« Sept villes, douze adresses, vingt-six lits »

« Comment Colette et Gérard Sattinger ont-ils pu traverser la seconde guerre mondiale et échapper à l’atroce destin que les nazis leur réservaient ? »

Colette a rédigé ce texte à la première personne car ce sont principalement ses propres souvenirs qui sont évoqués ici, parfois complétés par ceux de Gérard, bien jeune à cette époque.

Pour fixer leurs souvenirs, Gérard Sattinger a relevé des passages d’ouvrages bien connus rapportant des situations contemporaines de celles du récit.

Pour rester bien claires, ces citations apparaissent « en italiques » et légèrement en retrait à la fin de chaque passage concerné.

Rendre cet hommage à leur mère, qui les a préservés des risques inhérents à cette époque, est indispensable pour honorer et perpétuer sa mémoire et celle de leur père.

C’est aussi leur façon d’accomplir leur devoir de mémoire, de lutter contre l’oubli et la falsification de la vérité (voire sa négation) présents et à venir. J-JH ♦