Ne pas confondre antiracisme et connerie noire

Coloniser, c’est conquérir pour dominer

« Point n’est besoin d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer »

fait dire Marcel Pagnol, avé l’assent, à l’un de ses personnages.

Bien que rejetant tout ce qui constitue notre culture et nos valeurs, les islamistes ont entrepris une vaste offensive, dans l’espoir de parvenir, sur le temps long, à transformer la France en un pays régi par la charia. Pas besoin de réussir pour persévérer, mais leur réussite éclatante en deux ou trois décennies leur donne d’autant plus d’entrain à poursuivre le combat.

Il n’y a plus, dans notre pays, que les fanatiques mélenchono-plénélistes pour faire semblant de ne pas connaître la technique de conquête islamiste en France.

Elle s’effectue en quatre phases, qui se jouent en duo avec leurs proies :

  • 1) les agresseurs provoquent ;
  • 2) les agressés réagissent ;
  • 3) les agresseurs, ayant obtenu ce qu’ils cherchaient, prennent alors la Caliméro attitude ;
  • 4) à la suite des idiots utiles, la société française fait pénitence.

Quel que soit le prétexte, la séquence est invariable. Et n’importe quel alibi suffit : du papier toilette illustré d’une feuille d’Aloë Vera qu’on a pu faire semblant de confondre avec une graphie d’Allah, ou bien la non embauche, dans un magasin de lingerie féminine, d’une croyante voilée d’austérité…

Dans la même veine, récemment, la société Évian a twitté pour inciter le public à boire son eau minérale. Ce pépiement innocent n’avait pas de quoi fouetter un chat. Sauf quand le chat coranique craint l’eau froide et trouve le moyen de qualifier la mention de boisson d’agression.

Le timing, Coco, le timing!

Eh oui, pour que la provocation se pare d’un voile diaphane de vraisemblance, il faut et il suffit que le ramadan ait commencé.

Le calendrier de l’Hégire ayant sept siècles de retard sur le grégorien, les années y sont plus courtes (afin qu’il nous rattrape ?). Aussi les dates ne correspondent pas avec les nôtres et le mois du ramadan peut aussi bien tomber en avril, où la croyante ne doit pas se découvrir d’un fil, qu’en décembre, où le croyant s’octroie le droit de porter des chaussettes dans ses sandales.

Certes, la population musulmane représente entre 10 et 20 % des Français et, en son sein, ceux qui pratiquent le jeûne pendant les 30 jours prescrits par le Coran sont en quantité bien moindre. Mais il est un instinct canin qui est repris par nombre de brutes, y compris humaines : aboyer avec une force inversement proportionnelle à leur poids réel.

Considérant donc qu’ils étaient le centre du monde et que les 67 millions de Français ne devaient avoir nulle autre préoccupation que de leur complaire, ces minoritaires ont bruyamment orchestré une campagne de manifestations contre Évian, coupable, à leurs yeux, d’avoir continué à vivre normalement, sans tenir compte des contraintes qu’ils s’imposent à eux-mêmes.

« Pourquoi aujourd’hui spécifiquement ? C’est vicieux quand même »

a twitté un nombriliste, manquant d’imagination au point de ne pas soupçonner que l’on puisse, en France, ignorer la date variable du ramadan. Non seulement l’ignorance de leurs rites est inenvisageable, pour ceux qui se prennent pour le sel de la terre, mais de surcroît, ne pas en tenir compte revient, à leurs yeux, « à chercher les problèmes là où il y en a pas », comme l’a fait savoir l’un d’entre eux.

Clairement, les extrémistes de la fashion victime attitude réinventent la projection freudienne au quotidien. Car qui cherche des problèmes ? Le webmaster d’Évian qui fait son travail, comme tous les autres jours de l’année, ou le ramadanophile qui prend cela pour une insulte personnelle ?

Et pourquoi aller consulter les tweets d’Évian, quand on respecte le ramadan et qu’on ne boit qu’après le coucher du soleil ?

Plus la ficelle est grosse, plus la France cherche à s’y pendre

D’Alger, en janvier 2018, l’écrivain Boualem Sansal, que les plus orthodoxes néo-racistes auront du mal à traiter d’islamophobe, écrivait déjà :

« Le pays est gangrené par l’islamisme qui l’a élu terre de djihad, il est martyrisé par le terrorisme, abîmé dans ses valeurs et son mode de vie, mais rien n’y fait, la France laïque et bêtement généreuse maintient la ligne, elle protège et promeut l’islam, cheval de Troie de l’islamisme… (Tribune Juive) »

Depuis trois ans que ces lignes ont été écrites, on voit bien que l’islam a crû et prospéré chez la fille aînée de l’Église. Au point que c’est Évian qui s’est excusée d’être innocente, en accouchant d’un truisme :

« Bonsoir, ici la team Évian, désolée pour la maladresse de ce tweet qui n’appelle à aucune provocation! (la Dépêche) »

La « team Évian » (qui ne connaît pas le mot « équipe ») a donc tourné sept fois sa paille dans le verre d’eau où soufflait la tempête, finissant par sélectionner le délit de « maladresse », par opposition au crime de blasphème et soulignant qu’inciter les Français à boire de l’eau minérale provenant d’une source locale n’était pas, dans ce cas particulier, une provocation.

