Frontex au ban des bobos pour délit d’info vérifiée

bateau papier.jpgQue veux-tu faire quand tu seras adulte ?

1950 : le garçon veut être pompier et la fille danseuse étoile.

1980 : le garçon veut être danseuse étoile et la fille pompier.

2019 : le garçon et la fille veulent être « humanitaires. »

Dans la famille Humanitaires…

…il y a plusieurs dynasties, dont la plus riche, en 2019, est incontestablement « Migrants » et, plus particulièrement, son dernier-né « Sauvetages en mer », dont plusieurs cousins se disputent le leadership.

Cela commence par un glissement de vocabulaire, qui transforme « migrants » en « réfugiés » et vice versa, ce qui brouille les valeurs qui sous-tendent l’un et l’autre dans l’imaginaire français. En effet, tous les réfugiés sont des migrants, mais tous les migrants ne sont pas des réfugiés.

La différence est de taille, car les pays signataires de la convention de 1951 ont une obligation légale d’accueillir les réfugiés, mais pas tous les migrants. D’où l’importance d’établir qui est qui.

Qui est qui’ détermine ‘qui a droit à quoi’…

L’ONU définit un « migrant » comme : « toute personne qui vit de façon temporaire ou permanente dans un pays dans lequel il n’est pas né et qui a acquis d’importants liens sociaux avec ce pays. … (la définition) inclut, les mouvements de réfugiés, les personnes déplacées et les migrants économiques.(Unesco) »

Un « réfugié » est défini par l’ONU, comme par la Convention de 1951 : « le terme de réfugié s’applique à toute personne craignant avec raison d’être persécutée du fait de sa race, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe social ou de ses opinions politiques, se trouve hors du pays dont elle a la nationalité et qui ne peut ou, du fait de cette crainte, ne veut se réclamer de la protection de ce pays; ou qui, si elle n’a pas de nationalité et se trouve hors du pays dans lequel elle avait sa résidence habituelle à la suite de tels évènements, ne peut ou, en raison de ladite crainte, ne veut y retourner. (Nations Unies) »

…et qui s’occupe de qui

Comme son nom l’indique, le HCR, Haut-Commissariat aux Réfugiés, est l’agence des Nations-Unies qui est dédiée aux réfugiés. 87% de ses employés travaillent sur le terrain. Fin 2016, le HCR comptait plus de 10 800 employés, dans 128 pays, pour 22,5 millions de personnes (chiffres de fin 2016).

Comme son nom ne l’indique pas, le HCR s’occupe de TOUS les réfugiés, SAUF des réfugiés palestiniens, qui sont définis différemment, avec un statut héréditaire sans limitation du nombre de générations et une agence dédiée, nantie d’un personnel et d’un budget largement supérieurs à ceux des autres réfugiés de la planète. L’agence s’appelle UNRWA. En français, et comme ses initiales refusent de l’indiquer, elle porte le nom d’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Moyen-Orient (Wikipedia). En près de 70 ans d’existence, elle n’a pas réussi à deviner quelles étaient les initiales des mots « Réfugiés », « Palestine » et « Moyen-Orient ».

L’UNRWA entend, « par réfugiés de Palestine, les personnes qui résidaient de façon normale en Palestine entre le 1er juin 1946 et le 15 mai 1948 et qui ont perdu à la fois leur habitation et leurs moyens de subsistance à la suite du conflit de 1948. Les réfugiés de Palestine et leurs descendants peuvent s’enregistrer auprès de l’UNRWA pour bénéficier des services que celui-ci fournit dans ses zones d’opérations. En 1950, lorsque l’Office a commencé ses activités, il devait prendre en charge quelque 750.000 réfugiés. » Aujourd’hui, il en revendique 5,4 millions (Nations Unies).

Le discours de la méthode

Pour que tous les migrants deviennent des réfugiés dans l’esprit des Français de bonne volonté, il a fallu un bombardement ininterrompu d’images, provoquant chez eux le choc des photos et leur faisant absorber subliminalement le poids des mots.

J’en vois, dans le fond de la salle, qui haussent les épaules et lèvent les yeux au ciel en murmurant le mot « complotiste » et quelques noms d’oiseaux.

Ils ont tort !

