
En guise d’introduction
Dès son arrivée au gouvernement comme ministre de l’Éducation nationale, Pap Ndiaye a suscité une forme de rejet pour ne pas dire d’aversion de la part de beaucoup d’enseignants, et de la droite, voire de « l’extrême droite ». On peut dire que ses positions wokistes ont de quoi révolter ceux à qui il reste un peu de bon sens. Cependant il est nécessaire de replacer cette nomination dans son contexte : celui d’une destruction en règle de l’Instruction publique, commencée depuis la fin de la guerre, dès lors que ce ministère avait été donné aux communistes par De Gaulle, puisque ceux-ci n’avaient pas encore déposé les armes et espéraient s’en servir pour mener la révolution bolchevique en France. Les différents ministères qui leur avaient été attribués les avaient forcés, par ce compromis, à entrer dans la légalité républicaine, en attendant le « grand soir ».
Le plan « Langevin-Wallon » de 1947 avait donc constitué la première pierre pour « démocratiser » l’école, avant d’en faire l’école de la révolution. « Il affirmait la nécessité d’introduire ‘’l’Éducation Nouvelle’’ fondée sur les sciences de l’éducation1 »
Cependant, il faut reconnaître que les deux communistes voulaient que les classes laborieuses accédassent à un enseignement de qualité, comme les enfants des classes bourgeoises. Leur plan préconisait les méthodes actives, mais c’était pour réaliser le programme de manière individualisée, puisqu’il fallait l’ajuster aux capacités de chaque enfant…
« Ni Paul Langevin, ni Henri Wallon ne souhaitaient se mettre à la remorque des courants extrêmes de l’Éducation Nouvelle, représentés par Stanley Hall, John Dewey et leurs élèves qui voulaient la suppression des programmes y compris dans l’enseignement secondaire. »2
C’est à partir de 1968 que les choses ont changé. La révolte estudiantine bourgeoise, qui profitait des « Trente Glorieuses », influencée par la Révolution culturelle chinoise : « on a raison de se révolter ! », voulait s’émanciper de la tutelle des mandarins universitaires et de l’autorité en général. « Faites l’amour, pas la guerre » était le slogan repris des États-Unis. Déjà, Hannah Arendt3 et Allan Bloom4 avaient vu poindre ce qui annoncerait la destruction de l’autorité sous toutes ses formes, notamment dans les écoles et les universités, ainsi que la rupture avec la société traditionnelle. Parlant de ses étudiants Allan Bloom note :
« À leurs yeux la relativité de la vérité n’est pas une intuition théorique, mais un postulat moral, condition d’une société libre. On les a pourvus de ce cadre de pensée très tôt dans l’existence et c’est cette idée de relativité qui sert de substitut moderne aux droits naturels inaliénables qui constituaient naguère, aux États-Unis, le fondement traditionnel de la société libre. »
Ce relativisme destructeur du sens commun nous vient des États-Unis et n’a pas tardé à nous envahir.
Le rôle des médias
On ne peut ignorer le rôle des médias dans l’occultation pendant de nombreuses années – à quelques rares exceptions près – de la destruction de l’enseignement. Seule la question des moyens, orchestrée bruyamment par les syndicats, a occupé le devant de la scène durant des dizaines d’années. A-t-on jamais vu les cortèges enseignants réclamer l’arrêt des folies pédagogistes ? Non. Or la revendication de moyens toujours plus importants n’est qu’une imposture puisque le budget de l’Éducation nationale est le premier du gouvernement depuis des dizaines d’années. On peut dire, sans risque de se tromper, que les médias naviguent à vue, s’en tiennent à l’immédiateté des faits et sont ignorants (comme sur beaucoup d’autres sujets) de ce qu’il se passe depuis cinquante ans à l’Éducation Nationale. Bien au contraire, ils ont applaudi aux réformes les plus insensées et ont donné la parole aux joueurs de flûte tel Philippe Meirieu (pour ne citer que lui) qui professait que :
« Le rôle de l’école est à la fois d’instruire et d’éduquer, la finalité étant l’émancipation de l’élève et le développement de son autonomie ».
