Fashion victims médiatiques
La mode s’impose pour les vêtements, pour l’architecture, pour les races de chiens, pour la gastronomie et, bien sûr, pour les sujets en Une dans les médias. Comme leur nom l’indique, il n’y a qu’une Une par journal, même dans la version électronique : l’espace est illimité, mais le sujet qui fait la Une est le premier, et souvent le seul qui est lu.
Parfois, ce sujet s’impose de lui-même. Parfois, les journalistes l’imposent aux lecteurs. Il arrive aussi que les journalistes réussissent à imposer leur sujet de prédilection dans le sujet qui s’est imposé pour la Une.
C’est le cas de Gaza dans le cadre du coronavirus.
Nous avons eu droit, sur les chaînes publiques, à de larmoyants « reportages » sur les méchants Israéliens bloquant toute arrivée de médicaments, pendant que les vrais camions israéliens livraient non-stop nourriture, médicaments et autres fournitures médicales.
Dans les romans policiers, les détectives suivent la trace financière pour arriver aux commanditaires des méfaits. Ici, ce n’est pas compliqué : les médicaments viennent d’Israël, payés par l’expéditeur. En sens inverse, les terroristes sont formatés au désir de mourir pour Allah (si possible en tuant un maximum de Juifs) dès l’enfance dans les écoles de l’UNRWA, l’agence spéciale Palestine de l’ONU, grâce à des manuels scolaires financés par l’Union européenne. Une fois adultes, les terroristes (ou leurs familles s’ils ont réussi leur martyre en même temps que leur attentat) reçoivent une pension à vie, qui est proportionnelle au nombre de civils qu’ils ont exécutés. Les salaires des tueurs proviennent, eux aussi, en grande partie de l’UE, qui finance la plus grande part des budgets cisjordano-palestiniens et gazaoui-palestiniens.
Autant en emporte un 2ème son de cloche
Tout l’art des médias consiste alors à bloquer l’information afin que seuls ceux qui la cherchent la trouvent, phrase qui n’a rien d’un truisme : le lecteur lambda s’informe en lisant son journal habituel, puis il passe à autre chose. Son cousin, lecteur concerné par un sujet particulier, va à la pêche à l’information dans des médias étrangers et c’est là qu’il apprend des tas de choses que son cousin ignore, car le vent qui apporte le deuxième son de cloche est arrêté à la frontière française, en même temps que les effluves de Tchernobyl et les coronavirus orientaux. Le lecteur lambda est une fashion victim de l’info.
En ce qui concerne le dernier sujet à la mode, le coronavirus, qui a contourné les lignes Maginot de notre absence de masques et de la communication Sibèthe, il n’a pas été accompagné à l’air libre par la vérité sur le gouvernement gazaoui. Le public français continue d’ignorer le réel, saoulé qu’il est de slogans (« Gaza, prison à ciel ouvert », « Gaza, la plus forte densité du monde », « Famine à Gaza », etc.) dont trois minutes sur place démontreraient la fausseté. Mais justement, BDS et consorts font tout pour éviter que des BIMI (Bien Intentionnés Mal Informés) s’y rendent et les journalistes ont trop peur d’être privés d’accréditation pour dire autre chose que ce qu’on leur dit de dire.
Alors personne ne parle des marchés opulents, des villas somptueuses des apparatchiks, des Mercedes blanches des dignitaires, du nouveau centre commercial hyperluxueux, des milices innombrables, de la piscine olympique, des homosexuels exécutés, des journalistes torturés en prison.
Dans Gaza prison à ciel ouvert, savez-vous quoi qu’y n’y a ?
Y a plein de cellules à ciel fermé, dans lesquelles y a des journalistes, y a des otages qui n’ont pas vu la lumière depuis des années, y a des prisonniers à qui la Croix-Rouge n’a pas le droit de rendre visite…
Hors des geôles, dans la capitale Gaza City et dans les autres villes, y a des pleureuses : les mères de terroristes, fières de leur(s) fils qui ont explosé la tête de bébés colons, mais elles pleurent quand même parce qu’elles sont trop âgées pour enfanter d’autres martyrs.