Les provocateurs ont dû MDR (« mourir de rire » et non « se sentir merdeux », ce qui ne leur arrive jamais, même quand ils manipulent des opinions de caniveau).

En effet, il y a une différence de nature entre ressentir une discrimination et fouiller les ondes, les médias et les poubelles (ce n’est pas forcément la même chose) à la recherche d’un rien qui pourra servir de déclencheur à une plainte.

On s’étonne d’ailleurs que l’État français n’ait pas encore été condamné par la Cour européenne des droits de l’homme à afficher un double calendrier, afin de ne pas discriminer les musulmans, qui sont, aujourd’hui, obligés de consulter Internet pour savoir à quel moment de l’année tombe leur saint mois.

À la recherche d’une multiculture

Il fut un temps où il était conseillé aux touristes, qu’ils fussent gladiateurs ou esclaves, de

« À Rome, manger comme les Romains. »

Aujourd’hui, la tendance est à obliger les Romains à manger halal et les Français à se sentir coupables et à baisser la tête. S’ils ne savent pas pourquoi, Allah le devinera, alouette, alouette.

Depuis Touche-pas-à-mon-pote (parfait exemple d’utopie devenue dictature), on cache Liberté et Égalité sous le tapis et l’on vénère la Multi-Cul du Vivrensemble, nouvelle déité qui cache l’homogénéité de son objectif islamique sous la prétention d’une tolérance à sens unique et d’une intolérance à visées violentes. Foin de multiplicité : seule la parole d’Allah a vocation à devenir universelle et, dans « société multiculturelle », « multi » devrait s’écrire « alter ».

La France n’est Dar el-Islam, le monde de l’islam, que par poches : les quartiers de ses maîtres. Elle a vocation à le devenir et, en attendant, elle est dar al-Harb : terre de combat, mais un combat pacifique, puisqu’il vise à amener la totalité de l’humanité à la seule vraie religion (et à tuer ceux qui s’y refusent). N’est violence que ce qui s’oppose au pouvoir absolu d’Allah. Commettre un génocide en son nom est donc, pour ses adeptes, faire œuvre pie.

Pour autant, ceux qui périront sous le glaive, se laisseront convertir par le prosélytisme ou disparaîtront sous la démographie, doivent-ils se résigner sans tenter la résistance ?

On n’a pas encore essayé la vérité

Pourquoi, dans notre pays, traite-t-on les musulmans comme des demeurés, comme des bambins qui disent des choses qu’ils ne pensent pas, qui agissent à l’opposé de ce que nous prétendons qu’ils veulent et qui sont trop faibles pour être comptables de leurs actes ?

Ceux qui veulent la guerre ne sont pas la majorité, ils sont ceux qui terrorisent la majorité. Grâce à notre bienveillance et à notre aide active, sous forme de métaphores pour évoquer leurs incivilités, de périphrases pour minimiser leurs délits et d’excuses systématiques quand leur crime est accompli.

Admettons que celui qui tue au nom d’Allah n’a pas nécessairement aboli son jugement et offrons-lui le respect de le juger pour ce qu’il a fait.

Qui a dit

« Il est absolument nécessaire et vital que les musulmans se déterminent nettement par rapport aux problèmes liés à l’intégrisme, à la politisation des mouvements islamistes en France et aux menées terroristes. Il faut rompre avec le silence des communautés qui demeurent impavides, comme si nous étions complices. Sans cela, le problème de l’islam restera un problème sécuritaire (le Figaro) »?

C’est Dalil Boubakeur, Recteur de la Mosquée de Paris et ancien président du CFCM, le Conseil français du culte musulman. Offrons-lui ce qu’il demande : de traiter les Français musulmans comme tous les autres citoyens. Ni moins, ni plus. Salman Rushdie, qui a eu plus que sa part d’extrémisme à combattre au sein de sa propre communauté, a fait remarquer que

« Combattre l’extrémisme, n’est pas combattre l’Islam. Au contraire c’est le défendre. »

Nation n’est pas un gros mot, patriotisme non plus

Dans la rubrique « les évidences qui crèvent les yeux », le cercle de réflexion interarmées écrit, dans un document contre l’éclatement de la France sous les coups de boutoir de l’islamisme,

« Ce ne sont pas les nationalismes qui ont conduit aux deux guerres mondiales, mais l’impérialisme absolutiste. Et c’est l’immense élan patriotique et donc nationaliste qui a permis la mobilisation des démocraties et leur victoire sur les totalitarismes en 1945, comme c’est l’âme patriotique nationaliste qui a permis la résilience des peuples sous la dictature communiste. L’islamisme est un nouvel impérialisme absolutiste, qui pourra être vaincu par l’alliance des nations protectrices et démocratiques. »

Est-ce la peur qui conduit la plupart des élus locaux à tenter d’acheter a paix sociale à coup de millions offerts à des associations violentes ?