Il propose une pédagogie différenciée pour chaque élève. On comprend que ce qui importe pour Meirieu, c’est l’endoctrinement de l’élève à la bien-pensance. Or, le développement de l’autonomie ne peut s’acquérir que par le savoir dispensé par un maître bienveillant. Tout le reste n’est qu’illusion et bavardage. L’éducation revient aux parents. L’instruction aux enseignants. L’élève a besoin d’un enseignement structuré, suivant une démarche progressive, allant du plus simple au plus compliqué, du concret vers l’abstrait. Mais surtout, il a besoin que les enseignants aiment leur discipline, la maîtrisent et aient à cœur de la transmettre. C’est un truisme que de le rappeler, mais il semble bien que cela ait été oublié.
Depuis les années 1980, de nombreux livres mettaient en garde contre les dérives de l’école5. Or aujourd’hui, on fait mine de découvrir que non seulement l’école ne transmet plus les connaissances mais qu’elle est devenue un lieu idéologisé où l’on enseigne « le vivre ensemble », la tolérance à l’autre sans condition, et surtout sans réciprocité, la haine de soi, et le réchauffement climatique contre lequel la jeunesse est mobilisée grâce à un matraquage intensif. Ce fourre-tout idéologique ne peut conduire qu’à une société totalitaire où chacun est sommé de bien penser et où la politique s’immisce partout, jusque dans l’intimité des foyers, comme dans l’URSS ou la Chine. La Révolution culturelle nous a montré comment la jeunesse était manipulée pour servir le pouvoir de Mao Tsé-Toung ; une jeunesse fanatisée, qui maltraitait parents et professeurs et qui, pendant cinq ans, a ânonné le « petit livre rouge ». Où toute littérature ancienne était interdite.
Mais cela n’est pas grave puisque les élèves ne savent plus lire ni écrire ! Ils ne doivent plus s’approprier la culture nationale, ils doivent ingérer l’idéologie qui fera d’eux des citoyens passifs, abrutis par les téléphones portables qui les relient aux mêmes qu’eux, aux jeux vidéo, en passant par les films pornos… C’est ainsi qu’une sous-humanité est en train de se construire.
Ajoutons à cela l’expansion de la « culture » musulmane qui, par le nombre toujours croissant des immigrés légaux et illégaux, instaure un déséquilibre démographique catastrophique qui ne peut mener qu’à l’affrontement puisque l’assimilation traditionnelle est rejetée par ces populations. Il est vrai que devant l’ampleur de la violence, nombre de journalistes commencent à s’inquiéter mais le « pas d’amalgame » est toujours le mantra qui s’impose devant la réalité. La presse a été dressée pour ne pas dire ce qui crève les yeux ; elle continue dans sa majorité à ne pas interpréter le réel, à l’éviter, voire le rejeter au nom de la tolérance à sens unique, au nom de la peur de se faire taper sur les doigts par le pouvoir en place qui, lui-même, ne fait qu’obéir aux ordres de l’UE.
Pap Ndiaye, ministre de l’Éducation nationale : le choix d’un progressisme effréné
Partant de l’idée que notre gouvernement s’est fermement engagé sur la voie du progressisme, un homme de couleur, ayant fait une partie de ses études aux États-Unis, biberonné au wokisme et au racialisme américains ne pouvait qu’être l’homme de la situation. Quant à ses compétences en matière d’éducation, elles restent pour le moment très discrètes.
Lors d’une interview sur France inter6 par Nicolas Demorand et Léa Salamé, le tout nouveau ministre, interrogé sur le discours d’investiture d’Élisabeth Borne a déclaré que
« son discours était passionnant… c’est un grand exercice démocratique […] un discours fondé sur l’appel à des majorités de projets, à l’établissement de compromis, ce qui rappelle, au fond, le fonctionnement ordinaire de beaucoup de démocraties européennes, en particulier en Europe du Nord, des démocraties qui ne fonctionnent pas si mal d’ailleurs. »
Ce degré de généralités emberlificotées, est une prouesse dans l’art de parler pour ne rien dire !