Partout dans la presse occidentale, y a les émules de BDS qui arrosent d’engrais la haine des Juifs, plantée depuis 2000 ans, par ceux qui avaient crucifié un jeune rabbin révolutionnaire.
Dans une des nombreuses prisons gazaouies, il y a Avera Mengistu. Avera est noir, donc racisé, donc estimable. De plus, c’est un civil, ce qui est le minimum exigible pour mériter le terme d’humain. Mais il est aussi juif : coupable du péché originel. Avera est handicapé mental, ce qui le légitime comme bénéficiaire de la pitié universelle, mais comme il est israélien, on doit le considérer comme un colon fourbe et cruel. Avera Mengistu vivait à Ashkelon, mais le 7 septembre 2014, il est parti se balader le nez au vent et a franchi, sans s’en rendre compte, la frontière avec Gaza. Depuis, il est enfermé quelque part, au secret, probablement torturé, incapable de comprendre ce qui lui arrive et privé d’avocat, de médecin, d’intérêt de la part des ONG de défense des droits de l’homme : ce n’est pas un homme, c’est un Israélien de 33 ans.
Chuuuut ! Israélien et noir ? Faut pas le dire !
Oui, Avera Mengistu est une autre fashion victim du diktat rokhaya-diacolique : les noirs sont des victimes, les Juifs sont des bourreaux et Israël est un État d’apartheid. Alors voir que, depuis cinq ans, tous les moyens diplomatiques, militaires et autres sont déployés par les méchants pour tenter de libérer un handicapé mental noir emprisonné sans jugement par les gentils, ça heurterait nos gentils racistes et il faudrait leur préparer des safe rooms pour aller y reposer leur demi-neurone malmené.
D’autant qu’il y a un deuxième prisonnier civil emprisonné sans cause, à Gaza, depuis le 20 avril 2015. Il s’agit de Hisham al-Sayed. Mais c’est pas un nom juif, ça, Salomon ? Non. Hisham est un bédouin musulman de Hura, dans le Néguev, qui souffre aussi de troubles mentaux. Pourquoi un Bédouin serait-il emprisonné à Gaza ? Parce qu’il a une carte d’identité israélienne et qu’il a probablement refusé de montrer sa loyauté en obéissant à ses frères pour aller se faire exploser dans un marché ou près d’une école juive. Même crime que Mengistu, même punition : la prison au secret et même détermination de ces salauds d’Israéliens à tout faire pour libérer leur concitoyen musulman.
Heureusement, y a aussi des Juifs prisonniers. Ça console
Juifs et soldats, miam ! Les antisionistes peuvent se déchaîner : « Mort aux Juifs ! », « Mort à Tsahal ! » Comme c’est bon, la chaude fraternité du combat pour la justice et la liberté ! Ben ils sont exaucés : le lieutenant Hadar Goldin et le sergent Oron Shaul ont été tués en 2014, pendant l’opération Bordure Protectrice. Poussera-t-on la provocation jusqu’à rappeler ce qui avait motivé cette opération de représailles israéliennes ? Oui, on pousse : c’était le kidnapping et l’assassinat de trois adolescents juifs par des membres du Hamas. OK, ça Coco, tu oublies, sinon tu vas perdre des lecteurs. Le Hamas, c’est les gentils, les Juifs c’est les méchants. Les Juifs ne sont pas des bébés, des enfants ou des adolescents, ce sont des colons. Et ils ne sont jamais assassinés, ils sont tués dans un échange de tirs. Même quand ils ont été égorgés ? Oui, même quand ils ont été égorgés. T’as pigé, Coco ?
Mais si ils sont morts, où est le problème ?
Le problème c’est que les Juifs, ils enterrent leurs morts.
Comme le Hamas le sait, il ne rend pas les corps. Il les monnaye. Cher, très cher : un cadavre d’Israélien, ça va chercher dans les cent terroristes prisonniers libérés.
