
La lutte contre l’antisexisme, c’est un fromage
L’ex-bagnard Henri Charrière, alias Papillon, après avoir publié une autobiographie romancée, avait prononcé un hommage au Président de la république de son époque, qui l’avait gracié le 17 octobre 1970 :
« Pompidou, c’est pas un fromage ».
Au pays qui produit 365 fromages, il y en a un dont bénéficie un nombre exponentiel d’organismes agréés par le ministère du Travail : la formation professionnelle (LégiFrance).
Le 23 avril 2020, après un lobbying forcené de militants indigénisto-woko-néo-féministes, un accord de plus a été signé sur « l’égalité des droits et des chances entre les femmes et les hommes. Elle concerne notamment l’accès à l’emploi, les conditions de travail, la formation, la qualification, la mobilité, la promotion, l’articulation des temps de vie et la rémunération. » Cet accord ouvre un boulevard à toutes sortes d’officines militantes pour propager leurs idéologies dans les entreprises.
Dans la famille « militantes », Caroline De Hass a la tête près du bonnet : elle a créé un cabinet à double casquette nommé Egaé, dont elle détient 70 %. Le cabinet est riche de 20 expertes, toutes au féminin, preuve d’un engagement inégal vis-à-vis d’une « égalité hommes/femmes ». Normal quand on sait, comme la patronne l’a déclaré haut et fort, qu’un sur deux ou trois est un agresseur (NouvelObs).
— Côté képi, le cabinet pratique des enquêtes à charge (contre les hommes, cela va sans dire, et avec une hostilité marquée contre les blancs).
— Côté hidjab, il propose des formations pour rééduquer le personnel afin de « percuter cette « illusion de l’égalité » » et de se garantir un fromage à long terme.
En 2019-2020, le ministère de la Culture et les Services du Premier ministre ont beurré la juteuse tartine d’Egaé avec des formations sur
« la prévention du harcèlement sexuel et des agissements sexistes au travail. »
Pour 2022-2023, c’est le Conseil d’État qui financera la rançon de la bien-pensance avec une formation à la lutte contre le sexisme obligatoire pour
« le personnel de direction, le manager intermédiaire, le référent diversité, les représentants des personnels DRH et les cadres RH (Ouest France). »
Quid de l’engagement islamogauchiste de Caroline de Haas ?
C’est une bonne question, que les bienfaiteurs de l’activiste auraient bien fait de poser.
Surtout depuis sa participation à la manif du 12 février 2022 organisée par le groupuscule « Justice pour Adama ». Officieusement, c’était une bonne occasion pour l’islamogauchisme révolutionnaire de compter ses troupes et pour ces jeunes antifas, avides de violence, de jeter leur gourme.
Autour de Caroline De Haas, que de beau monde (le Figaro) ! Assa Traoré, égérie officiellement officieuse de Louboutin, Taha Bouhafs, journaliste sur Twitter et sur quelques sites militants, en réalité colporteur de rumeurs incendiaires (France3), Anasse Kazib, officiellement syndicaliste cheminot, défenseur de Barakacity (Twitter) et du droit des salariés hommes à ne pas serrer la main des salariées…
Il paraît que tous les agents du Conseil d’État n’ont pas sauté en l’air d’enthousiasme. Tout ça parce qu’elle a déclaré que
« la police nationale et la justice sont des institutions anti-femmes et anti-enfants (Huffington) ».
Ils ont dû confondre le slogan publicitaire avec une attaque politique. Faut-il être susceptible pour en arriver là ! LM♦

Liliane Messika, MABATIM.INFO
A deux mois des élections, il fallait le faire. Merci de l’avoir dévoilé. Après avoir été formé, le Conseil d’Etat saura enfin ce qu’il doit penser. Quand on connait Caroline de Haas on en tremble. Rappelons que le 25 février 2016 le Conseil d’Etat a pondu un rapport relatif à la lutte contre la corruption.
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Caroline de Hass been air
de rien , ça sent bon le mélange des genres ce contrat.
Cités, complicité, duplicité.
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