Les États-Unis d’Obama et ses Proxys : les Grands Toutous et les petits Toutous (israéliens)

Jean-Pierre Lledo 
[8 octobre 2024]

Ne dirigent les États-Unis, ni Biden, cérébralement handicapé, ni son adjointe Harris qui, d’après ceux qui l’ont côtoyée, ne pétille guère d’intelligence. Et tout le monde sait qu’Obama, honnête représentant du deep state US, a continué d’en être le véritable chef… Or son règne risque de prendre fin le 5 novembre prochain. Le temps presse ! C’est que malgré la mobilisation des grands médias, malgré le harcèlement de la justice (tout cela, le doigt sur la couture), sans parler de la double tentative de l’assassiner, Trump, le bougre, risque fort de l’emporter. Et alors, adieu le hamas et le hizbollah. Adieu Abbas. Adieu la « solution à deux États ». Adieu l’Iran des mollahs… Et Adieu l’Ukraine.

Le deep state et le complexe militaro-industriel américains sont aux abois. L’alerte est déclenchée avec un seul message :

Cessez-le-feu ! (Non pas en Ukraine, mais)…
à Gaza, et au Liban !

Les grands et les petits Toutous l’ont bien capté. Commençons par les Grands.

Les Grands Toutous

Écourtons le suspense, il s’agit bien de l’Europe, essentiellement de l’Europe occidentale, et plus exactement de l’Angleterre, l’Allemagne et la France. Les trois, à tour de rôle, par les bouches respectivement de leur Premier ministre Keir Starmer, de leur ministre des Affaires étrangères Annalena Baerbock, et de leur président de la république, Macron, ont recraché le même discours :

Israël a le droit de se défendre, bien sûr, mais comme il n’y a pas de meilleure sécurité que la Paix, il faut mettre fin à la guerre, le plus tôt possible (avant le 5 novembre, de grâce…), et donc ne plus livrer d’armes… à Israël.

Ce qui induit que le responsable de la guerre, c’est… Israël. Ou plutôt son chef actuel, Netanyahou, lequel est en définitive prisonnier… de son extrême-droite.

Ni le plus grand massacre de Juifs depuis celui de la Shoah, dont on vient de commémorer dans la plus grande tristesse hier en Israël, le premier anniversaire, ni le hamas et le djihad islamique qui l’ont commis avec une cruauté difficilement imaginable, n’ont été condamnés par le monde arabo-islamique, ni par l’OCI (57 pays musulmans), ni par la Ligue arabe (22 pays arabes), ni par Mahmoud Abbas, le président de la dite « Autorité palestinienne », ni par aucune organisation de l’OLP, ni même par les partis politiques arabes d’Israël.

Auriez-vous entendu l’Europe occidentale, et plus exactement l’Angleterre, l’Allemagne et la France, exiger de ces instances qu’elles condamnent les crimes contre l’humanité, notamment contre les otages, et leurs auteurs ? N’était-ce pourtant pas le minimum quand on prétend à l’impartialité et à la diplomatie, voire à la « solidarité » (et là, difficile de ne pas réprimer un rire amer) ?

Depuis neuf mois, le hiszbollah canardait le Nord d’Israël (à la barbe des « Forces de l’ONU », dites FINUL, le long de la frontière libano-israélienne) et 200 000 Israéliens avaient dû quitter leurs maisons, et mettre fin à leurs activités. Auriez-vous entendu la réprobation, les menaces contre le hiszbollah, de l’Europe occidentale, et plus exactement de l’Angleterre, l’Allemagne et la France ? Le secrétaire général de l’ONU si prolixe n’est-il pas soudainement devenu aphone ?

Tout ceci est déjà « énaurme ». Mais il y a plus.

Depuis bientôt trois ans, au cœur de l’Europe, est en train de se dérouler une terrible guerre qui dit-on a déjà fauché un million d’êtres. Pas quelques dizaines de milliers, un million !

Et ni l’Europe ni son parrain les États-Unis n’ont émis la moindre intention d’aller vers un « processus de paix ».