Okeyeu, alors ça, on peut le dire ? Non, Coco, t’es bouché, ou quoi ? Il faut montrer que les Israéliens sont des nazis et le Hamas un mouvement de victimes. Alors débrouille-toi comme tu veux, mais soit tu rends les cadavres antipathiques et le fait de les monnayer un geste héroïque, soit tu parles d’autre chose.
On pourrait parler du coronavirus à Gaza ?
Ah ! Ben voilà une idée qu’elle est bonne ! Vas-y, mon gars !
Yahye Sinwar, un des dirigeants du Hamas, exige qu’Israël lui fournisse des respirateurs et il a déclaré que si l’État juif n’obtempérait pas, il « les prendrait de force et arrêterait la respiration de 6 millions d’Israéliens (Times of Israel) ». Le pire, c’est que les Israéliens sont assez bêtes pour avoir pitié des civils palestiniens et qu’ils vont probablement leur donner tout le matériel nécessaire, ce qui permettra au Hamas de pavoiser pour sa « victoire ».
Une ONG, Human Rights Watch, a osé enquêter sur les XXXXXX xx X’XXXXX (les mots « droits de l’homme » sont censurés en Gazaoui dans le texte) sous la houlette du Hamas. Le rapport d’enquête évoque des choses que les médias français ne sauraient voir : « Les autorités du Hamas à Gaza arrêtent et torturent régulièrement les détracteurs et opposants pacifiques » et il souligne « la pratique systématique de la torture par les autorités palestiniennes. » En média dans le texte, le terme « torture » doit obligatoirement être suivi de l’adjectif « israélienne ». Ceux qui se croient protégés des milices du Hamas par leur badge d’ONG et qui ont vu ce qu’ils n’auraient pas dû voir ne verront pas la balle arriver, quand la vengeance frappera !
Amnesty défend et dénonce
Nous avons déjà parlé ici de Rami Aman (Mabatim.info), arrêté, le 6 avril 2020 par le Hamas, pour crime de « normalisation avec Israël », après avoir organisé une session Zoom avec des Israéliens. Thème de l’échange vidéo : « le coronavirus et la paix ».
Depuis son arrestation, plus personne n’a eu de nouvelles de Rami. Il n’a pas été inculpé, personne n’a été autorisé à lui rendre visite et le Hamas, qui aime accuser Israël de crimes contre l’humanité et de non-respect du droit international, ne se sent pas concerné par l’article 124 du Droit international humanitaire, légiférant sur l’accès du CICR aux personnes privées de liberté : « Le droit du CICR de visiter les détenus dans les conflits armés internationaux est prévu dans les troisième et quatrième conventions de Genève. Selon ces dispositions, le CICR a toute latitude pour sélectionner les lieux qu’il souhaite visiter et doit pouvoir interroger les détenus sans témoins. La durée et la fréquence de ces visites ne peuvent être limitées (Droit Humanitaire). » Le Hamas a dit : « Ben oui, mais non. »
Quant à Amnesty, parangon de la vertu droitdelhommiste, il a fallu attendre un mois entier pour qu’il proteste mollement contre le sort fait à un pacifiste. Un mois, c’est le temps qu’il a fallu à UN-Watch, l’ONG qui surveille les ONG, pour le faire réagir : « Rompant quatre semaines de silence, Amnesty International a finalement déclaré que le courageux activiste pacifiste de Gaza, Rami Aman – détenu par le Hamas depuis le 9 avril pour avoir tenu un appel vidéo avec des militants pacifistes israéliens – était « un prisonnier d’opinion ». Le groupe a appelé à sa « libération immédiate et inconditionnelle » (Facebook). »
Pourquoi tu tousses, tonton Amnesty ?
Rami Aman était un sujet en or pour Amnesty : un prisonnier d’opinion emprisonné au secret, pour avoir promu la paix, ça vous ramène des nouveaux militants à la pelle ! Mais rien, pas la moindre mention pendant un long mois. Alors quoi ? Le directeur marketing était en vacances et il est interdit d’entreprendre une nouvelle campagne en son absence ?
Les faits sont si embarrassants, que même un million de nouvelles cotisations ne les feraient pas oublier : le militant pacifiste a été emprisonné suite à une campagne de dénonciation sur Facebook et Twitter par une salariée d’Amnesty !
