« Malheur à ceux qui appellent le mal bien et le bien mal, qui changent les ténèbres en lumière et la lumière en ténèbres, qui rendent l’amer doux et le doux amer. »
Isaïe 5, 20
« Justice, justice, tu poursuivras afin que tu vives »
Deutéronome 16, 18-20.
Un crime d’État ?
La crise sanitaire de la Covid 19 que nous venons de traverser s’est révélée être simultanément une crise majeure de société. Pour le dire de façon lapidaire : la France s’est divisée contre elle-même comme elle sait si bien le faire et s’est déchirée entre partisans et opposants du Professeur Raoult et de son traitement.
Des enjeux financiers – semble-t-il officieusement mais indiscutablement supérieurs au devoir de protection dû par l’État à sa population – ont parasité le débat scientifique sur la validité de ce traitement, allant jusqu’à amener une revue britannique servant de référence scientifique indiscutable, The Lancet, à publier, le 22 mai 2020, une étude réfutant la validité de ce traitement très peu onéreux, puis, devant les incohérences et les invraisemblances relevées par plusieurs publications sérieuses à acculer l’auteur principal de l’étude, Mandeep R. Mehra, à présenter des excuses publiques, le 5 juin suivant pour avoir publié cette étude sans avoir réalisé les vérifications d’usage sur les sources et la valeur de ses données (BFMTV). Allant bien au-delà de ce loupé ponctuel, le docteur en médecine et homme politique Philippe Douste-Blazy, dans un entretien filmé le 24 mai 2020, a révélé les propos tenus par des experts en recherche médicale publiant dans les deux prestigieuses revues The Lancet et New England Journal of Medicine lors d’une réunion top secrète qui s’est déroulée à huis clos à Chatham House ; il a déclaré que les rédacteurs en chefs de ces revues avaient utilisé le mot “criminel” pour décrire l’érosion de la science en butte aux pressions croissantes des sociétés pharmaceutiques ; il a cité le Dr Richard Horton, rédacteur en chef de la revue The Lancet : « Si cela continue, nous ne pourrons plus publier de données de recherche clinique parce que les compagnies pharmaceutiques sont tellement fortes financièrement et arrivent à avoir de telles méthodologies pour nous faire accepter des papiers qui apparemment méthodologiquement sont parfaits mais qui, au fond, font dire ce qu’ils veulent à ceux-là ; c’est très grave ! » (Échelle de Jacob) Le Dr Douste-Blazy est lui-même partisan du traitement Raoult et a lancé en avril 2020 une pétition avec le Dr Christian Perronne qui a été signée par près de 500.000 médecins et citoyens français exhortant le gouvernement à laisser les médecins de ville prescrire ce traitement en l’absence de contre-indications. D’autres associations et d’autres pétitions comme Laissons les Médecins prescrire ou StopCovid19 Today ont vu le jour dans ce même but. Quant à Richard Horton, hier saluant la philanthropie sanitaire Bill Gates[1], il tweete désespérément depuis le 9 mai 2020 pour appeler ses concitoyens à la résistance contre les menées de Big Pharma en dénonçant ouvertement « les morts évitables » que l’allégeance de l’État à celle-ci a provoquées[2]. Si ses propres décodeurs sont en déroute, je vous laisse imaginer les nôtres.
L’enjeu évident de cette polemica magnissima est de toute évidence la valeur et le traitement de la vie humaine dans nos sociétés. La vie humaine est-elle sacrée et indépendante des intérêts du Marché globalisé, ou bien relève-t-elle des mêmes critères de valeur qu’une simple marchandise ?