Un complot suppose des opérations souterraines, coordonnées par des puissances occultes. Les ONG dont les « migrants » sont le fonds de commerce agissent de la façon la plus ouverte qui soit, revendiquant leurs actions à l’aide de vidéos incrustées de leur logo.

« Mais pourquoi feraient-elles cela ? » demandent les plus naïfs. « Quel est leur intérêt ? » s’étonnent les plus curieux.

La réponse est simple : comme toutes les entreprises, les ONG doivent croître ou disparaître. Les entreprises créent de nouveaux produits, les plus audacieuses inventent de nouveaux besoins auxquels leurs nouveaux produits sont déjà prêts à répondre. Et les ONG ? Elles font la même chose : leurs clients ne sont pas des consommateurs, mais des adhérents cotisants, et leurs produits sont les causes qui susciteront plus de cotisations et de dons.

Plus de migrants = plus d’images = plus de cotisations et de dons.

Une fois les migrants devenus LA cause et ses activistes la réincarnation de Robin des Bois, la concurrence entre associations s’est amplifiée et c’est pour gagner des parts de marché que les directeurs du marketing des ONG ont planché.

Tout a marché comme sur des roulettes pendant tout le temps où les migrants ont coulé en mer et où les ONG ont vu leur croissance suivre un long fleuve tranquille. Las ! Un bâton dans la roue de ce bel ordonnancement a sérieusement compromis son cours.

Certaines images, précisément celles d’une vidéo diffusée par Frontex (Facebook), ont eu un effet délétère sur les stratégies marketing les plus minutieuses.

Frontex, c’est l’Agence européenne des garde-frontières. Sa vidéo montre la mise en scène en direct d’une « grave crise humanitaire » destinée à culpabiliser les nantis que nous sommes et à les faire se précipiter sur leur porte-monnaie pour financer les courageux humanitaires qui vont aider ces pauvres hères. Sauf que…

Un happy end humanitaire est une catastrophe commerciale

La séquence filmée montre des gens en train de transférer 81 migrants depuis un chalutier en parfait état à un petit canot rudimentaire au large de la Méditerranée. Ce sont des migrants, ceux dont les ONG soulignent le terrible destin. Le canot a été arraisonné, mais le stock de compassion du public vis-à-vis des dangers courus pendant un trajet de plusieurs semaines, sans eau et sans nourriture, sur la barcasse, a sérieusement diminué.

La Repubblica raconte ainsi l’histoire : « Aux petites heures du matin, 81 migrants sont arrivés, entrant dans les eaux italiennes sans être dérangés, suivis par un avion de Frontex qui avait identifié depuis hier après-midi le bateau sur lequel ils voyageaient, alors qu’ils étaient à 25 miles de Lampedusa […]. Ils ont dit qu’ils étaient partis de la plage libyenne d’Al Zwara. Ils viennent du Bangladesh, d’Algérie, de Syrie, du Sénégal, du Maroc, de Tunisie et de Libye. (la Repubblica) »

Des Algériens, des Marocains, des Sénégalais, des Tunisiens sont-ils vraiment, à l’instar des Syriens et des Libyens, des gens qui « craignent avec raison d’être persécutés du fait de leur race, religion, nationalité, appartenance à un certain groupe social ou opinions politiques » ou bien sont-ils des citoyens de pays musulmans soumis à des régimes corrompus, qui s’exilent pour un motif économique ? Il n’y a là rien de répréhensible, sauf s’ils souhaitent immigrer en France, où il y a déjà 5,6 millions de chômeurs déclarés (et probablement autant non déclarés parce que classés comme étudiants, intérimaires ou stagiaires) : chronique de l’échec d’un exil économique annoncé.

Business plan et plans de carrière

Les seuls pour qui une augmentation de l’immigration représente une bonne affaire sont les passeurs, à qui les ONG repassent les migrants qu’ils recrutent dans leurs pays d’origine, et les ONG elles-mêmes : outre les cotisations et dons que leur visibilité médiatique leur rapporte, ces organisations « à but non lucratif » réussissent souvent à se faire subventionner par leurs propres pays, où leurs dirigeants deviennent VIP, élus ou donneurs de leçons médiatiques rémunérés.

