Comment exister par défaut
Les écolos ont gagné la bataille des Européennes par surprise et par défaut : beaucoup de jeunes électeurs, qui ne se retrouvaient dans aucun candidat, ont pensé « limiter les dégâts » en leur offrant leur suffrage, un raisonnement qui pouvait se résumer en : s’ils ne font rien de positif, au moins n’aggraveront-ils pas la situation.
Erreur : s’il s’avère finalement que s’ils se révèlent inoffensifs, ce ne sera pas faute d’agressivité, mais plus vraisemblablement grâce à leur goût pour les discussions fumeuses sur le sexe des anges, qui paralysent toute prise de décision.
Pour autant, ces gens-là doivent occuper le terrain médiatique afin de ne pas retomber dans le purin de l’oubli où leurs prestations antérieures les avait conduits.
Dans le commerce, ce terrain-là demande des bons produits (Nespresso) et des représentants de premier plan pour porter leur image (George Clooney). Quand le produit est quelconque, l’importance de l’égérie est décuplée. C’est cette loi du business qui a inspiré des écolos, à la recherche d’une image porteuse : quelques dizaines de militants, en compagnie d’une poignée de Gilets Jaunes, ont choisi de s’attaquer à un adversaire, lui-même trèèès connu, afin de capitaliser sur sa notoriété en la faisant rejaillir sur leur propre néant.
Le nominé est Amazon, N°1 du commerce en ligne
Le siège social de Clichy et les deux entrepôts de Lille et Toulouse ont été bloqués, le 2 juillet 2019, par des militants en petit nombre, mais en intentions belliqueuses inversement proportionnelles à leur importance. Ils exigeaient du gouvernement qu’il interdise à l’entreprise américaine d’ouvrir de nouveaux entrepôts à Brétigny, à Lyon et à Metz, ouvertures qui génèreraient 1800 créations d’emplois dans notre pays en 2019.
Ont-ils raison, ces jeunes « Amis de la Terre » ? Non, ce qui va sans dire va encore mieux en le disant. Invoquent-ils une raison à leur exigence ? Oui, une raison particulièrement déraisonnable : ces trois entrepôts seraient « des projets climaticides complètement incompatibles avec l’accord de Paris (le Point) » et le Président de la république ne devrait rien avoir de plus urgent que d’accéder à leur désir infantile : « Macron a un choix : Amazon ou le climat. »
Dixit Alma Dufour, qui jouit du titre ronflant de « chargée de campagne extraction et surconsommation » dans le groupuscule des Amis de la Terre.
Qui a dit : « Tout ce qui est excessif est insignifiant », déjà ? Ah oui, Talleyrand. Et : « La justesse d’une formule se mesure à sa durée » ? Ça, c’est moi. Et celle de Talleyrand n’est pas près de voir arriver sa date de péremption… Quant à la Terre, elle n’a pas besoin d’ennemis avec des amis pareils.
Le chômage est bon pour le climat
Donc, si vous m’en croyez, Alma Mignonne,
Tandis que votre délire fleuronne
En sa plus vaste impunité,
Cueillez, cueillez votre intellectuelle paresse :
Comme à cette fleur, la vieillesse
Vous confrontera à la réalité.
Un petit chiffre vaut parfois mieux que beaucoup d’images : la France affiche aujourd’hui 5,6 millions de chômeurs et les équipes de conseillers de Jupiter Premier en planquent probablement autant sous des appellations contrôlées. Évidemment, avec un passif aussi abyssal, une petite rentrée de 1800 emplois peut sembler négligeable, mais le pire n’étant pas toujours sûr, peut-être une goutte de bon sens finira-t-elle par infecter nos décideurs ?
Quant aux manifestants, qui savourent la minute de silence incrédule accueillant leurs péremptoires incongruités, ils surenchérissent : « Quand Amazon crée un entrepôt avec un millier d’emplois, il en détruit le double, en local. Le chantage à l’emploi ne marche pas avec nous. » Encore une déclaration improbable et improuvable, méprisante pour les chômeurs et méprisable par son absence totale de fondement.
Consensus sur le changement climatique ?