Le directeur de UN-Watch, Hillel Neuer, a écrit une lettre ouverte à la présidente d’Amnesty-monde, Sarah Beamish :
« Depuis 28 jours, M. Rami Aman de Gaza pourrit dans une prison du Hamas pour le crime d’avoir parlé en vidéo avec des militants pacifistes en Israël. Pendant 28 jours, nous avons exhorté votre organisation à s’exprimer, notamment parce que c’est une ancienne salariée d’Amnesty International qui l’a dénoncé. Si Amnesty se souciait vraiment de la liberté de Rami Aman, ou de la cause de la paix, pour laquelle il a risqué sa vie, l’organisation ferait activement campagne et elle est experte en la matière : tweets, pétitions, appels, protestations, etc. Par exemple, je me souviens comment, en janvier et février 2018, vous avez consacré l’intégralité de votre page d’accueil à la campagne pour la Palestinienne Ahed Tamimi, qui avait été arrêtée pour avoir giflé et donné des coups de pied à deux soldats israéliens. Elle a finalement plaidé coupable de quatre accusations criminelles, dont des voies de fait. Alors si vous vous souciez vraiment de Rami Aman, de sa liberté, de son droit de vivre à l’abri de la torture du Hamas, pourquoi refusez-vous de faire même une fraction de ce que vous avez fait pour d’autres – dont certains qui en étaient bien moins dignes ? (Facebook) »
Minimum syndical
La déclaration d’Amnesty ne contenait, en effet, aucune mention du fait que Rami Aman avait été arrêté suite aux violentes attaques répétées et aux dénonciations nommément adressées aux dirigeants du Hamas par Hind Khoudary, activiste se revendiquant comme « salariée d’Amnesty International » sur sa page Facebook.
Les ONG mènent des luttes fratricides contre leurs concurrentes afin de canaliser un maximum de dons vers leurs trésoreries respectives, aussi comprend-on bien qu’Amnesty préférât oublier avoir salarié une collabo qui a fait emprisonner le militant-type qu’elle a vocation à défendre.
Mais l’ONG phare aurait pu, justement, communiquer sur ce mauvais casting en licenciant l’opposante aux droits humains et en le faisant savoir. Hélas, la collabo du Hamas ne faisait déjà plus partie du personnel d’Amnesty. Cela n’a jamais empêché une ONG de communiquer sur sa vertueuse indignation et son innocence foncière. Ben oui, mais non.
Quand on regarde les sujets de préoccupation qui génèrent des campagnes d’Amnesty, on se rend compte que l’organisation a un tropisme antisioniste affiché. De là à conclure qu’elle partageait les indignations de son ex-salariée contre le militant pacifiste, il y a un pas que la menace d’un harcèlement judiciaire nous convainc de ne pas franchir.
Dis-moi qui sont tes amis…
Le 9 avril, trois jours après l’arrestation de Rami Aman, un groupe appelé « Association des personnalités palestiniennes indépendantes » a montré son courage et sa dignité en félicitant le Hamas de son arrestation : « Nous affirmons notre respect et notre appréciation des forces de sécurité [du Hamas] pour poursuivre tous ceux qui se livrent à de tels comportements qui contredisent nos valeurs nationales et nuisent aux intérêts de notre peuple, et nous exigeons qu’ils le leur fassent payer (Palestinian Press Agency). »
Tout le monde ne peut pas être Jean Moulin, mais la surenchère dans la lèche-culterie, c’est un peu radical, même quand on a peur pour ses miches parce qu’on a mollement évoqué la paix avec l’emprisonné, du temps de son activité.
Le 12 avril, le Syndicat des journalistes palestiniens a publié une déclaration condamnant UN Watch pour avoir critiqué Khoudary-la-cafteuse et a dénoncé le journaliste du New York Times à Gaza, Abuhweila, qui a dévoilé l’affaire. En effet, il n’avait pas obtenu l’autorisation de Hind Khoudary pour dénoncer son rôle dans la dénonciation du militant pacifiste. Le Syndicat a également rappelé la nécessité de rester dans les limites de la profession et de ne publier aucune information ou de n’attribuer à quiconque une citation, sans avoir préalablement obtenu l’autorisation de l’intéressé, car l’investigation est une faute professionnelle.