Une démonstration exemplaire en a été donné par Ariel Ricker, directrice-fondatrice de l’ONG britannique Advocates Abroad, qui a importé, en 2018, 15.000 articles, oups ! migrants, mais qui refuse de diffuser son chiffre d’affaires. Sa société, oups ! son association avait suscité l’attention de Lauren Southern, youtubeuse canadienne et réalisatrice de documentaires, qui a intitulé celui qu’elle lui a consacré, en 2018, Borderless (YouTube) (sans frontière).

Un mot sur la réalisatrice de 24 ans, qui fut candidate à une élection sous l’étiquette du parti libertarien. Elle est qualifiée d’extrême-droite par la presse mainstream, qui s’évite, par cet anathème, d’avoir à contredire ses arguments. Pourtant, le parti libertarien du Canada s’est donné comme mission de réduire les responsabilités et les dépenses du gouvernement, en légalisant les drogues, en réduisant les impôts, en autorisant le port d’armes et en soutenant le non-interventionnisme, c’est-à-dire la liberté des États de ne pas voir d’autres pays s’ingérer dans leurs affaires intérieures. Pas exactement un programme d’extrême-droite, mais quand on veut tuer son chien, il est plus rapide de le qualifier d’extrême-droite que de prétendre qu’il a la rage.

Sans frontière et sans vergogne

Dans le documentaire, une équipe infiltrée au sein de l’ONG Advocates Abroad, fait parler sa directrice de son activité. La dame coache les migrants musulmans afin qu’ils se fassent passer pour des chrétiens orthodoxes persécutés pour leur religion. C’est une combine d’autant plus cynique, que les vrais chrétiens persécutés le sont par les coreligionnaires de ses protégés. Bah, ce n’est pas parce qu’on fait son business grâce à une image de Mère Teresa qu’on doit soi-même croire à des conneries comme la différence entre le bien et le mal !

Elle explique, sans l’ombre d’un remord, apprendre à ces immigrés à mentir lors des entretiens avec les agents de la police des frontières, notamment Frontex. « Je leur explique que c’est de la comédie, tout cela, c’est de la comédie… Pour qu’ils réussissent, ils doivent jouer leur rôle comme au théâtre. » Elle admet volontiers que son association incite systématiquement les demandeurs d’asile à mentir et à faire semblant d’être traumatisés et persécutés, avec des séances de travaux pratiques à rendre jaloux l’Actor’s Studio.

Sous le chapeau général « Rouler ces fucking agents des frontières », la formation comprend un module « apprendre à parler et à prier comme un catholique », dans laquelle on enseigne à ces candidats à l’immigration à déclarer que leur fête préférée est, non pas « Noël » tout court, mais « le 25 décembre, qui célèbre la naissance de notre Sauveur Jésus-Christ ».

En réaction à ces révélations, l’ONG avait publié un tweet, qu’elle a ensuite supprimé, avec toutes ses pages Twitter et Facebook, qui comptaient 140.000 et quelques abonnés.

Cachez ces saintes arnaques que je ne saurais voir

Vue de l’Hexagone, une escroquerie est forcément de droite, donc à combattre, sauf quand elle est pratiquée sous l’étiquette Robin des Bois, alias Migrantophile, forcément de gauche, donc à soutenir.

C’est pourquoi la gigantesque arnaque aux migrants perpétrée par Ariel Ricker et ses avocats n’a pas eu le retentissement qu’a régulièrement, par exemple, le moindre tweet de Breaking the silence, une association israélienne comportant quelques dizaines de membres, qui est financée par l’Autorité palestinienne (elle-même disposant de fonds européens, c’est-à-dire de nos impôts) et par divers gouvernements européens. Peut-être peut-on expliquer cette différence de traitement par les objectifs respectifs de ces associations ?

L’une vise à introduire en Europe de pauvres-migrants-musulmans grâce à de faux témoignages, l’autre participe à l’entreprise internationale de délégitimation d’Israël-ontologique-coupable-d’apartheid-et-de-génocide-lent, au moyen de faux témoignages. Curieusement, quand les preuves amassées par des enquêtes approfondies démontrent de façon irréfutable que ces témoignages anti-israéliens sont mensongers, l’info ne parvient jamais aux lecteurs et spectateurs de nos médias. Les preuves que l’apartheid est imaginaire sont visibles à l’œil nu de quiconque se rend en Israël, mais justement, tout est fait pour que « les gens bien » n’y aillent jamais. Quant au génocide lent qui a multiplié par plus de 7 la population des génocidés, alors que celle des génocideurs doublait à peine pendant la même période, son calcul n’est jamais souligné par nos gens de lettres, qui n’aiment pas les chiffres. Il en va de même pour les malversations de Advocates Abroad : les Wikileaks sont toujours dextrogyres, il n’existe pas de Wikilies (Wikimensonges) sénestrogyres.