En effet c’est au nom de la valeur de la vie que les pros – et anti – Raoult se sont confrontés. Le philosophe Alain Finkielkraut a estimé que le gouvernement avait manifesté un rare respect de la vie des citoyens en préférant les confiner « pour sauver des vies » plutôt que de faire tourner l’économie, et quitte à créer l’effondrement de celle-ci ; il a loué l’humanisme d’une telle décision et donné quitus aux hommes politiques malgré le manque de masques, les mensonges de l’État sur leur inutilité, l’interdiction faite aux médecins de ville de prescrire le traitement de leur choix aux patients, et notamment, en début d’infection, le combiné hydroxychloroquine/azithromycine[3] préconisé par le professeur Raoult, et il a reproché à ce dernier de tomber dans le populisme médical. De son côté le professeur agrégé d’Histoire Patrice Gibertie a parlé sur son blog de « crime d’État » au sujet du refus de l’État de permettre aux médecins en ville, comme à l’hôpital, de prescrire le combiné hydroxychloroquine/azithromycine dès les premiers jours de la maladie et, au fil des jours suivants, il a fourni un ensemble impressionnant d’informations scientifiques et médicales de nature à valider la thèse du professeur Raoult. Celui-ci, qui plus est, a directement mis en cause l’État en disant à chacune des interviews qu’il a données, qu’en pleine pandémie, le sujet n’était plus de faire des expérimentations en double aveugle avec des groupes-témoins sous placebo pour vérifier scientifiquement la validité d’une thérapie, mais la priorité éthique du Serment d’Hippocrate, c’est-à-dire le soin. Et, de fait, tandis que les ministres de la Santé Agnès Buzyn, Olivier Véran, qui a pris son relais début mars et Édouard Philippe, écopent tous trois réunis de plus de 70 mises en accusation devant la justice française, dont 43 émanent de médecins, pour mises en danger de la vie d’autrui ou homicides involontaires, le professeur Raoult, qui a vu défiler et qui a traité avec son équipe environ 4000 malades n’a été, quant à lui, la cible d’aucune mise en cause pénale. Enfin, le professeur Raoult a reçu le soutien ouvert de confrères comme Philippe Douste-Blazy, Nicole Delépine, Jean-Jacques Erbstein – qui vient de publier un livre témoignage au titre pathétique : Je ne pouvais pas les laisser mourir[4] – et le docteur Christian Perronne, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches, qui a également publié un livre : Y-a-t-il une erreur qu’ILS n’ont pas commise?[5] Le « Ils » étant écrit en majuscules et à l’encre rouge et désignant sans ambiguïté possible nos gouvernants actuels. Ces cris de lanceurs d’alerte rencontreront-ils un écho dans une population massivement sidérée, droguée aux mensonges des mass-médias et, semble-t-il, avant tout désireuse de replonger la tête dans le sable pourvu qu’elle ait du pain et des jeux… surtout après deux mois et demi de confinement et l’été arrivant.
Jacques Attali corrompt-il la jeunesse ?
Toutefois, me direz-vous, quel est le rapport de tout cela avec Jacques Attali ? Jacques Attali est le conseiller des princes depuis Mitterrand, certes ; il s’est vanté d’avoir été le mentor en politique d’Emmanuel Macron à plusieurs reprises en disant, par exemple : « Macron est mon poulain ». Il est l’homme qui a présenté E. Macron à François Hollande, fin 2010. À l’époque, Macron était membre du PS. En 2007, Attali s’est vu désigner par le président Sarkozy, lui, l’ancien sherpa de François Mitterrand, pour présider une commission sur « la libération de la croissance ». Celle-ci devra, « au nom de l’ouverture, réunir des personnalités de tous horizons : politiques, patrons, syndicalistes, Français, Européens, mais partageant la même foi dans le progrès par le libéralisme [c’est moi qui souligne] Ce sera l’initiative phare de son début de quinquennat. Attali sait ce qu’il advient souvent de ces propositions ambitieuses. Il exige d’avoir les coudées franches, veut une commission indépendante. Une bataille de haute lutte, car l’Élysée et Matignon voulaient garder la main », dit-il. « Mais il l’emporte. Le voici libre de choisir ses 42 membres, venus pour la plupart du monde de l’entreprise. »[6]
Jacques Attali est donc le producteur de l’idéologie qui imprègne la classe politique, droite et gauche libérales confondues depuis 1973 et le premier choc pétrolier. Son progressisme est un credo capitaliste pur et dur sans aucun contrepoids, si ce n’est les traditionnels investissements de type paternaliste du capitalisme lui-même, par lesquels celui-ci se paie le luxe de donner de lui une image philanthropique, tout en renforçant ses profits, une stratégie maniée avec un certain brio par Bill Gates avec les médicaments des plus grands laboratoires pharmaceutiques censés guérir des maladies… produites par les investissements du même Bill Gates dans la malbouffe (Coca Cola, Monsanto…)[7] ; ou encore Georges Soros avec ses ONG dédiées à la défense d’un multiculturalisme soi-disant antiraciste car pourvoyeur d’une immigration pandémique visant non pas au bien-être et au développement des pays d’origine des malheureux exilés, mais à la fourniture d’une main d’œuvre bon marché pour multinationales occidentales dont les ressortissants autochtones souffrent d’un chômage croissant – mais qui n’intéressent guère les patrons et les actionnaires, étant donné que c’est une population plus exigeante en matière salariale, plus organisée et plus à même de ne pas accepter l’arbitraire patronal.