Depuis 1998, plus de 31.000 scientifiques américains ont signé une pétition déclarant qu’il n’existe aucune preuve scientifique que l’activité humaine soit responsable du changement climatique. Vous en avez entendu parler ? Non. On ne trouve ça que dans la presse étrangère : nos médias hexagonaux sont trop occupés à répéter leur mantra sur le la culpabilité humaine dans le réchauffement climatique, oups, changement climatique, pour s’apercevoir d’un détail aussi imperceptible que 31.000 scientifiques, dont quelques prix Nobel, émettant des réserves.
Pourtant, le professeur John Christy, climatologue, professeur des sciences de l’atmosphère à l’université d’Alabama à Huntsville, spécialiste mondialement reconnu des mesures de températures satellitaires et lauréat de nombreuses récompenses pour ses découvertes, a confronté les prévisions des modèles climatiques aux observations satellitaires qu’il mène depuis des années. Résultat : les certitudes du GIEC sont ridiculisées par les données expérimentales (the Guardian).
De son côté, le sénateur James Inhofe, membre éminent du Comité sénatorial de l’environnement et des travaux publics américain, disait déjà en 2007 : « Personne n’a jamais été capable de mesurer l’influence humaine sur le climat. La notion de consensus est soigneusement élaborée à des fins politiques et idéologiques. (…) Même s’il peut sembler à l’observateur occasionnel que les scientifiques pro-craintes climatiques constituent une majorité, les preuves continuent de révéler qu’il s’agit d’une illusion. Les sceptiques quant à l’influence humaine sur le climat […] reçoivent une part minime des fonds de recherche universitaire, moins de financement par les fondations et peu ou pas de subventions gouvernementales, car ils ne sont pas branchés sur le lobby des intérêts environnementaux, qui est bien nanti. (Sénat US) »
Les changements climatiques dans l’histoire de la Terre
Le plus étudié s’appelle le Younger Dryas et il s’est produit il y a environ 12.800 ans, à une époque où les médias ne connaissaient pas encore Donald Trump et ne pouvaient donc pas l’en rendre responsable. Ce genre d’événement est loin d’être unique dans l’histoire de notre planète. L’incrimination de Trump aussi, mais cela n’a aucun rapport avec la choucroute, la preuve c’est que ce sont des paléoclimatologues qui étudient la chose et non le service « facts checking » de Libération.
Ils (les paléoclimatologues, pas les journalistes de Libé) ont identifié un refroidissement, qui a duré 200 ans, dans l’hémisphère Nord, il y a il y a environ 8.200 ans.
Tss tss, on constate des changements climatiques abrupts au Canada et on veut nous faire croire à l’innocence de Trump ? Le scientifique qui ose cette manœuvre est une bande de fachosphère à lui tout seul !
Ce n’est pas tout : il y a 55,8 millions d’années, à un moment où Trump avait un alibi en béton, Météo Paléocène constatait une augmentation de la température terrestre. À l’inverse, Météo Oligocène, il y a 34 millions d’années et Météo Miocène, il y a 23 millions d’années, ont noté chacun un épisode de refroidissement rapide. Ces trois événements, attestés scientifiquement, ont eu des conséquences écologiques, climatiques et biogéochimiques globales. D’après les preuves géochimiques, le premier, le réchauffement climatique, était associé à une augmentation rapide des concentrations de dioxyde de carbone dans l’atmosphère, qui provenaient peut-être du dégazage et de l’oxydation massifs des hydrates de méthane du fond de l’océan, mais en tout cas, pas de la circulation automobile ou des commandes de livres sur Amazon.
L’homme ne serait pas responsable de la disparition des dinosaures ?
Ben non, aussi puissant qu’il s’imagine être, Homo Sapiens n’a pas exterminé une espèce disparue 58 millions d’années avant sa naissance[1].
Petite parenthèse : dans la famille Toute-Puissance, on vous donne volontiers Mahomet, qui ne peut pas être allé en rêve dans une mosquée de Jérusalem construite en 670, 40 ans après sa mort (en 632). Un évêque, Arculfe, en témoigne, qui a assisté à la construction de la mosquée el-Aqsa, pendant son voyage en Terre Sainte, cette année-là : « Dans le lieu fameux où fut magnifiquement construit le Temple, les Sarrasins ont élevé une maison de prière… (Remacle.org) » Comme c’est la seule raison pour laquelle les musulmans considèrent Jérusalem comme leur « troisième lieu saint », on mesure la pertinence de l’argument. Ni cette pertinence ni cet argument n’interfèrent dans la reprise de cette dénomination par les médias français. Ils les ignorent probablement, mais ils ont choisi leur camp et ont donc adopté son vocabulaire. Parenthèse refermée.