Suggestion d’épreuve pour le Bac français

1er sujet : Déterminez quelle est l’idéologie promue par le « journaliste » qui décrit comme ci-dessous la vidéo de Frontex (France Info). Argumentez votre réponse.

Le titre de l’article est : « L’agence des garde-côtes européens a, pour la première fois, diffusé des images du travail des passeurs en Méditerranée. Une vidéo arrivant dans un contexte de défiance et d’interrogation populiste face au travail de Frontex. »

L’article parle du travail des « passeurs », mais l’intervention en amont des ONG dans le recrutement desdits migrants n’est jamais mentionnée. Ce titre et l’utilisation du répulsif « populiste » aiguillent donc le lecteur vers une interprétation pro-migrants.

« De la cale sortent un, deux, trois hommes, puis des enfants, des femmes, un flot discontinu d’êtres humains quitte le chalutier pour rejoindre la petite embarcation attachée au chalutier. Une fois tout le monde à bord, le bateau principal met les gaz et laisse la coquille de noix valdinguer au gré des vagues provoquées par la fuite des marins. » La première phrase de ce récit misérabiliste donne la fausse impression d’une population civile composée de familles et ne permet aucunement de supposer qu’il s’agit de 75 hommes, 3 femmes et 3 enfants. Il est difficile d’imaginer que c’est fortuit. D’autant que le choix du vocabulaire de la suite (« coquille de noix », « valdinguer au gré des vagues », « la fuite des marins ») confirme la volonté de créer un climat dramatique, mettant en péril l’existence même de ces civils livrés aux éléments, alors que la vidéo montre une opération réglée au millimètre.

2ème sujet, même texte : Illustrez par un exemple une maxime de Michel Audiard

« Les cons osent tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît. »

Trois hypothèses : soit les cons font plus d’enfants que les autres, ce qui explique leur multiplication, soit la pollution fait baisser le QI général, si bien que la densité de cons au mètre carré augmente, ou alors, les cons sont beaucoup plus présents dans l’espace médiatique que les autres, parce que leur discours colle à l’idéologie régnante et que la médiacratie considère les chapelets de conneries comme une marchandise convenant à son public.

Pour passer avec élégance de Michel Audiard à François Truffaut, nous donnerons un exemple du troisième type, tiré de l’article que France Info a consacré à la vidéo de Frontex.

« (S)i vous avez suivi les débats des élections européennes, peut-être vous souvenez vous[1] que ce mot de Frontex est souvent revenu dans la bouche des candidats d’extrême droite afin de montrer que les frontières de l’Europe étaient soi-disant une passoire, et donc qu’il fallait en finir avec Frontex… D’ailleurs, les premiers à réagir à cette vidéo étaient des élus ou des sympathisants RN (…) pour trouver à travers cette vidéo une justification à leur théorie complotiste voulant que ces migrants arrivant de Libye étaient de faux réfugiés. La preuve : ils voyagent tranquillement en chalutier et après attendent, encore plus tranquillement qu’on vienne les chercher. La vidéo dit le contraire mais un chiffre suffira à éteindre ces sombres rumeurs : aujourd’hui, un migrant sur huit perd la vie en Méditerranée. »

« En finir avec Frontex » ? Vérification faite, le mot « Frontex » n’est « revenu dans la bouche des candidats d’extrême droite » que lorsqu’a eu lieu un vote concernant la modification du règlement de cette agence, en avril 2019. Le RN a expliqué sa position dans un communiqué de presse : « Avec nos alliés italiens de la Lega, nous voterons donc contre ce nouveau règlement. Nos adversaires veulent une agence Frontex au service des migrants et entre les mains de la Commission. Nous voulons qu’elle soit au service des Européens et des nations !(Rassemblement National) »

Sujet 2 – Commentaire

La méthode qui consiste à disqualifier une opinion, un individu ou un groupe, en le rapprochant du Rassemblement National est éculée, mais elle fait toujours recette, car elle économise l’examen des arguments et leur réfutation. Elle est encore à l’œuvre dans cet exemple où s’établit un lien, d’abord antagoniste, entre le RN et Frontex, puis où cette agence est disqualifiée, non pas en argumentant sur son action, mais en la rapprochant de nouveau du RN, cette fois dans un rapport de collaboration.

