À propos du film « Le genou d’Ahed » du réalisateur israélien Nadav Lapid
Le prix de la notoriété
Il était une fois un cinéaste, dont l’ego se sentait à l’étroit dans son tout petit pays, Israël (27 000 km2, 152ème par la taille et 0,1% des terres émergées). Il ambitionnait de toucher plus que ses neuf millions de compatriotes (à peine 0,01% de la population mondiale).
Nadav Lapid, c’est son nom, savait que le talent ne suffirait pas, même s’il en avait beaucoup. En revanche, il comprit qu’il pouvait gagner les cœurs de la moitié de la planète en diffamant son pays. Sa capacité de dénigrement lui valut des prix internationaux, dont le Prix spécial du Jury à Cannes, en 2021, pour « Le genou d’Ahed » sorti sur les écrans français la semaine dernière.
Le genou d’Ahed. Le genou de qui?
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Voir également sur Mabatim.info :
Médias à genoux devant « le Genou d’Ahed »
MABATIM.INFO 
Le cinéma israélien et la guerre : “Image of Victory” d’Avi Nesher : un chef d’œuvre
http://vudejerusalem.over-blog.com/2021/10/le-cinema-israelien-et-la-guerre-image-of-victory-d-avi-nesher-un-chef-d-oeuvre-pierre-lurcat.html?utm_source=_ob_email&utm_medium=_ob_notification&utm_campaign=_ob_pushmail
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Une certaine gauche israelienne amoureuse de ses ennemis est instrumentalisée par l internationale anti occidentale sorrossienne qui passe par de grands organes de presse devenus machines de propagande et des politiques aux relations troubles et preoccupantes dont hussein obama est le plus triste exemple .
Tout comme dans le reste de l occident cette gauche utilise a merveille l argent public pour attaquer son pays , mais une fois ce schema posé , je suis partisan de limiter l echo qui peut etre donné a ces » oeuvres » generalement gorgées d ideologie et denuées de talent .
Aussi a mon avis , il faut laisser le genou d ahed pres de la poussiere et de la crasse qui est son milieu naturel 😜
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