Au contraire, ils continuent à verser des milliards à Zelinsky, et à lui envoyer un armement de plus en plus sophistiqué qui pourrait conduire vers une guerre nucléaire.

Au nom de quelle logique, le raisonnement à l’encontre d’Israël  cessez-le-feu sinon nous arrêtons l’aide financière et militaire »), ne prévaut-il pas pour l’Europe et les États-Unis unis dans l’OTAN en ce qui concerne l’Ukraine ?

Et ce d’autant plus que ces guerres ne sont nullement équivalentes :

– Pour Israël, la guerre avec le monde arabo-musulman a toujours été existentielle, toujours, dès le premier jour de son indépendance.

– Or tel n’est pas le cas de l’Ukraine. Dès le premier mois de cette guerre, j’ai dit ce que j’en pensais1, et donc ici n’est pas le lieu d’y revenir, sauf pour souligner que le slogan « From the river to the sea », n’a jamais eu côté russe d’équivalent, genre « du Donbass à la Galicie ».

Que je sache, l’objectif déclaré et poursuivi de la Russie n’a jamais été de conquérir l’Ukraine, mais de libérer des populations massacrées (14 000 morts depuis le coup d’État de 2014) refusant d’accepter la russophobie des nouvelles autorités ukrainiennes, et alors que les Accords de Minsk de 2014 et 2015 avaient été sabotés par ceux-là même qui devaient en être les garants, la France et l’Allemagne, comme l’ont reconnu en 2023 Merkel et Hollande. Tout cela sous la supervision d’Obama, de son adjoint… un certain Biden, et de leur déléguée sur place, Victoria Nuland, défaisant puis refaisant les gouvernements de Kiev.

Donc Mesdames et Messieurs de l’Europe si vous voulez être crédibles au Moyen-Orient, commencez par donner l’exemple sur votre continent, et osez dire à Obama et à son complexe militaro-industriel :

Ça suffit ! Cessons le feu ! Cessons d’envoyer des armes pour donner une chance à la Paix ! Mettons fin au carnage ! La population ukrainienne a déjà diminué presque de moitié ! Arrêtons d’en faire notre chair à canon ! Etc…

Les Petits Toutous

Après avoir incité l’Europe à faire pression sur Israël et son gouvernement, Obama savait qu’il pouvait compter sur ses Petits Toutous (israéliens). À peine ont-ils été sollicités, qu’ils ont tous répondu présents. Au même moment. Le temps presse. Le 5 novembre se rapproche vertigineusement, et si Trump l’emportait, adieu veaux, vaches, cochons… Et donc nos Petits Toutous se bousculent même. Eux aussi doigt sur la couture… Barak, Olmert, Barnavi quel trio ! Et si l’on y ajoutait tous les autres tout Petits Toutous francophones, genre l’abonné Denis Charbit2, et non-francophones, genre Yaniv Iczkovits3 ou Omer Bartov4, à qui Le Monde, qui se la joue New York Times, offre généreusement ses colonnes, et à eux seuls, quel orchestre de musique contemporaine n’aurait-on pas ! Chacun évidemment avec son instrument. Visez un peu.

– Ehud Barak5, celui qui l’an passé prêchait la guerre civile et appelait à ce que le sang coule :

« Ce dont nous avons besoin, c’est de prendre la décision de se battre conjointement avec le président américain plutôt qu’avec des membres racistes et suprémacistes du cabinet de Netanyahu… Une alliance de forces modérées menée par les États-Unis et approuvée par l’Union européenne »

– L’Ex-ambassadeur, et salarié de l’Europe, Élie Barnavi6, qui depuis des années appelle au secours les États-Unis, rempile une nouvelle fois :

« (il faut) une implication forte, déterminée, brutale, des États-Unis et de leurs alliés… Un cessez-le-feu à Gaza ouvrirait la perspective révolutionnaire dessinée par Joe Biden d’une normalisation rapide avec l’Arabie saoudite… ».