Aussi efficace que l’accusation de frayer avec le RN est celle de complotisme, dont le journagandiste de la voix du Quai d’Orsay ne manque pas d’user.

Toutefois, ce qui justifie avec brio la maxime audiardienne est le raisonnement infantile selon lequel « si je le dis, cela devient vrai ». En l’occurrence : « ils voyagent tranquillement en chalutier et après attendent, encore plus tranquillement qu’on vienne les chercher. La vidéo dit le contraire. »

Or la vidéo ne dit rien, elle montre exactement ce que le journaliste décrit et quiconque la regarde voit des gens qui descendent d’un chalutier pour s’asseoir dans une toute petite barque. Quiconque vit sur la planète Terre apprend que la barque a été interceptée et ses passagers transférés au centre d’accueil de migrants de Lampedusa (le Parisien).

Dernier décryptage psychologique du militant à carte de presse : « un chiffre suffira à éteindre ces sombres rumeurs : aujourd’hui, un migrant sur huit perd la vie en Méditerranée. »

La sombre rumeur, c’est qu’en réalité, les migrants ne souffrent pas tous les affres qu’on imaginait. Serait-ce que l’activiste leur veut du mal ? Non, il s’en fout des migrants, l’activiste. Ce qui l’intéresse, c’est de river son clou à ce qu’il qualifie d’extrême-droite. Il se réjouit donc de ce qu’un migrant sur huit meure en Méditerranée, car cet argument massue va clore le bec des salauds qui pensent différemment de lui, et parmi eux, ceux qu’il hait particulièrement : ceux qui ont le culot de tenir compte de la réalité.

France Info et les faits sont dans un bateau

Un sur huit, cela correspond à 12,5%. Pour 2018, le HCR a chiffré les migrants passant par la Méditerranée à 114.941. 12,5% auraient correspondu à 14.367 morts dans la Grande Bleue. Sauf que le HCR, lui, estime qu’il y en a eu 2262, c’est-à-dire 1,96%, soit un sur 51.

C’est déjà énorme : cela correspond aux deux tiers des morts français sur les routes (3259 en 2018 – Le Monde) et à près de la moitié de ceux qui décèdent de maladies nosocomiales dans nos hôpitaux (4200, la même annéela Dépêche). Inutile d’en rajouter, donc !

Le HCR a les moyens de compter précisément ses ouailles, mais ses chiffres ne satisfont pas le journidéologue : il multiplie les morts pour nous faire avaler les petits pains de ses fantasmes ! LM♦

Liliane Messika, MABATIM.INFO

Logo Liliane Messika[1] Le style, la ponctuation (ou absence de), les fautes et les approximations sont d’origine.

2 commentaires

  1. Les Infaux balancées par l’Agence France Propagande sont reconnaissables dès les premières lignes en raison de leur style à charge vengeur.
    Trump est toujours qualifié de ´milliardaire ou magnat de l’immobilier’ au lieu de Président.
    Ce matin Salvini a reçu sa douche après avoir été insulté par le Micron qui ne se sent jamais plus arrogant que face à un adversaire qu’il sait supérieur à lui.
    Après la libération de l’héroïne du jour qui s’appelle Racket, que les juges qui détestent ce dirigeant, l’Agence France Poubelle n’a pas oublié de qualifier Salvini de dirigeant d’extrême droite, pour rajouter une couche vengeresse de moralité de fond de bidet.
    Ce sont ces falsificateurs manipulateurs qui empêchent les Francais et francophones d’être informés honnêtement, ces ordures de l’Agence France Pouriture veillent à verrouiller l’objectivité et la réalité des choses pour distiller leurs Infaux.
    L’histoire du bateau neuf qui déverse des migrants dans une barque de fortune rappelle l’épisode survenu chez les palestiRiens au cours duquel un mort s’est levé de sa civière avant que le cameraman n’interrompt l’embrouille.
    Bien entendu, les escrocs de l’Agence France Pourritures ont caché cette forfaiture.
    Libérez nous de cette vermine pour le salut de ceux qui attendent autre chose que des Infaux…

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