Mais rassurons-nous, Pap Ndiaye peut briller sur un autre registre, dès lors qu’il aborde les sujets qu’il maîtrise bien. Ainsi, il affirme que ce qui le choque,
« c’est tout ce qui relève de la préférence nationale, qui est à la fois anticonstitutionnelle et antirépublicaine. 7»
Or, selon la note de Wikipédia ci-dessous, la préférence nationale n’est absolument pas anticonstitutionnelle, mais il est vrai qu’elle est devenue quasiment interdite par ce progressisme qui supplante la loi. On le constate chaque jour, que ce soit pour des aides sociales : logements, soins gratuits pour des migrants qui sont, le plus souvent en situation irrégulière, ce qui constitue un appel d’air inévitable pour ces gens qui sont attirés par les largesses de nos pays occidentaux, la France en particulier.
Quand le journaliste demande au Ministre comment il vit les polémiques (nombreuses) à son égard, il répond :
« Avec sérénité… Que je sois attaqué par l’extrême droite ne me fait ni chaud ni froid, c’est au fond un badge d’honneur ! »
Ah, l’extrême droite ! C’est le repoussoir idéal et bien commode dont la gauche ne se lasse pas, afin de la convoquer chaque fois qu’un contradicteur avance des arguments qui ne sont pas les siens.
La suffisance d’une telle réponse souligne le conformisme intellectuel de ceux qui, ayant choisi le « bon » camp, ont la morale pour eux, à défaut du politique.
Quand on en vient au sujet qui le concerne, l’enseignement, le Ministre est beaucoup plus approximatif. Sur la question du manque d’enseignants pour la rentrée prochaine, il se veut prudent :
« Y aura-t-il un prof devant chaque classe, devant toutes les écoles de France et de Navarre, je ne sais pas, mais nous faisons ce qu’il faut pour. »
Heureusement, une armée de contractuels se presse mollement à la porte des écoles pour jouer les bouche-trous !
Concernant la Réforme du lycée, totalement ratée par son prédécesseur Jean-Michel Blanquer, nous pouvons subodorer que la prudence reste son atout essentiel :
« Il y a certainement des choses à améliorer du côté de la réforme des lycées ; du côté de Parcoursup aussi. Le Bac est le premier diplôme universitaire et il prépare aux études universitaires, d’où l’importance du contrôle continu. »
Donc si nous comprenons bien, tout élève ayant le Bac (et quel Bac ! puisque ce dernier, de l’avis général, est devenu une monnaie de singe) est promis à des études universitaires, grâce au contrôle continu ? Ce que nous propose ce ministre, c’est le changement dans la continuité du creux et du flou.
Mais là où Pap Ndiaye brille incontestablement, c’est lorsqu’il se laisse porter par des sujets autrement plus élevés que les contingences liées à l’Éducation nationale. En effet, lors de sa prise de parole à l’Université Howard de Washington, le ministre a déployé son talent caché d’orateur pour parler (en anglais) de ce qu’il connaît le mieux : le wokisme et le racialisme. Il a regretté qu’en France, son pays,
« il soit difficile d’évoquer avec ‘’nuance’’ les inégalités raciales ».
(Inégalités qui ne l’ont pas empêché de suivre de longues études, au vu de ses diplômes).
« les inégalités, les discriminations et différentes formes de racisme existent en France », a déclaré le ministre de l’Éducation, le front plissé de réprobation, cette semaine dans un discours qui n’a pas plu à plusieurs élus de droite et d’extrême droite.8
Les Français de tous partis politiques ont apprécié la haute opinion que cet homme a de la France, gâté par une famille mixte d’intellectuels parfaitement intégrés. Mais, reconnaissons-le, il n’est pas le premier et le seul à cracher dans la soupe.
Il faut dire que dans le domaine du coup de poignard dans le dos, le ministre a suivi les pas de son maître en la personne du Président Macron qui manque rarement une occasion de critiquer le pays qui l’a élu à la fonction suprême, dès lors qu’il met les pieds à l’étranger. « Qui aime bien châtie bien » ! dit le proverbe.
