucoup de gens ne connaissent pas :
comment peut-on faire confiance à un pays totalitaire qui étend son influence partout dans le monde et qui s’infiltre partout dans les hautes sphères de la gouvernance, telles la banque mondiale, l’ONU et l’OMS ? Nous devons nous préoccuper de la Chine qui infiltre tous les pays afin d’y placer ses pions pour une partie de Go qu’elle maîtrise fort bien. Dire que la Chine ne veut pas imposer son idéologie au monde entier, c’est ne rien comprendre à ce pays dont le Président se prend pour un nouveau Mao Tsetoung.
La Chine se présente comme un pays à imiter et nous entrevoyons qu’un système capitaliste, d’apparence démocratique, peut faire bon ménage avec le communisme.
Dire que la Covid-19 a envenimé les relations entre la Chine et les États-Unis est une contre-vérité. Le virus n’a été qu’un révélateur.
— Réinitialisation environnementale.
À priori, cela n’a rien à voir et pourtant, nous chuchotent les auteurs, détrompons-nous. On peut comparer la pandémie, le changement climatique et l’effondrement des écosystèmes. Ils sont tous les trois des menaces existentielles pour l’humanité ! Ainsi, le réchauffement de la planète et la pollution de l’air ont des conséquences négatives sur notre santé d’une part, et d’autre part, les maladies zoonotiques sont susceptibles de transmettre de plus en plus de maladies. À l’heure où j’écris ce texte, des soupçons de plus en plus nombreux tendent à nous indiquer une autre piste quant à l’origine du virus, présenté comme d’origine animale. La thèse du virus fabriqué en laboratoire, sans être certaine, devient crédible.
— Gouvernements et entreprises.
Les auteurs partent de l’idée qu’il faudra améliorer la protection sociale. (En France elle est la plus élevée et c’est pourquoi nombre d’entreprises françaises se sont délocalisées pour échapper aux charges sociales trop lourdes. Et ce que proposent nos auteurs n’est guère encourageant : « Il y a de grandes chances que les entreprises aient à payer des impôts plus élevés et diverses formes de financement public (comme les services d’aide sociale.)
Quand on sait ce qu’il en coûte déjà aux entreprises et à la sécurité sociale, on se dit qu’il y a derrière ce discours la volonté de détruire les petites et moyennes entreprises qui ne pourront faire face à l’injonction de charges de plus en plus lourdes. Du reste c’est ce que prédisent les auteurs de ce texte.
— Redéfinir notre humanité.
Selon les observations des auteurs, il semble que l’altruisme, la gentillesse et l’entraide se soient manifestés durant cette pandémie. En Italie particulièrement. Pourtant, toujours selon eux, les pandémies suscitent souvent la méfiance tant les inconnues sont anxiogènes. Et à quoi cela peut-il mener ?
« Cela déclenche également une montée des sentiments patriotiques et nationalistes, avec des considérations religieuses et ethniques troublantes qui entrent également en ligne de compte. En fin de compte, ce mélange toxique fait ressortir ce qu’il y a de pire en nous en tant que groupe social. »
Il n’est pas sans intérêt d’insister sur l’horreur du nationalisme et du patriotisme… Car tout est pensé pour en finir avec l’ancien monde et aborder les rivages du multiculturalisme. Du reste, ils nous le disent :
« Au niveau mondial, la vertu de l’entraide a brillé par son absence… »
Ah ! cet égoïsme national est insupportable et cela d’autant plus que nous vivons dans un monde interconnecté. D’où la nécessité de revenir inlassablement aux droits de l’homme qui ont remplacé le politique, en faisant semblant d’ignorer que le politique, et depuis toujours, a pour mission de préserver d’abord son intérêt, ce que font tous les pays, tous les régimes.
Vient alors un long passage moralisateur qui, tel une église nous incite à nous occuper des pauvres, à se sacrifier pour les faibles, à faire preuve d’empathie. S’il revient en effet à la morale religieuse d’aider les faibles, il est ridicule d’affubler l’État d’une mission de curé. Ce dernier est censé travailler pour les intérêts de son peuple. Nous lisons donc (toujours dans la confusion des rôles et des principes) que la Covid devrait nous transformer en âmes charitables et que cela devrait se faire par la Grande réinitialisation ! En somme Schwab et Malleret sont nos directeurs de conscience et, par leur prêche, ils incitent les « mauvaises » nations à se régénérer pour mieux disparaître.
Conclusion : nécessité de la grande réinitialisation.
Il y aurait encore beaucoup à dire sur cette incantation et cette moraline, mais il faut dégager, au-delà de ce discours pseudo-scientifique, la visée bien réelle qui se profile derrière « La grande réinitialisation ». En s’appuyant sur la « pandémie », ils légitiment leur discours, ils lui donnent un rôle de marqueur du réel. Ils œuvrent pour le bien de l’humanité. Or nous savons d’expérience qu’il faut toujours se méfier de ceux qui veulent notre bonheur !
Une remarque préliminaire : ne pas oublier que ce sont les personnalités les plus riches de la terre qui nous font la leçon : les Soros, les Schwab, les Bill Gates et autres GAFAM qui ont décidé pour nous de façonner l’humanité telle qu’ils la rêvent pour notre bien. Pour eux, la technologie est un atout majeur qui permet la connectivité, le traçage de la vie des gens dans tous les domaines, d’engranger toutes les informations qui pourraient être utiles afin de les mettre au pas. Avec la Chine, je le répète, ils sont à bonne école ! La vitesse, la robotisation doivent remplacer l’homme. C’est pourquoi l’ouverture à toutes les folies transhumanistes sont permises ; elles occuperont les gens tandis que « Les nouveaux Maîtres » gouverneront pour nous et pour le meilleur des Mondes. ET♦

Évelyne Tschirhart, MABATIM.INFO
[…] 4 Voir mon article sur Klaus Schwab et Thierry Malleret 2020 – dans Mabatim 2021 […]
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Merci Evelyne, encore trop peu de personnes connaissent ce projet dystopique de quelques psychopathes qui n’ayant plus d’enjeu économique à se mettre sous la dent se destinent à transformer l’humanité en bétail
traçable, tuable et contrôlable à volonté. Nos gouvernants sont les nouveaux collabos. Un seul mot : Resistance 🇫🇷
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Le postmodernisme dans toute son horreur. Il va nous falloir résister à ces fadaises.
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