Positive Planet
Quant à Jacques Attali, il est à la tête d’une ONG baptisée « Positive Planet », fondée en 1998 et aujourd’hui présente dans 40 pays. Elle a pour fonction de diffuser comme un mantra cette image d’un capitalisme triomphant et en même temps bienfaisant pour l’humanité, grâce au conseil et à la formation des micro-entrepreneurs ; elle s’appuie sur plusieurs centaines d’institutions de microfinance et s’est dotée de MicroCred, sa filiale bancaire. Positive Planet travaille, nous dit la fiche Wikipédia de Jacques Attali, dans les banlieues françaises ; en 2011, Attali lance au Havre, dont le maire est Édouard Philippe, le « Forum de l’économie positive ». En 2019, Attali fonde l’Institut de l’Économie positive, filiale de la Fondation Positive Planet.
Qu’il use d’un langage accrocheur pour un ensemble d’initiatives destinées à faire entrer de l’argent dans sa poche, cela après tout est la loi du genre. Mais Attali fait plus. Il insuffle à la jeunesse, et notamment à la classe politique montante, via ses conférences, dont certaines sont à écouter sur YouTube, une idéologie qui ne se contente pas de faire l’éloge du capitalisme, mais qui en présente la dictature comme absolue, comme inévitable. Il appelle cela l’avènement de l’Ordre marchand et il assimile l’avènement de cet Ordre supérieur à la réponse de l’Histoire à l’idéal moderne de la liberté individuelle. Il amène ainsi les étudiants à se contenter d’assister au triomphe du Capitalisme financier le plus inhumain, celui qui réduit l’être humain et ses échanges avec les autres, à tous les niveaux des plus individuels – amour conjugal, parental et familial – aux plus collectifs – sociétaux, politiques, nationaux et internationaux – à se voir évalués en termes de rapport investissement-profit, à l’image de simples échanges marchands – en se bornant à accompagner ce changement, comme s’il n’existait pas d’autres façons de penser l’économie en lui mettant des limites pour l’empêcher de déborder sur tous les secteurs de la vie. Ce faisant, Jacques Attali invite la jeunesse à se prosterner devant ce que Calliclès déjà à l’époque de Socrate, appelait, en le louant, le droit du plus fort, et à quoi Socrate opposait, bien proche en cela des prophètes hébreux, une cité durable car fondée sur le Bien commun et la liberté par la justice, propre à assurer l’autonomie alimentaire et politique de la démocratie, en même temps qu’à réduire la misère et les écarts choquants de fortune, assurant ainsi la paix[8]. Cela, Attali le prône, mais toujours comme happy end de sa story telling de l’avenir, dont les années 2030 – 2040 verront, d’après lui, nécessairement le règne de l’homme-objet d’un Ordre planétaire dictatorial, dont, un peu à la façon de Marx, justifiant la violence comme sage-femme de l’histoire, il veut d’avance exonérer les politiques qui le mettront en place. Le titre du livre-programme d’Emmanuel Macron pour les élections de 2017, n’était-il pas, du reste : Révolution ? Attali se prévaut d’une conception téléologique de l’histoire, dont il serait, selon lui, capable, étant donné sa vision en surplomb, survolant d’un œil d’aigle les millénaires, de comprendre les tenants et les aboutissants sans risque de se tromper et en apportant aux politiques comme aux entrepreneurs le renfort de son talent visionnaire. NL♦
Nadia Lamm, MABATIM.INFO
Seconde partie : « L’inquiétant Monsieur Attali » : Une vision sectaire de l’histoire
[1] Voir Alliance Magazine : sur la philanthropie capitaliste sincère mais délétère de Bill Gates, le PDG de Microsoft, on lira avec profit Lionel Astruc, L’Art de la fausse générosité, la Fondation Bill et Melinda Gates. Récit d’investigation, édition Actes Sud, 2019 et on écoutera sur YouTube l’entretien avec Lionel Astruc produite par Le Média : « Bill Gates : l’incroyable arnaque derrière sa fondation. »
[2] Deux tweets de Richard Horton parmi d’autres : « I don’t understand the passivity of my fellow countrymen and countrywomen. Why are we not more angry ? Why are we allowing this government to orchestrate the deaths of your citizens, your families, your neighbours ? This is a mass delusion. Resist. Resist. Rebel. » (09/06/2020) (« Je ne comprends pas la passivité de mes concitoyens et concitoyennes. Pourquoi ne sommes-nous pas plus en colère ? Pourquoi autorisons-nous ce gouvernement à orchestrer la mort de vos citoyens, de vos familles, de vos voisins ? C’est une illusion de masse. Résistez. Résistez. Révoltez-vous.) « We don’t need satire. We don’t need humour. We don’t need mockery. We need organisation. We need alternatives. We need rebellion. Against a government that has fostered corruption, collusion, and criminality. A government that has presided over the avoidable deaths of thousands » (09/06/2020) (« Nous n’avons pas besoin de satire. Nous n’avons pas besoin d’humour. Nous n’avons pas besoin de moquerie. Nous avons besoin d’organisation. Nous avons besoin d’alternatives. Nous avons besoin de rébellion. Contre un gouvernement qui a favorisé la corruption, la corruption et la criminalité. Un gouvernement qui a présidé sur les morts évitables de milliers d’hommes. »).
