Par Serge Siksik,
[Tel Aviv 14 août 2025]
Mesdames, Messieurs, ouvrez les yeux.
La France du p’tit Manu vient d’entrer dans la zone de non-retour :
– accorder des visas à des Gazaouis alors que Gaza est le ventre où couve et éclot le Hamas et,
– dans le même mouvement, refuser l’entrée à des agents de sécurité d’EL AL dont la mission est de protéger les passagers et les vols israéliens sur le sol français.
C’est une gifle à la logique. Une insulte à la sécurité. Un crachat au visage de ceux qu’il devrait défendre.
La vérité est nue : ce gouvernement choisit d’accueillir ceux qui peuvent tuer et d’écarter ceux qui empêchent le massacre.
On vous dira : « Erreur administrative ». Mensonge ! Ce n’est pas une bourde, c’est une doctrine.
Macron ne gouverne pas : il trafique. Il ne décide pas en chef d’État : il calcule en chef de clan électoral.
Prisonnier d’un mélange trouble de fascination et de peur envers l’islam politique, il rampe devant lui comme devant un maître dangereux, pour acheter une paix de façade.
Il ne préside pas : il marchande la sécurité contre des voix. Chaque visa, chaque refus, chaque décret est un pion sacrifié sur l’échiquier de la prochaine présidentielle.
La cible est claire : séduire, comme Mélenchon, le réservoir électoral musulman. Même langage codé, mêmes silences coupables, mêmes caresses à l’islamisme qui ronge le pays de l’intérieur.
Ce marché honteux a un prix : les Juifs de France vivent le couteau sur la gorge. Chaque semaine amène son lot d’injures, d’agressions, de menaces. Chaque mois révèle l’inaction volontaire d’une justice aveugle et d’une police muselée. Et aujourd’hui, ultime outrage : la France claque la porte aux hommes et aux femmes chargés d’assurer la sécurité de passagers juifs et israéliens.
Ne vous laissez pas bercer : il n’y a pas de maladresse ici. C’est prémédité. C’est une stratégie lente et froide de démantèlement de la sécurité nationale, menée dans les salons ministériels et déguisée sous le vernis des grands mots républicains.
Pas de balles ni d’explosifs… mais des décrets qui désarment, qui percent des brèches, qui instaurent l’idée qu’on peut impunément viser les Juifs.
Les Juifs de France l’ont compris :
on les pousse vers la sortie.
Pas par choix, par instinct de survie. Et que les autres ne se croient pas hors de danger :
Lorsqu’un pouvoir sacrifie une communauté pour en flatter une autre, c’est toute la nation qu’il vend à la bête.
La Bible prévient : avant la délivrance d’Égypte, survint la neuvième plaie, les ténèbres.
« Une obscurité épaisse recouvrit tout le pays… et nul ne vit son frère » (Exode 10 :22-23).
Nous y sommes. Nuit morale, nuit politique, nuit spirituelle. Une obscurité qui empêche de distinguer l’ennemi de l’allié, le gouffre de la terre ferme.
Macron ne conduit pas la France vers l’ombre : il l’y précipite, pied au plancher, les yeux bandés.
Macron, je t’accuse – (je ne crois pas en toi depuis tes premières apparitions en 2012 dans le gouvernement Hollande. Tu n’es pas mon président, je te traite comme tu nous traites : sans égard ni respect) — :
— de trahir la mission sacrée d’un chef d’État : protéger les siens avant de flatter l’ennemi
— d’avoir troqué le courage contre la peur, la droiture contre la servilité
— d’accorder aux ennemis de la République ce que tu refuses à ses alliés
— de préparer, par calcul cynique, la nuit la plus noire de notre histoire contemporaine
L’Histoire te jugera. Et l’Histoire ne blanchit pas les mains qui ont livré leur peuple aux ténèbres.
Que tu le veuilles ou non, Macron, ton nom ne sera pas gravé au fronton de la grandeur française. Il sera inscrit dans la honte, celle d’avoir ouvert grand la porte aux ennemis et claqué celle des défenseurs.
Et retiens bien ceci :
— Ceux qui pactisent avec le danger finissent toujours dévorés par lui ;
— Ceux qui trahissent leurs alliés deviennent les parias de demain ;
— Et ceux qui abandonnent les Juifs signent toujours l’arrêt de mort de leur propre nation.
« Celui qui creuse une fosse y tombera ;
Celui qui lance une pierre s’en trouvera atteint ».
Roi Salomon – Mishlei (Proverbes) 26 :27 SS♦
Serge Siksik, MABATIM.INFO
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Pour mieux comprendre les comportements irrationnels du Micron agité pour ses réactions violemment anti-Israël/Juifs, il faudrait mener une enquête très approfondie sur le rôle du Qatar-Terroriste-Voyou dans ses ingérences dans les affaires françaises.
En un temps très court, le Micron agité du bocal a libéré Ibrahim Abdallah l’idôle absolue de Sciences Po, suivie peu après de la reconnaissance immédiate des gazaouis au statut de « réfugiés » qui leur donne le droit de venir s’installer en France, en genre, en nombre et selon leur bon vouloir, c’est open bar pour ces ordures animalisées.
Dans ce ciel apparemment sans nuages, il y a eu cependant un os dans la banane : une étudiante gazaouie s’est révélée être une admiratrice de Hitler et a balancé des messages inadmissibles/insupportables indignes d’une future étudiante dans une grande école.
Peu après, ce fut un torchoniste de France 24 qui s’est révélé être sorti du même tonneau malodorant et vénéneux dont sont abreuvées ces pourritures irrécupérables.
Le Micron, secoué du bocal, a continué sa croisade pour trouver de nouveaux alliés dans le but de reconnaître la Palestine, et surtout, pour saboter le travail de TRUMP qui avait bien avancé sur le dossier en vue de la libération des otages, et d’un cessez-le-feu à Gaza.
Le Micron narcissique pathologique a besoin qu’on parle de lui, et surtout, il doit absolument être toujours présent « dans la photo » ou se trouver à proximité des caméras.
Ce dégénéré est capable de bouleverser l’ordre du monde pour un simple caprice mal géré, comme il essaie de le faire dans la guerre en Ukraine où il n’est pas le bienvenu.
Il faut d’urgence le foutre dehors de l’Elysée, lui mettre une muselière pour qu’il se la ferme, ou alors, il faut l’euthanasier d’urgence avant que la guerre civile qu’il prépare n’éclate…
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Ce président Français est profondément antisémite. Inutile d’attendre quelque chose de bon chez lui en ce qui concerne Israël. Le Christ a dit : On reconnaît un arbre à son fruit. Son propre peuple souffre, que fait-il à son sujet ?
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