– L’Ex-Maire de Jérusalem, ex-premier ministre, Ehud Olmert, en duo avec un ancien ministre falestinien, Nasser Al-Qidwa, ex-ministre des Affaires étrangères de l’Autorité palestinienne de 2005 à 2006,

« approuvent le plan présenté par le président américain, Joe Biden, et la résolution 2735 (2024) du Conseil de sécurité de l’ONU… »7.

Face à notre Sauveur, les États-Unis d’Obama, il ne pouvait y avoir qu’un obstacle, apparemment plus que redoutable, Netanyahou en personne.

– Barak :

« Netanyahu ne veut pas d’élections alors il prolonge la guerre délibérément… Il rejette tout accord international. Il est responsable des otages qui ne reviennent pas en vie »…

– Barnavi :

« Obscurcie par la personnalité toxique de Nétanyahou, sa politique destructrice et la composition de son gouvernement, sont la cause première de la situation où nous nous débattons est la présence aux frontières d’Israël de proto-États surarmés… »

« Mais la force seule ne saurait suffire, il faut qu’elle débouche sur la politique… Or, pour des raisons de politique politicienne, c’est précisément ce dont Nétanyahou ne veut pas entendre parler.Voilà pourquoi Israël gagne des batailles, mais est en train de perdre la guerre. »

– Tout ce qui est excessif étant insignifiant, comme aurait dit Talleyrand, l’ex-condamné à la prison pour détournement de fonds publics, Ehud Olmert et Nasser Al-Qidwa, neveu de Yasser Arafat qui fit capoter les Accords d’Oslo et très proche de l’assassin condamné à perpétuité Marwan Barghouti,aussise sont-ils décidés d’aller à l’essentiel : un Plan de Paix pour le Jour d’après la guerre.

« Retour à la ligne verte de 1949, partage de Jérusalem, Vieille Ville gérée par 5 États, échanges de territoires entre les deux États ; l’État palestinien sera un État démilitarisé, à l’exception des besoins liés à sa force de sécurité interne et à la police. »,

Quel touchant effort d’imagination ! Les deux signataires sont-ils atteints par Alzheimer, ou parient-ils sur un public pareillement entamé ? Ne nous ressortent-ils pas des plans à peine modifiés qu’avaient déjà proposés les gouvernements Olmert et Barak et qui avaient été refusés d’abord par Arafat puis par Abbas ?

Mais qui viendraient protéger un tel processus ? Eh bien pour les deux messieurs ce serait la PATS (Présence arabe temporaire de sécurité), cette PATS qui n’a pas condamné le 7 octobre et ses auteurs…

« La PATS sera mandatée pour prévenir les attaques contre Israël depuis Gaza ». Ce qui veut dire que l’on prévoit déjà que le hamas resterait une force légitime ou en tous cas tolérée. Et les attaques venant de Judée-Samarie, qui deviendrait l’État de Palestine, entièrement sous l’autorité militaire d’un hamas surarmé, elles, ne sont même pas envisagées !

Mais sans négliger le futur, Barnavi, lui vise l’immédiat (les élections du 5 novembre !) : le Plan Biden.

Cessez-le-feu à Gaza… Libération des otages israéliens… L’Autorité falestinienne retrouve son… autorité à l’aide d’une force multinationale, essentiellement arabe (oxymore !)… Un cessez-le-feu à Gaza désamorcerait la bombe libanaise… la désescalade enclencherait un processus diplomatique qui rétablirait la souveraineté du gouvernement libanais et permettrait le retour des dizaines de milliers de déplacés israéliens dans leurs foyers. « Évidemment, le « prix » à payer serait… le début d’une négociation de paix renouvelée avec les Palestiniens. »

Et justement, comme ça tombe bien, Olmert et son compère Al-Qidwa, ont déjà un « Plan », à plus long terme, dont on a pu saisir la perspicacité.

Mais alors qu’est-ce qui empêche que l’idylle devienne réalité ?

Vous l’avez deviné : Netanyahou !