Ce ministre a été nommé pour administrer le coup de grâce au Mammouth !
Encore une fois, il faut bien comprendre que le choix de Pap Ndiaye n’est pas fortuit ; il est calculé : introduire et établir l’antenne du wokisme dans notre pays, avec son cortège d’écriture inclusive, d’études du genre, de soutien aux transgenres jusque dans les WC des établissements scolaires, sans oublier l’éducation à la sexualité dès l’âge de la maternelle ; la lutte contre le racisme et l’islamophobie, afin que l’égalité soit souveraine. Il faut bien reconnaître que le choix est pertinent. Monsieur Ndiaye recèle toutes les qualités pour endosser ce rôle : sa couleur de peau, son engagement dans le racialisme à l’américaine qui l’a formé. Il permet d’avancer toujours plus avant dans la déconstruction de la nation. Le problème qui concerne l’école n’est pas l’abaissement des connaissances dans toutes les disciplines, ni sa chute libre dans les classements Pisa. Pour le pouvoir en place, il y aura toujours une élite riche et éduquée qui pourra donner une bonne instruction à ses enfants, comme Monsieur N’diaye qui a pris soin d’offrir la prestigieuse École Alsacienne à sa progéniture. Pour les autres, on a abandonné le registre de la méritocratie. C’est le même bain de médiocratie pour tous. C’est l’endoctrinement militant au progressisme. Endoctrinement qui a commencé depuis longtemps mais s’est affirmé dès les années 2000, avec la création des IUFM par Lionel Jospin.
Valeurs actuelles9 donnait la parole à Sophie Audugé, déléguée générale et porte-parole de l’association SOS éducation, dans sa rubrique L’Incorrect. Certes, cette association courageuse a eu le mérite de dénoncer depuis une bonne quinzaine d’années les dérives de l’École publique. Elle explique : « L’État n’est plus capable d’assurer le devoir d’instruction… » N’est-il plus capable ou l’a-t-il choisi délibérément ? Et d’établir la liste des conséquences qui s’ensuivent et qui ont été décrites dans de nombreux ouvrages par des enseignants lanceurs d’alerte.
Répondant à la question de Mickaël Fonton : Qu’attendez-vous de Pap Ndiaye. Ou que redoutez-vous de lui ? Elle répond :
De Pap Ndiaye, rien. Du ministre de l’Éducation nationale, nous attendons du courage. SOS Éducation demande que la maîtrise des fondamentaux soit acquise en fin de CM2 et validée par un examen de niveau. Nous demandons une réforme structurelle du collège et la valorisation des métiers manuels. Nous attendons le retour d’un examen national en fin de secondaire comme cela se met en place dans la plupart des pays de l’OCDE… Nous réclamons des professeurs aux compétences académiques certifiées par le Capes et l’agrégation et non pas recrutés sur Le Bon Coin ou en speed dating. » Etc.
Tout ça est de bon aloi, mais il y a tant d’années que ces demandes ont été formulées par des enseignants, des philosophes, des parents que l’on reste confondu devant une telle naïveté. Si le pouvoir politique, le Ministère de l’Éducation avaient entendu ce message, cela se saurait ! Or, loin de corriger une ligne erronée et suicidaire, ils ont enfoncé le clou. Il est donc grand temps d’ouvrir les yeux.
Car, ce qui restait dans l’ombre il y a encore peu d’années, se dévoile aujourd’hui à ceux qui veulent regarder la réalité en face. Nous ne sommes plus souverains sur notre propre territoire. Nous ne sommes plus une Nation. Nous sommes assujettis à un pouvoir mondialiste qui, par le biais des institutions européennes nous dicte sa volonté, jusque-là occulte, mais qui, à la faveur de la crise du Covid, a commencé à percer. Nous sommes dépossédés petit à petit de notre identité, de notre civilisation, de notre culture, de notre industrie, autrefois florissante, et bien sûr, d’un enseignement digne de ce nom puisqu’il est à la base de la formation d’une élite issue des classes populaires et moyennes. Cette destruction de l’École a été voulue, programmée de longue date, et elle donne désormais les fruits attendus de l’écroulement, de la ruine de notre société.