Le même jour, la ministre des Affaires féminines de l’Autorité palestinienne, Amal Hamad, a félicité Hind Khoudary d’avoir aidé à jeter Rami Aman en prison. Cette fois, Melle Khoudary n’a pas râlé.
La réalité est compliquée
Les journalistes sont des gens simples, qui prennent leurs lecteurs pour des simplets. Donc il y a les méchants (en bleu et blanc) et il y a les gentils (en vert et rouge). Jusque-là, ça va ?
Alors les méchants ont piqué plein de terres aux gentils qui les avaient attaqués. Et ils ont gagné ! Quelle injustice ! La Jordanie a perdu la Cisjordanie et l’Égypte a perdu Gaza.
Depuis, les vainqueurs supplient les vaincus de leur accorder la paix et les vaincus dictent des conditions de plus en plus exorbitantes pour venir s’asseoir et discuter.
Mais même le plus simplet des lecteurs sait que c’est le vainqueur qui dicte ses conditions et pas le vaincu ! Oui, ça, c’est dans 99% des cas. Mais quand le vainqueur est juif, c’est le contraire.
Ouh la la ! Vous vous voyez expliquer ça aux gens ? Vaut mieux leur dire que le vainqueur est le méchant et que c’est lui qui ne veut pas discuter.
Et voilà pourquoi votre fille journaliste est muette ! LM♦
Liliane Messika, MABATIM.INFO
Alors là, il y a un os dans la banane !
Depuis le temps que l’on entend jusqu’à l’abrutissement dans la quasi totalité des médias, que Gaza est la ville la plus peuplée de la planète, ce qui est évidemment faux, qui est sous occupation israélienne, alors que Sharon s’en est retiré unilatéralement en 2005, que sa population est affamée par un blocus inhumain, que les enfants meurent de faim et de maladie, qu’il s’agit d’une « immense prison à ciel ouvert » et que la vie y est pire qu’à Auschwitz, qu’il faut agir d’urgence avant que cette population ne disparaisse, l’Agence France Propagande, porte-parole de la désinformation organisée par les imams extrémistes de la Mosquée d’Orsay, chargés de la diffusion de saloperies mensongères contre Israël, dans le cadre de la « politique arabe de la France » n’en finit pas avec ses mensonges et accusations calomnieuses.
Les descendants de collabos qui officient au Quai, savent autant qu’Amnesty, qu’Israël fournit du matériel de pointe et forme des médecins de Gaza, pour les aider à lutter contre le covid-19, tandis que la France ouvre toujours sa gueule pour donner des leçons et des remontrances à toute la planète, mais ne fait rien pour aider certains pays de l’UE, Italie et Espagne en tête, grandes victimes de la pandémie.
Par contre, cette démocratie stalinienne a pris la tête d’une vendetta pour menacer Israël de sanctions lourdes s’il mettait en oeuvre son programme de « colonisation » contraire au « droit international ».
Les accusateurs sont toujours les mêmes : Belgique, Irlande, Luxembourg et les Pays Nordiques/Merdiques.
Ces salauds s’opposent à cette publication « positive » d’Israël dans les torchons subventionnés, comme pour tout ce qui concerne ses découvertes inimaginables dans la lutte contre le virus chinois de Wuhan.
Jusqu’à quand ce système mafieux mis en place par le Quai d’Orsay pour une désinformation sophistiquée en cours depuis des lustres, et enseignée dans les écoles de torchonistes ?
Jusqu’à quand le matraquage sur la prochaine intervention sans intérêt du Micron, dont la totalité des chaines d’infaux en continu font sans cesse la promotion, avec cirage de pompes obligatoire ???
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Je partage vos articles en les diffusant au maximum ! Bravo pour votre site !
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Cet article devrait être publié ds tous nos journaux bienpensants
du Parisien au Monde.
Bravo Liliane !
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