« Il n’en fait qu’à sa tête… » Et Barnavi qui est semble-t-il dans le secret des dieux, nous livre un scoop : « Biden et son secrétaire d’État, Antony Blinken, écument de rage entre les quatre murs de leurs bureaux tout en faisant publiquement état de différends polis avec Nétanyahou, qui leur ment effrontément. ».

Conclusions de l’ex-ambassadeur et salarié de l’Europe :

  • 1 : « Tant que ce dernier craindra davantage sa « base » que les Américains, rien ne sera possible ».
  • 2 : « Washington et ses alliés doivent changer de logiciel » (les « supplie »-t-il…).

Mais comment faire pour que Netanyahou craigne plus les Américains que « sa base » (c’est-à-dire la majorité du peuple israélien qui l’a porté au pouvoir) ? C’est quoi le nouveau logiciel, selon le très démocrate Barnavi ?

« Pour se faire respecter, leur ai-je dit, et faire respecter sa feuille de route, un tel front américano-euro-arabe doit impérativement l’assortir de clauses contraignantes – en clair, une résolution du conseil de sécurité des Nations unies, et des sanctions. »

Ainsi ne voit-on pas un diplomate dont la fonction est en principe, à moins qu’il ne soit devenu entre-temps espion, de représenter et de défendre son pays, se transformer en conseiller de puissances étrangères, et ce avec le plus grand mépris pour son peuple qualifié par le Sieur de « base » ?!

Qui est « libéral » et qui est « illibéral », dixit le poulain de Barnavi, Monsieur Denis Charbit8? Et je dirai plus, qui est le patriote et qui est le traître ?

La boucle États-Unis-Toutous pourrait être ici bouclée par les propos du porte-parole du département d’État américain Matthew Miller :

« Israël ne sera pas totalement sûr tant qu’il n’accordera pas aux Palestiniens l’autodétermination par le biais d’une solution à deux États9. »

Mais avant, il nous faut faire plusieurs constats essentiellement concernant les Petits Toutous, pour « rester en famille ».

Plusieurs constats.

  • Déstabilisée par le 7 octobre qui remettait en cause son narratif (« notre ennemi, c’est la droite et non les falestiniens »), il a fallu presque une année à une certaine clique universitaro-médiatico-politique, pour se reprendre, c’est-à-dire pour reprendre son ancien discours fondateur : « la solution à 2 États ». Comme si le 7 octobre n’avait pas eu lieu. Car que s’est-il passé le 7 octobre, sinon que ce sont les porteurs de ce discours qui ont été assassinés ?
  • Le hamas a beau lui dire, comme hier encore Khaled Meshaal10, que le seul but desArabes et musulmans doit être « la disparition d’Israël » (« from the river to the sea »), les « modérés » de l’Autorité falestinienne ont beau expliquer qu’entre eux et le hamas, il n’y a qu’une différence de tactique (mon dernier livre « 7 octobre, Eux ou Nous »11 regorge de citations de ce type), cette clique sourde et aveugle hier, ne veut recouvrer ni la vue, ni l’ouïe. Cette surdité et cet aveuglement sont plus que coupables, criminels. Ils ont désarmé spirituellement et militairement ceux qui s’étaient nourris de leurs discours. Ils ont en fait des proies faciles, et habitant à côté de Gaza, n’ayant que quelques pistolets pour se défendre le 7 octobre 2023 face à des milliers d’assaillants surarmés.
  • Cette clique feint d’ignorer une chose très simple : les Arabes et les musulmans (un milliard et demi) ne veulent pas reconnaître au peuple juif le droit de se gouverner sur sa terre, droit pourtant reconnu même dans le coran. Car les Juifs sont de cette terre, et quand cette clique parle « d’occupation », alors qu’il n’y a jamais eu dans l’histoire d’État palestinien, elle est négationniste. D’ailleurs Denis Charbit ne vient-il pas nous annoncer qu’il n’était plus sioniste ? Partant de cette réalité, le Préalable absolu à tout type de négociation, devrait être la reconnaissance, non pas de l’État d’Israël, mais de la légitimité des Juifs en cet endroit de la terre. Une fois cela admis, tout serait possible… Mais combien de siècles et combien de révolutions coperniciennes, faudra-t-il à la psyché arabo-musulmane, pour admettre cette réalité historique ?
  • En attendant, le peuple juif d’Israël ne devra son salut qu’à sa supériorité scientifique, technologique et militaire. Toute agression, simple acte terroriste, guerre, ou massacre du type du 7 octobre, devrait coûter cher, très cher à l’agresseur. Beaucoup plus cher que par le passé. Malgré des agressions arabo-musulmanes à répétitions depuis la renaissance de l’État juif en 1948, et bien que le monde arabe se soit purgé entièrement de ses Juifs, le peuple juif d’Israël s’est montré d’une immense générosité et les Arabes représentent 20 % de sa population. Depuis le 7 octobre 2023, Israël devrait appliquer avec fermeté la règle universelle du bon voisinage : un bon voisin ça se mérite… Que ce soit à l’extérieur de ses frontières, ou à l’intérieur. Un voisin violent qui remet en cause mon existence, doit être à jamais éloigné, si l’on a les moyens de le faire. Celui qui parie sur l’agression doit savoir que le prix pourrait en être l’expulsion, voire l’annexion. Cela ne contrevient pas aux lois de la guerre, cela en découle. Nos petits Toutous qui ne cessent d’ânonner Kibouch… Kibouch… (Occupation… Occupation) devraient être les premiers à le savoir. Dans l’immédiat, cessez d’inverser les responsabilités, cessez de mettre sur le même plan les victimes de l’agressé et les victimes de l’agresseur. Messieurs cessez de pleurnicher sur la « Naqba » : en sont responsables ceux qui avaient projeté d’anéantir le peuple juif en 1948, et qui avaient incité les Arabes à s’en aller pour faciliter la tâche des armées arabes. Même le poète Mahmoud Darwish en a témoigné.

