À force d’empêcher les hommes de pisser, les féministes font ch.. le monde

pipi.jpgDis-moi sur quoi tu polémiques et je te dirai de te taire

On a déjà vu une controverse au sujet d’une feuille d’aloé vera qui décorait un papier toilette : pour tester le degré de dhimmitude de la France, certains militants de la victimisation musulmane l’avaient accusé de représenter, en réalité, une calligraphie du nom d’Allah (Mabatim.info).

La dhimmitude, c’est le statut auquel sont soumis les dhimmis (« protégés » en arabe dans le texte) dans les pays musulmans où règne la sharia. Ils sont protégés de la mort en échange d’un impôt spécial et d’une liste interminable d’interdictions, d’obligations et d’humiliations, qui actent quotidiennement de leur infériorité par rapport aux musulmans.

Les militants islamistes n’ont pas été déçus : la France est mûre pour la conquête, car plutôt que de rire au nez des cinglés récriminateurs, le supermarché avait cédé au chantage à l’islamophobie et avait retiré le PQ délictueux de la vente.

Une nouvelle polémique s’est élevée à Brest, pour un motif tout aussi ridicule, présenté cette fois par un autre groupe intégriste, à bannière féministe plutôt qu’islamiste, ce qui change la nature, mais pas le degré de monomanie obsessionnelle en cause.

La nature est injuste, supprimons les WC pour hommes !

Une certaine Haïdée a enfin trouvé une raison d’être en dénonçant une révoltante inégalité : en gare de Brest, les urinoirs sont gratuits, alors que les WC fermés sont payants au tarif de 20 centimes d’euro. Personne n’a empêché Haïdée de faire pipi dans un urinoir gratuit, mais elle a préféré entamer une croisade, estimant que l’égalité républicaine passait par les toilettes : « des urinoirs gratuits pour les hommes, des toilettes payantes pour les femmes, pour faire la même chose, est-ce vraiment votre conception de l’égalité ?#balanceteschiottes #sexismeordinaire (Ouest France)».

Des pisse-vinaigre pourraient lui faire observer qu’il ne s’agit, justement, pas de « faire la même chose », mais de produire le même liquide de façon différente. Et c’est ce procédé de fabrication qui justifie que l’une paie 20 centimes et l’autre pas, l’une ayant à sa disposition un édicule fermé où elle peut se poser et vaquer à son occupation en toute intimité, pendant que l’autre se soulage rapidement sous le regard de ses congénères.

Nos vaches sacrées sont de sacrées emm…deuses

Dans notre pays, les vaches sacrées ont des noms qui se terminent par « isme ». Aucune revendication provenant d’une de ces ruminantes ne peut être laissée insatisfaite, aussi renomme-t-on « vacances d’hiver » celles de Noël, puis on élimine de la gamme « produits d’hygiène » le papier Q décoré d’une feuille injurieuse, et enfin on supprime des urinoirs pour ne pas favoriser les voyageurs par rapport aux voyageuses.

La logique (?) qui prévaut dans les deux premiers cas est qu’il vaut mieux s’en prendre sans risque aux Français non issus de la minorité visible, plutôt que de risquer l’ire des autres. Dans le dernier cas, on a appliqué la maxime : « plutôt faire chier les hommes que déplaire aux pisseuses ! »

Car la remarque sur l’inégalité des sexes face à la miction n’a pas déclenché le haussement d’épaule qu’elle eût dû, mais une réflexion de la part des dirigeants de la SNCF, qui n’ont rien de plus urgent pour occuper leurs heures de travail. Thierry Chaplais, responsable des relations médias de la SNCF a expliqué qu’ils aurions ben voulu, mais qu’ils ont point pu : « Nous aurions voulu rendre la totalité des toilettes payantes, y compris les urinoirs. Mais la configuration de la gare ne s’y prête pas. Nous avons donc supprimé les urinoirs. » Il reste un seul WC pour hommes, ils n’ont qu’à s’en contenter : leur pouvoir de nuisance est négligeable.

La SNCF a mûrement réfléchi sa stratégie pour répondre à la menace féministe, en attendant de construire une gare où la place accordée aux toilettes sera suffisamment importante pour permettre d’y installer des urinoirs féminins, des WC transgenres et des chasses d’eau pour gauchers.

Quant à Haïdée, elle sera certainement la première à porter plainte, si les abords des WC brestois sentent l’urine. Les voyageurs trop pressés pour attendre que se libère l’édicule unique restant à leur disposition marqueront ainsi leur territoire pour remercier l’amazone égalitaire de son l’intervention vengeresse !… CA♦

stylo-plume attcCécile Attal, MABATIM.INFO

Un commentaire

  1. on arrete pas le progrés;
    avez vous remarqué que « les progressistes » de la SNCF et autres syndicats ne veulent pas que l’age de la retraite ou les conditions changent…. c’est cela le progrès

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