C’est dur à admettre, particulièrement pour tous ceux qui ont bâti leur plan de carrière dessus, mais le changement climatique est un autre phénomène sur lequel l’homme n’a aucune influence.
Il est innocent dans son apparition et impuissant dans sa disparition.
La planète Terre connaît des épisodes cycliques de changements climatiques abrupts depuis l’époque des dinosaures, quand l’homme n’avait pas encore été inventé. Il n’est pas pour grand’ chose dans celui qu’on observe aujourd’hui et les sommes pharaoniques qu’il a déjà englouties dans l’espoir de réduire le réchauffement planétaire en dessous de 2°C n’auront quasiment aucun impact sur le climat.
En revanche, l’impact de cette nouvelle foi religieuse sur le portefeuille de toute une population de parasites est, lui, conséquent.
Un exemple de droiture intellectuelle qui vaut mille soumissions au climatochangisme : Judith Curry, professeur à l’école des sciences de la terre et de l’atmosphère au Georgia Tech d’Atlanta, reconnue par l’American Meteorological Society, l’American Geophysical Union, la NASA, la NOAA et la Fondation Nationale des sciences, note que « presque la moitié du réchauffement constaté au XXe siècle s’est produite lors de sa première moitié, avant le développement mondial » et que « la climatologie est devenue un parti politique de tendance totalitaire (…), une science douteuse au profit d’un projet politique (le Point) ». En 2017, elle a démissionné de son poste de professeur d’université, parce qu’un scientifique étant obligé d’adhérer à l’idéologie du GIEC pour obtenir des crédits et avancer dans sa carrière, soit il renonce à l’intégrité scientifique, soit il fait une croix sur sa carrière. Elle a choisi la deuxième option. Respect.
Théories alarmistes – Faits rassurants : chacun son boulot !
Ceux que la fonte des glaciers empêche de dormir avec la menace d’une pénurie mondiale en eau devraient s’intéresser aux constats de la NASA : vu du ciel, un des plus grands glaciers du Groenland, le Jakobshavn Isbrae, dont on avait auparavant observé un rétrécissement très rapide, est maintenant en pleine croissance. Les observations de la NASA le concernant ont été publiées dans Nature en mars 2019, dans une étude qui conclut à un refroidissement des eaux et non à un réchauffement climatique. On signale que Nature n’est pas un perdreau de l’année, qui prendrait les dépêches de l’AFP pour la pravda[2] révélée !
« S’il y a un consensus de 97 % de scientifiques en faveur de la thèse climato-alarmiste du GIEC, il y a, parmi ces scientifiques, 0 % (zéro !) de physiciens ayant étudié le rôle climatique du CO2. (…) Le GIEC s’est basé sur le travail d’Arrhenius (XIXe siècle), vite contredit, mais tellement ‘’intéressant’’ pour ceux qui y trouvent leur intérêt. » Dixit Claude Brasseur, pas l’acteur, le mathématicien, fondateur du centre de recherches à l’université de Lubumbashi, Faculté polytechnique, en énergies renouvelables.
Giordano Bruno, Michel Servet, Galilée, et nous et nous et nous ?
Et si l’opinion des scientifiques était plus justifiée, ou au moins aussi légitime que celle des idéologues et des journalistes ? Les perspectives que cela ouvre dans tous les domaines sont tellement vertigineuses que cela a peu de chance d’arriver : le changement autre que climatique est ce que redoutent par-dessus tout nos directeurs de conscience médiatiques. Sans compter tous les chercheurs bénéficiaires de généreuses bourses, qui se contentent de répéter la doxa alarmiste.
« Des chercheurs qui cherchent, on en trouve. Des chercheurs qui trouvent, on en cherche.[3] » On a trouvé les seconds, mais on préfère écouter les premiers ! CA♦
Cécile Attal, MABATIM.INFO
[1] Les dinosaures sont apparus sur Terre, il y a environ 200 millions d’années, avant de disparaître, il y en a 65 millions. Quant à Homo Sapiens, son existence est attestée depuis 7 millions d’années « seulement ».
[2] Pravda, qui fut le titre oxymorique du journal du régime communiste soviétique, signifie « Vérité » en russe.
[3] Charles de Gaulle, président de la république, le 18 mars 1965, au CNRS.