Mais par ces temps de recueillement pour ceux qui ont été massacrés le 7 octobre 2023, pour ceux qui tombent chaque jour pour notre sécurité sur les fronts sud et nord, et pour les captifs qui souffrent depuis une année, pourrai-je Messieurs Barak, Olmert, Barnavi, Charbit, et bien d’autres, vous prier d’être un peu décents, et si ce n’était pas trop, de vous TAIRE ?

Jean-Pierre Lledo, MABATIM.INFO


1 https://www.revuepolitique.fr/est-il-encore-possible-de-penser/
https://www.revuepolitique.fr/est-il-encore-possible-de-penser-partie-2/
https://www.revuepolitique.fr/est-il-encore-possible-de-penser-partie-3/
https://www.revuepolitique.fr/est-il-encore-possible-de-penser-partie-4/

2 https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/10/06/denis-charbit-politiste-israelien-l-etat-d-israel-ne-fonctionne-pas-comme-un-etat-normal_6345312_3232.html
https://www.lemonde.fr/international/article/2024/06/29/denis-charbit-politiste-israelien-le-fer-de-lance-d-une-guerre-a-outrance-c-est-l-islamisme-radical-et-le-judaisme-radical_6245354_3210.html

3 https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/10/05/yaniv-iczkovits-ecrivain-israelien-benyamin-netanyahou-ne-dispose-d-aucun-plan-de-long-terme-au-dela-de-sa-propre-survie_6344041_3232.html

4 https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/10/07/omer-bartov-historien-israel-va-t-il-enfin-comprendre-que-son-pouvoir-a-des-limites_6345563_3232.html

5 https://www.bfmtv.com/international/moyen-orient/israel/il-prolonge-la-guerre-deliberement-l-ancien-premier-ministre-israelien-ehud-barak-denonce-la-strategie-de-netanyahu_AV-202410060126.html

6 https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/10/05/elie-barnavi-ancien-ambassadeur-d-israel-en-france-israel-gagne-des-batailles-mais-est-en – train-de-perdre-la-guerre_6344467_3232.html