Les marionnettes qui nous gouvernent sont aux mains des mondialistes, des GAFAM. Qui peut croire que nous sommes encore en démocratie ? Le peuple ne maîtrise plus son destin, car il a perdu ce qui était son ciment, sa culture et son École, autrefois enviées dans le monde entier. À moins d’un sursaut, il est au bord du gouffre, car il est déjà esclave de la consommation effrénée, vers quoi on le pousse, grâce à la publicité abrutissante et omniprésente dans les médias, grâce aux informations mensongères et à la propagande qui laisse, loin derrière elle, celles des pays totalitaires du XXᵉ siècle. Bientôt, il sera l’otage du crédit social à la chinoise. Il est déjà l’otage d’une science sans éthique qui fait de l’homme un cobaye, prisonnier qu’il est des manipulations pseudo-médicales telles qu’elles ont été imposées à la population mondiale à la faveur de l’épidémie du Covid. À ce sujet, il est bon de lire ou de relire des auteurs comme Jacques Ellul, Bernanos ou Neil Postman.10
Et, si nous n’y prenons garde, c’est l’âme de tout un peuple qui est en passe d’être désarmée comme le prophétisait Allan Bloom. Ce communisme de seconde génération, remplacera le marxisme et le bolchevisme des pays totalitaires qui paraîtront désuets face à l’hydre mondialiste qui s’avance. ET♦

Évelyne Tschirhart, MABATIM.INFO
3/10/2022
1 Liliane Lurçat : « La destruction de l’enseignement élémentaire et ses penseurs. » éditions François-Xavier de Guibert – 1998.
2 ibid
3 Hannah Arendt : « La crise de la culture » 1972 pour la traduction française édition folio
4 Allan Blum : « L’âme désarmée » Essai sur le déclin de la culture générale – Julliard 1987 pour la traduction française
5 « L’école à la dérive » Ce qui se passe vraiment au collège. Évelyne Tschirhart, éditions de Paris – Max Chaleil 2004.
6 Invité par Nicolas Demorand et Léa Salamé
7 La pratique de la préférence nationale existe depuis bien avant la création de l’expression. Ainsi la nationalité française est et a toujours été le critère obligatoire pour obtenir certains droits et pratiquer certaines professions (voir l’article nationalité française).
Concrètement, on parle de « préférence nationale à l’embauche » quand, à qualification égale, on donne la priorité d’embauche à un travailleur français plutôt qu’à un travailleur étranger 1.
Elle est souvent basée sur l’application de dispositions légales qui réservent les emplois, particulièrement dans la fonction publique (principalement l’enseignement, la recherche, la défense nationale, l’industrie), aux citoyens de nationalité française (mais aussi, dans certains cas, aux ressortissants des États membres de l’Union européenne) 2.
8 20 septembre 2022. (BFM TV 23 septembre).
9 Valeurs actuelles hebdomadaire classé à droite (voire à l’extrême droite) du 24 septembre 2022.
10 Neil Postman : « Techonopoly, comment la Technologie détruit la culture » éditions l’Échappée 2019
[…] Le plan « Langevin-Wallon » de 1947 avait donc constitué la première pierre pour « démocratiser » l’école, avant d’en faire l’école de la révolution. « Il affirmait la nécessité d’introduire ‘’l’Éducation Nouvelle’’ fondée sur les sciences de l’éducation1 » […]
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Heureusement, tu ne fais plus partie du mammouth
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Excellemment résumé, et exprimé. Merci.
J’ajoute que SOS Éducation est actuellement la cible du pouvoir pour oser s’ériger contre la dérive (déjà ancienne) de l’instruction publique.
Après plus de 3 années de contrôles insensés autant qu’excessifs, Bercy a infligé à SOS Éducation une amende spoliatrice et juridiquement infondée de plus d’un million et demi d’euros, avec pour objectif de vider les comptes de l’Association.
https://soseducation.org/scandale-mise-a-mort-sos-education-le-figaro-denonce/
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