[…] (31.000 scientifiques signataires d’une pétition anti-climato-bienpensance, ça compte ! (MABATIM.INFO). Sans oublier son clergé en CDD, Sainte Greta des Mille Douleurs ayant succédé à Médiatik […]
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Cécile n’a pas son pareil pour moucher les zozos qui fleurissent sur nos médias et sur nos bitumes.
Pourtant tout cela reste bien compliqué. C’est vrai que cette histoire de réchauffement climatique est manipulée par des idéologues qui veulent absolument que l’Homme (Oups! Pardon! Et la Femme) batte sa coulpe. L’autoflagellation devient la discipline préférée de l’homme blanc. Au bout du compte, on ne sait pas quel est l’impact de l’activité humaine sur le climat. Peut-être nul, peut-être majeur…
Reste que des problèmes annexes au réchauffement proprement dits paraissent bien réels: la pollution des océans, la mort des coraux, la perte de la biodiversité sont des réalités implacables. A mon échelle de citadin, je ne peux que constater la disparition des moineaux parisiens en quelques années, l’absence d’insectes morts sur mon pare-brise quand je roule sur l’autoroute à 130 km/h. Il se passe quand même quelque chose sur cette planète et les changements paraissent bien trop rapides pour être tout à fait naturels.
J’opte donc pour une vigilance prudente, mesurée et surtout pas dogmatique…
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Le problème c’est que la propagande peut facilement prendre, sur les plus jeunes…disons n’ayant pas plus de 30/35 ans…
Parce que nous les plus vieux, pouvons assurer que des épisodes de canicule, comme celle de cette année par exemple… Ne sont pas exceptionnels.
Je me souviens à Paris, en allant juste à la piscine, m’être gravement brûlée, après exposition au soleil, tant la température était élevée… Et ceci en plein mois d’avril.
De plus, je me demande sur quels éléments les experts s’appuient…dans le même temps, la température d’un point de la Terre ou d’un autre, peut être tellement différente.
Je veux bien accepter que la surpopulation et tout ce qu’elle suppose de consommation et d’activité, à l’aide de produit nocifs ou non, de tous ordres…participe à une pollution qui ne me semble pas illusoire.
Mais le réchauffement climatique, c’est autre chose et c’est une toute autre affaire de la prouver.
Pour l’instant c’est la doxa qui donne sa version, et tiens ! Elle arrange ces imposteurs que sont les écologistes.
Ces écologistes qui ne s’affolent que pour des sujets politiques qui les arrangent et qui sont plus proche justement de l’idéologie politique pure… Que du bien être écologique.
Pour ne citer qu’un exemple : Quand on les voie pousser des cris d’orfraie pour quelquefois des broutilles, en rapport du fait de voir les Palestiniens, sans cesse incendier le territoire israélien, ne semble pas alarmer leur âme écolo à la noix. C’est toute la région alentour qui paiera le prix ! Juste un exemple.
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Tant que l’Agence France Propagande sera chargée du lavage de cerveau des Francais et des pays francophones, il y a peu de chance de lire pareil article qui en plus, est serti d’humour.
Un site chrétien et pro sioniste a lui aussi publié cette info introuvable ailleurs..
Les torchonistes ne font plus leur boulot, ils se contentent de faire des copier coller des dépêches publiées par l’Agence France Petasse, lorsqu’ils ne bricolent pas des photos, ou réécrivent des communiqués de presse publiés par des pays qu’ils n’aiment pas, on se demande pourquoi.
Nous nous souvenons tous de la couche d’ozone qui allait emporter la planète en l’an 2000 et qui a disparu un beau matin sans que l’on sache pourquoi.
Curieusement, les experts en Infaux qui sévissaient déjà, ont vite mis sous le tapis cette disparition dont nous sommes sans nouvelles depuis, allez savoir pourquoi.
D’après un sondage effectué dans une vingtaine de pays, le nombre de citoyens qui ne croient plus les faussaires manipulateurs en charge de la désinformation a dépassé les 50% avec un chiffre record de plus de 60% pour les USA dont la population en a plus que marre des excès fascistes des Démocrates qui n’ont toujours pas digéré la défaite d’Hillary et qui lynchent Trump au quotidien.
L’écologie est une affaire trop sérieuse pour la laisser entre les mains de guignols irresponsables qui passent leur temps à s’occuper de politique au lieu de faire leur boulot sérieusement.
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