Piqûre de rappel pour ceux qui après la Shoa encensent encore Wagner,
ce précurseur d’Hitler, Goebbels, Himmler et Eichmann
Le magazine « Neue Zeitschrift für Musik » (Nouveau journal pour la musique) a publié en septembre 1850 un essai de 20 pages intitulé « Das Judentum in der Musik » qui peut se traduire, par « Le judaïsme dans la musique » (mais plutôt, vu le contexte, par « La juiverie dans la musique »). L’essai est signé du pseudonyme « Freigedank ».
En Janvier 1869 Wagner rend publique sous la forme d’une lettre, un texte de 41 pages intitulé « Aufklärungen über das Judentum in des Musik » (Explications sur la juiverie dans la musique). Il y révèle être l’auteur de l’essai publié vingt ans auparavant.
Ces deux textes seront publiés plusieurs fois, dont en 1914 par le prestigieux éditeur de partitions de musique Breitkopf & Härtel (j’en possède un exemplaire).
En voici quelques extraits :
« Je considère que la race juive est l’ennemi primordial de l’humanité et de tout ce qui est noble ».
« Notre plus importante mission est de nous libérer du joug juif ».
« Le judaïsme est la mauvaise conscience de la civilisation moderne ».
Wagner conclut sa maléfique prose en s’adressant directement aux Juifs :
« Vous devez comprendre qu’il n’y a qu’une seule solution
contre la malédiction qui vous poursuit : votre disparition ! »
Ailleurs, dans sa correspondance, Wagner écrit : « le Juif ne peut ni mener une vraie vie humaine ni mourir d’une véritable mort. La seule solution à la pernicieuse question juive est l’élimination totale de la juiverie… »
L’antisémitisme à outrance de Wagner a conduit le philosophe Nietzsche à se demander :
« Wagner est-il un être humain ou une maladie ? »
LE MONDE JUIF.info a publié en décembre 2013 une interview édifiante de Fréderic Chaslin intitulée « Le cas Wagner »
http://www.lemondejuif.info/le-cas-wagner-interview-exclusive-de-frederic-chaslin/
N’en déplaise à Daniel Barenboïm qui en plein concert à Tel Aviv a provoqué les israéliens en faisant jouer du Wagner, moi je coupe le son dès que je décèle le moindre son de cette musique qui faisait les délices d’Hitler : musicien et mélomane passionné, boycotter ainsi me fait le plus grand bien !!!