N’est-ce pas plutôt la courte vue qui les conduit à agir comme si, après eux, le déluge ne concernerait pas leurs enfants ?

Et n’est-ce pas, surtout, le confort dans lequel ont vécu, depuis leur naissance, les élites d’aujourd’hui (n’ayant connu, de toute leur vie, ni la guerre, ni la misère, ni la dictature), qui les rend incapables d’admettre que certaines cultures et certains systèmes de gouvernement sont supérieurs à d’autres en termes de morale ?

Hiérarchie des valeurs

Notre pays vit en paix avec ses voisins depuis que l’Allemagne, dénazifiée par les Américains et les Russes, a signé un traité de paix garanti par l’ONU et, surtout, par des liens économiques établis au cours de presque sept décennies.

Cela nous a amenés à considérer qu’il y a toujours une meilleure solution que la guerre et que la fraternité est largement supérieure à l’égalité et surtout à la liberté.

Notre pays préfère gronder les communes bien gérées qui achètent des vaccins plutôt que d’accepter une meilleure protection de leurs citoyens par rapport à d’autres. L’égalité qui ne peut être atteinte vers le haut doit être rétablie vers le bas. D’où la prime aux communes mal gérées et la baisse régulière du niveau scolaire pour s’aligner sur les plus incultes.

Croit-on vraiment qu’une dictature, décrétant les hommes supérieurs aux femmes et les musulmans supérieurs à tous les autres, est préférable à une démocratie leur accordant à tous les mêmes droits, quelles que soient leurs religions, origines et opinions ?

Non. Ceux qui le nient ne le croient pas pour autant. À l’inverse, ils ressentent un tel sentiment de supériorité vis-à-vis de ceux qui suivent aveuglément leur dogme, sans jamais remettre en question son amoralité, qu’ils ne leur demandent même pas ce qu’ils exigent de leurs propres enfants : un minimum de savoir-vivre, d’obéissance à la loi commune et d’honnêteté intellectuelle.

Sept siècles et sept minutes de RER nous séparent

Ne peut-on vraiment pas juger la différence entre les deux approches, l’une qui promet que :

« La République assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances.1 »

et la seconde, qui distingue entre les êtres supérieurs et les autres, disant aux premiers :

« Vous êtes la meilleure communauté qu’on ait fait surgir pour les hommes : vous ordonnez le convenable, interdisez le blâmable et croyez à Allah. Si les gens du Livre croyaient, ce serait meilleur pour eux, il y en a qui ont la foi, mais la plupart d’entre eux sont des pervers.2 »

Dans les pays musulmans, la charia est respectée à la lettre : l’apostasie est punie de mort. Elle n’a pas toujours le temps d’être appliquée. Ainsi en Ouganda, la femme d’un dirigeant de mosquée s’est convertie au christianisme. En représailles, l’imam a ordonné le viol de trois jeunes filles chrétiennes appartenant à la famille d’un pasteur local.

De même concernant les viols. Ainsi au Pakistan, les rapports sexuels avec une fille de moins de 16 ans en constituent officiellement un, mais dans la plupart des cas, un certificat de conversion à l’islam et un certificat de mariage religieux suffisent aux kidnappeurs pour être graciés.3

Certains hausseront les épaules : le Pakistan et l’Ouganda sont bien loin du Café de Flore ! Mais dans certaines cités du 9-3, les paraboles apportent, à 7 minutes de RER, les prêches des imams les plus extrémistes…

L’ONU s’inquiète, elle dit de quoi, mais pas de qui

Le 14 avril 2021, l’ONU a rendu public un rapport sur les violences faites aux femmes dans le monde (UNFPA). La plupart des médias français a repris le titre de la dépêche AFP : « Droits des femmes : Dans 57 pays, une femme sur deux ne peut disposer librement de son corps »

Le rapport lui-même est un remarquable exercice de style, qui rend bien compte de la théorie :

« Les facteurs qui empêchent les femmes et les adolescentes de préserver leur autonomie et leur intégrité corporelles sont multiples. Mais l’une des causes les plus profondes est la discrimination sexiste, qui reflète et perpétue les systèmes de pouvoir patriarcaux et donne lieu à des inégalités de genre et à la privation d’autonomie. »