7 https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/10/05/ehoud-olmert-et-nasser-al-qidwa-notre-plan-decrit-les-elements-necessaires-pour-permettre-une – paix-israélo-palestinienne-perenne_6344038_3232.html

8 https://www.lemonde.fr/international/article/2024/06/29/denis-charbit-politiste-israelien-le-fer-de-lance-d-une-guerre-a-outrance-c-est-l-islamisme-radical-et-le-judaisme-radical_6245354_3210.html

9 https://www.i24news.tv/fr/actu/israel-en-guerre/artc-live-blog-anniversaire-du-7-octobre-tirs-de-roquettes-en-provenance-de-la-bande-de-gaza

10 https://www.i24news.tv/fr/actu/israel-en-guerre/artc-les-effets-du-7-octobre-dureront-de-nombreuses-annees-durant-lesquelles-nous-assisterons-a-la-disparition-d-israel-declare-khaled-meshaal

11 « 7 octobre, Eux ou Nous » – JP Lledo. Éditions Balland. Paris. Juin 2024.


En savoir plus sur MABATIM.INFO

Abonnez-vous pour recevoir les derniers articles par e-mail.

3 commentaires

  1. Etant croyant et pratiquant ma boussole est le Torah et je fais un rapprochement entre toutes les vicissitudes supportées par certains pays à tous les niveaux, surtout ceux qui retournent leur veste contre Israël, ou ceux qui ont une opposition virulente contre les Juifs et que les dirigeants laissent faire, cela me rappelle la réaction des «  »khartoumim » » (magiciens) qui, après la troisième plaie, ont dit au pharaon : le doigt de Dieu est là (ce qui était une claque pour lui puisqu’il se prenait pour un dieu).

    J’aime

  2. Très pertinente analyse, qui tranche avec la désinformation habituelle. On assiste à une alliance tacite entre les Islamonazis et collabos de l’islamonazisme des deux côtés de l’Atlantique. Obama/Biden/Harris/Trudeau en Amérique du Nord Macron/Vonderleyen et les Anglais en Europe. Par le plus grand des hasards, ce sont exactement les mêmes qui veulent le plus la guerre contre la Russie. Un ancien nazi ukrainien est applaudi au parlement canadien, tandis que la Russie est interdite de commémorations à Auschwitz (qu’elle avait libéré). Arno Klarsfeld le disait : la propagande pro Kiev s’accompagne d’une réécriture de l’Histoire allant dans le sens d’une diabolisation des Russes et d’une légitimisation des Nazis allemands ou ukrainiens. Parallèlement, les Islamonazis ont pris le contrôle des universités, du monde éditorial, du showbiz, des médias, et Emmanuel Mélenchon / Jean-Luc Macron multiplie les preuves d’allégeance aux Islamonazis y compris sur la scène internationale.

    Alliance tacite entre les nostalgiques de Bandera et les gouvernements collabos de l’islamonazisme : d’un nazisme à l’autre, la boucle est bouclée !

    Qu’on le veuille ou non, Netanyahu est le Churchill du vingt et unième siècle. Inversement, l’attitude de plus en plus collaborationniste des dirigeants européens traduit une sorte de panique et de folie destructrice : l’Europe a sombré dans le Nazisme islamiste, la guerre en Ukraine est un fiasco et l’économie européenne au bord du séisme. Sous l’égide obamanienne, Macron et Von der Leyen semblent vouloir entraîner le monde entier dans leur chute.

    J’aime

  3. je partage largement cette analyse .hussein obama est un serpent qui est l ennemi juré de notre peuple , il manipule largement la politique US depuis trop longtemps et sape les fondements de l amerique avec constance .

    mon hypothese est que ses liens avec les mollahs sont un point central de son comportement et je suis certain que l avenir apportera des details terribles sur ce sujet .

    il faut prier pour que Trump passe , car la super nouille Kamala serait un jouet entre les mains d obama et la situation d Israel empirerai drastiquement .

    esperons que Bibi aura le courage de frapper vite et fort pour entamer la chute des mollahs …….et de hussein obama .

    J’aime

Laisser un commentaire. Il sera visible dès sa validation.