[3] Le 9 juin, le docteur Jérôme Salomon, nommé directeur général de la Santé, le 8 janvier 2020, a demandé l’interdiction de l’antibiotique azithromycine pour soigner les patients atteints du Coronavirus 19. L’hydroxychloroquine avait été interdite le 13 janvier par la ministre de la Santé d’alors, Agnès Buzyn. La voie à la guérison médicale des patients symptomatiques a été ainsi coupée en France par décrets successifs et sans la moindre réaction de la Justice. Doit-on y voir la corruption de l’État français au sens de la volonté de placer la population dans une atmosphère de fin du monde dont seul le vaccin prôné et sponsorisé par le “bienfaiteur” Bill Gates viendra la délivrer ?
[4] Jean-Jacques Erbstein, Je ne pouvais pas les laisser mourir ! Le cri d’un généraliste en guerre, JDH éditions. Paru le 4 mai 2020.
[5] Christian Perronne, Y a-t-il une erreur qu’ILS n’ont pas commise ? Covid 19, l’union sacrée de l’incompétence et de l’arrogance. Ed. Albin Michel, à paraître le 17 juin 2020.
[6] Bruno Jeudy, « Jacques Attali : « Macron, un aimant qui attire la chance’’ » Paris Match, 09/05/2017, (Paris Match)
[7] Lire, de Lionel Astruc, L’Art de la fausse générosité. La fondation Bill et Melinda Gates, éd. Actes Sud, 2019.
[8] « Certes, ce sont les faibles, la masse des gens, qui établissent les lois, j’en suis sûr. C’est donc en fonction d’eux-mêmes et de leur intérêt personnel que les faibles font les lois, qu’ils attribuent des louanges, qu’ils répartissent des blâmes. Ils veulent faire peur aux hommes plus forts qu’eux et qui peuvent leur être supérieurs. C’est pour empêcher que ces hommes ne leur soient supérieurs qu’ils disent qu’il est vilain, qu’il est injuste, d’avoir plus que les autres et que l’injustice consiste justement à vouloir avoir plus. Car, ce qui plaît aux faibles, c’est d’avoir l’air d’être égaux à de tels hommes, alors qu’ils leur sont inférieurs. »
Et quand on dit qu’il est injuste, qu’il est vilain, de vouloir avoir plus que la plupart des gens, on s’exprime en se référant à la loi. Or, au contraire, il est évident, selon moi, que la justice consiste en ce que le meilleur ait plus que le moins bon et le plus fort plus que le moins fort. Partout il en est ainsi, c’est ce que la nature enseigne, chez toutes les espèces animales, chez toutes les races humaines et dans toutes les cités !
Si le plus fort domine le moins fort et s’il est supérieur à lui, c’est là le signe que c’est juste.
De quelle justice Xerxès s’est-il servi lorsqu’avec son armée il attaqua la Grèce*, ou son père quand il fit la guerre aux Scythes ? Et encore, ce sont là deux cas parmi des milliers d’autres à citer ! Eh bien, Xerxès et son père ont agi, j’en suis sûr, conformément à la nature du droit – c’est-à-dire conformément à la loi, oui, par Zeus, à la loi de la nature –, mais ils n’ont certainement pas agi en respectant la loi que nous établissons, nous !