Mais qu’on se rassure, l’éléphant reste immobile au milieu du magasin de porcelaine et ne casse rien, surtout pas le politiquement correct. Ainsi, il est précisé que

« Des études menées dans neuf pays ont démontré que certains hommes estiment être en droit de dominer les femmes, avec la manifestation évidente de rapports de force inégaux. »

Mais on ne lira nulle part que le point commun à l’immense majorité des pays appliquant une

« discrimination sexiste, qui reflète et perpétue les systèmes de pouvoir patriarcaux et donne lieu à des inégalités de genre et à la privation d’autonomie »

ont en commun une religion, dont cette discrimination est l’un des fondements, qui sert de base au système juridique.

L’illustration pour tuer l’information

Extraordinaire : il existe au monde 57 États musulmans dont la charia régit la sphère judiciaire. Il existe dans le Coran d’innombrables instructions, notamment celles déclinées dans la sourate 4 (An-Nisa, « les femmes » –Coran-), expliquant comment soumettre la femme et régissant son infériorité juridique, le droit à l’esclavage, son absence de droits individuels, etc., et pas une seule fois le mot « islam » n’est mentionné dans le rapport.

Esclavage : « Aussi interdites pour vous sont les femmes, sauf les captives – en votre possession. »

Héritage :

« Allah vous ordonne concernant vos enfants : la part du mâle sera le double de celle de la femelle

1 Si vous ne laissez que deux ou plus de femelles, leur part est de deux tiers de la succession. Mais s’il n’y a qu’une seule femme, sa part sera de la moitié. Chaque parent a droit à un sixième si vous laissez une descendance
2 Mais si vous êtes sans enfant et que vos parents sont les seuls héritiers, alors votre mère recevra un tiers
3 Mais si vous laissez des frères et sœurs, alors votre mère recevra un sixième.»

Adultère :

« Comme pour celles de vos femmes qui commettent des rapports sexuels illégaux – appelez quatre témoins parmi vous. S’ils témoignent, enfermez les délinquantes dans leurs maisons jusqu’à ce qu’elles meurent ou qu’Allah leur ordonne un différent chemin. »

On ne voit pas pourquoi les médias iraient semer la zizanie en établissant un rapport entre les causes identifiées et les effets observés : ils ne sont pas là pour cela, le clergé n’a pas pour mission de définir le dogme, juste de le propager.

Pour ce faire, ils reprennent l’info et l’illustrent, chacun, par une image qui en atténuera la portée. Celle de « 20 minutes avec AFP » est la photo d’une « femme enceinte au Texas ». Celle de Libé est prise dans une « Manifestation contre l’interdiction d’avorter en Pologne, en octobre dernier.  » France TV Info a été piocher la sienne dans la même rubrique, mais plus proche : elle montre des « Manifestantes marchant pour le droit d’avorter dans le monde, à Paris le 28 septembre 2018 . »

Inutile de dire que l’absence d’autonomie des femmes décrite dans le rapport et en cause dans les violences qui leur sont faites n’est pas une caractéristique majoritaire en France, au Texas ou en Pologne.

Injonction paradoxale

Les injonctions paradoxales, ou « double contrainte », sont celles auxquelles on ne peut obéir sans désobéir. L’exemple classique est l’ordre « d’être libre ».

« Que près de la moitié des femmes ne puissent toujours pas prendre leurs propres décisions quant à l’opportunité d’avoir des relations sexuelles, d’utiliser la contraception ou de se faire soigner devrait tous nous scandaliser. En résumé, des centaines de millions de femmes et de filles n’ont pas de liberté sur leur propre corps. Leur vie est gouvernée par les autres ».

Dixit Natalia Kanem directrice de l’UNFPA, à l’origine du rapport, lequel recense 20 pays ayant établi des lois permettant à un violeur d’épouser sa victime afin d’échapper aux poursuites judiciaires, 43 États n’ayant pas de législation sur les viols entre conjoints et plus de 30 qui imposent des restrictions aux mouvements des femmes hors de leur domicile.

Le nom de ces pays n’est pas cité. Ce n’est pas pour protéger la présomption d’innocence, puisque les délits et crimes sont largement documentés.

C’est pour empêcher qu’on discrimine les discriminateurs. Paradoxal, vous avez dit paradoxal ? CA

Cécile Attal, MABATIM.INFO

1 Article 1er, Constitution de 1958 (Conseil Constitutionnel)
2 III-110, (Coran en ligne)
3 Morning Star News, 11 mars 2021, Ouganda et Morning Star News, 12 mars 2012, Pakistan, cités par Gatestone Institute

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