« […] Le visage me parle et par là m’invite à une relation sans commune mesure avec un pouvoir qui s’exerce » 1. Emmanuel Lévinas
Avez-vous remarqué que Tsahal saluait ses morts en montrant leurs visages et cela très rapidement. Chaque homme a son visage, son histoire, il apparaît dans sa volonté de combattre malgré les risques connus de lui. Son attitude est héroïque. Il se bat jusqu’au sacrifice pour sauver Israël de la destruction. Que plus jamais le Hamas ne renouvelle la boucherie ignoble des 6 et 7 octobre.
Tsahal a perdu 469 militaires, hommes et femmes depuis le 7 octobre.
Depuis le 27 octobre, 144 soldats sont morts à Gaza (chiffres du 23 décembre).
Ni le Hezbollah, ni le Hamas ne montrent le visage de leurs morts. 7000, 8000 djihadistes, noyés au milieu des 20 000 civils, chiffres communiqué par le Mouvement islamiste dont personne ne douterait de l’objectivité (pas même La Croix) à l’exception de quelques islamophobes d’extrême droite ! Ce n’est pas le Conseil de sécurité de l’ONU, dont on connaît l’amitié indéfectible pour Israël, qui démentirait cette compilation.
Tsahal ne tuerait majoritairement que des civils, les enfants ayant droit à ce triste privilège2.
De militaires armés jusqu’aux dents, une petite proportion, moins d’un tiers. Vraiment pas la peine de perdre 144 soldats de Tsahal pour si peu. Auraient-ils des fusils montés à l’envers, tout est possible chez les Hébreux, comme le balançait Mahmoud Abbas :
« ce sont des hélicos israéliens qui ont commis les massacres d’octobre… »
Cure de jouvence avec reprise des vieux thèmes parano-négativistes3.
Ce que l’on sait maintenant des visages des terroristes provient principalement des prisonniers capturés en Israël en octobre – ceux qui ne sont pas morts au champ d’horreur – ainsi que ceux qui se sont rendus à Tsahal en cours d’opération à Gaza. Ils savaient bien que l’éthique de l’armée lui interdit de pratiquer la torture et qu’en tel cas une enquête est diligentée.
On souhaiterait qu’une autre enquête soit ouverte pour soutenir efficacement les Gazaouis qui se révoltent contre le Hamas leur interdisant de puiser dans l’aide alimentaire octroyée par Israël. Le 24 décembre, le Hamas a tué un jeune homme qui s’approchait du camion transportant cette aide, entièrement confisquée par le Hamas. Il s’ensuivit une révolte des Palestiniens présents contre la dictature que Tsahal s’acharne à détruire pour le bien de tous4. MN♦
1Totalité et infini, Poche, Kluver Academic, 1971, p.216.
2 Pas ceux qui transfèrent des munitions, le Hamas sachant que Tsahal évite de tirer sur les petits et sur les femmes kamikazes, dernière mouture de nos honorables « résistants ».
3 En 1983, thèse à L’Université Patrice Lumumba, il prétend que seulement 890 000 juifs ont été tués sous le régime nazi. En 1984, dans L’autre côté, des membres du sionisme et des nazis auraient été en contact dans le but de faire le plus de victimes juives possibles pour convaincre de créer l’État d’Israël selon une traduction du Centre Simon Wiesenthal. Inspiré par Faurisson, il remet en question la véracité des chambres à gaz (source Wikipédia). Fermez le ban !
4 Pour plus d’informations je renvoie le lecteur au site JForum. Vous ne perdrez pas votre temps à le lire.
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Cela me rappelle ces auteurs, théologiens, philosophes ou Marie Balmary psychanaliste,
qui ont souligné que, je cite Marie Balmary: “Dieu, en créant, n’utilise la première personne que lorsqu’il s’adresse à l’humain. Auparavant, il n’a pas dit: « Je crée la lumière » mais « Que soit la lumière ». Cette parole nouvelle du Créateur arrive au moment où apparaît l’être avec lequel il peut communiquer. Lorsque Dieu parle, c’est qu’il y a des répondants. Le dieu de la Bible ne se comporte pas comme un parlant-tout-seul, un tout-parlant et une parole unique. Il ne se présente comme sujet qu’au moment où il a voulu d’autres avec lui”. Pas de Tu sans JE et pas de JE sans TU. Mais le diable, lui, appelé Satan ailleurs, que dit-il? Il a reçu le nom de « Satan » qui veut dire adversaire. Il est en opposition à la figure du Créateur, le diable est celui qui divise, il travaille à ce que jamais JE et TU ne se rencontrent. ne se présente jamais lui-même comme sujet. Les sujets de ses phrases sont le Créateur appelé « Élohim » et « Vous ». Il est l’adversaire du sujet, il intervient dans le but de brouiller l’accès à la première personne. Dès qu’il ouvre sa bouche irréelle, il supprime le TU et n’emploie que le pluriel. Je me trompe ou bien nous avons là un critère pour le bien et le mal?
Cela me rappelle ces auteurs, théologiens, philosophes ou Marie Balmary psychanaliste,
qui ont souligné que, je cite Marie Balmary: “Dieu, en créant, n’utilise la première personne que lorsqu’il s’adresse à l’humain. Auparavant, il n’a pas dit: « Je crée la lumière » mais « Que soit la lumière ». Cette parole nouvelle du Créateur arrive au moment où apparaît l’être avec lequel il peut communiquer. Lorsque Dieu parle, c’est qu’il y a des répondants. Le dieu de la Bible ne se comporte pas comme un parlant-tout-seul, un tout-parlant et une parole unique. Il ne se présente comme sujet qu’au moment où il a voulu d’autres avec lui”. Pas de Tu sans JE et pas de JE sans TU. Mais le diable, lui, appelé Satan ailleurs, que dit-il? Il a reçu le nom de « Satan » qui veut dire adversaire. Il est en opposition à la figure du Créateur, le diable est celui qui divise, il travaille à ce que jamais JE et TU ne se rencontrent. ne se présente jamais lui-même comme sujet. Les sujets de ses phrases sont le Créateur appelé « Élohim » et « Vous ». Il est l’adversaire du sujet, il intervient dans le but de brouiller l’accès à la première personne. Dès qu’il ouvre sa bouche irréelle, il supprime le TU et n’emploie que le pluriel. Je me trompe ou bien nous avons là un critère pour le bien et le mal?
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