Chez nous, les êtres les meilleurs et les plus forts, nous commençons à les façonner, dès leur plus jeune âge, comme on fait pour dompter les lions ; avec nos formules magiques et nos tours de passe-passe, nous en faisons des esclaves, en leur répétant qu’il faut être égal aux autres et que l’égalité est ce qui est beau et juste. Mais, j’en suis sûr, s’il arrivait qu’un homme eût la nature qu’il faut pour secouer tout ce fatras, le réduire en miettes et s’en délivrer, si cet homme pouvait fouler aux pieds nos grimoires, nos tours de magie, nos enchantements, et aussi toutes nos lois qui sont contraires à la nature – si cet homme, qui était un esclave, se redressait et nous apparaissait comme un maître, alors, à ce moment-là, le droit de la nature brillerait de tout son éclat. »,
PLATON, Gorgias, 483b-484a, trad. Canto, Garnier-Flammarion, 1987, pp. 212-213.
* allusion à la seconde guerre médique conduite par Xerxès, roi des Perses, qui envahit la Grèce en 480 av. JC. http://www.fredericgrolleau.com/2018/12/droit-du-plus-fort-le-discours-de-callicles-gorgias.html
[…] qui analyse certaines thèses de l’auteur “La Covid 19 et l’inquiétant M. Attali” https://mabatim.info/2020/06/21/la-covid-19-et-linquietant-monsieur-attali-1-2/ ; la deuxième partie “Une conception sectaire de l’histoire” […]
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Nadia, ne confondez pas le capitalisme de connivence, celui défendu par Narcisson, avec le libéralisme économique. Au cours des 25 dernières années, plus d’un milliard de personnes dans le monde sont parvenues à sortir de l’extrême pauvreté, et le taux mondial de pauvreté n’a jamais été aussi bas qu’aujourd’hui. C’est l’une des plus grandes réussites de notre temps. Entre 1990 et 2015, le taux d’extrême pauvreté est passé de 36 % à 10 %.
Pourquoi Jacques Attali ne lutte-t-il pas plutôt contre la démocratie frelatée, le capitalisme de copinage, l’économie corruptrice de la taxation-subvention, celle qui asphyxie la libre concurrence, la seule véritable démocratie économique ?
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Dov Kravi la concurrence libre et non faussée demande, contrairement à ce que dit le dogme neo-liberal qui est la mouture actuelle du libéralisme économique, l’intervention de l’Etat pour corriger les effets délétères des monopoles des grands trusts sur tel ou tel secteur de l’économie et à terme sur la vie tout court dans l’ensemble de ses aspects. Nous voyons aujourd’hui combien ces monopoles sont nuisibles avec la main mise de Gates sur l’OMS et ses projets vaccinaux criminels, car désireux de modifier notre structure génétique. Nous le voyons aussi avec la pandémie de malhonnêteté de l’Etat français qui a interdit les masques et le protocole Raoult en début d’infection par la C19. Le « progrès par le libéralisme » d’Attali poussé jusqu’à ses dernières conséquences est le retour de la servitude puisque l’Etat veut rentabiliser notre corps comme une vulgaire machine à sous en nous imposant des mesures pseudo-sanitaires en violation de l’Habeas corpus et des Droits de l’Homme et du Citoyen. Toute doctrine économique et politique – et donc le libéralisme économique aussi – doit, pour être légitime – s’appliquer avec mesure dans un champ adapté et limité et non se donner pour exclusive sinon elle vire en théorie messianique de type religieux. On tombe alors dans la supercherie et l’enfer pavé de bonnes intentions.
https://www.google.com/amp/s/www.liberation.fr/amphtml/tribune/1998/08/20/le-proces-intente-a-microsoft-par-l-administration-americaine-est-une-chance-pour-bill-gates-les-ver_244073
http://www.journaldunet.com/solutions/0403/040325_microsoft_justice.shtml
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L’une de mes amies, directrice d’une maison de retraite, a administré, en début d’infection, le combiné hydroxychloroquine/azithromycine[3] préconisé par le professeur Raoult. Résultat : 0 malade du Covid 19
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Mitterrand avait autour de lui une clique de courtisans qu il pouvait manipuler Attali ,le choix parfait pour faire avaler la pillule a tout le monde ,y compris dans la communauté Juive .
Aujourd hui ,le Juif le dérange ,l etat Juif est une épine dans son dos ,il est le clone de Soros ,et celui qui comme bill Gates ,peut faire avaler les médicaments qui tuent pour faire baisser la natalité en Afrique.
Personnage hautain ,il a voulu écourté une interview sur un site d information Israélien ,prétextant que son temps est compté !
Je pense que pour avoir accès dans son bureau ,il faut se courber et s agenouiller.
Le plus grave est que certains Juifs (haut placé )sont membres du club des salauds !
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